Toderick se mit à goûter chaque met présent sur le buffet et une lueur de malice brilla dans le regard de Iorena, quand elle le remarqua. A moins que ce ne fut de l’envie. Ses yeux ne s’attardèrent cependant pas davantage vers le musicien, car l’elfe n’était pas là pour se distraire. Elle reprit ses fonctions, attentive à la grande scène mondaine face à elle. Son attention fut détournée cependant par une femme à l’ossature robuste, à peine dissimulée sous le masque sobre qu’elle portait. Senaste.

- Bien sûr, nous avons d’autres vins. Si elle n’était pas exactement préposée au service, c’était tout comme. Elle lui présenta un premier breuvage, à la robe carmin, ainsi qu’un autre plus clair, dans lequel la douceur du miel se mêlait aux arômes boisés d’un fameux cépage. Ce dernier est plus doux, précisa-t-elle à l’intention de l’homme, qui voulait se montrer raisonnable.

Elle commença à les servir à leur demande et finissait tout juste de remplir le verre de la Commandeure-garde quand un valet prit la parole pour annoncer l’entrée de leur Prince. Iorena termina sa tâche pour servir Tod, se permettant ensuite de laisser son regard couler vers son Maître. Elle travaillait ici tous les jours, mais au même titre que la plupart des convives, cela faisait des mois qu’elle n’avait pas aperçu leur dirigeant. Il restait cloitré dans ses appartements. Les rumeurs circulaient sur son compte évidemment, dans le Palais, comme dans tout Starkhaven. Sa seule certitude à elle était que Kendric Vaël avait maigri, car elle avait travaillé à retoucher certains de ses vêtements. Elle n’en fut pas moins troublée de le découvrir ainsi transformé. Vraiment.

Il fallait dire qu’elle avait grandi avec la famille princière - témoin parfois d’une partie de leur intimité - et chaque membre était en quelque sorte un peu de sa famille aussi. L’inverse n’était évidemment pas réciproque, mais la servante avait une réelle affection pour les Vaël. Kendric n’avait jamais été quelqu’un de tendre et encore moins d’indulgent, notamment envers ses domestiques, et elle avait parfois personnellement subi ses colères, mais il ne dérogeait pas à cette règle pour autant.

Elle écouta ainsi son discours, plus attentive toutefois à sa posture et à ses silences qu’aux mots qu’il employait. Elle aurait aimé capté les réactions de l’audience, mais elle se trouva trop obnubilée par la Présence de son Prince. Elle se ressaisit pourtant rapidement, alors que les premières notes se jouaient de nouveau et que les premiers couples se lançaient sur la piste de danse. Le bal était ouvert. Iorena reporta son attention sur Senaste et Tod pour leur confer leurs breuvages, leur offrant un mouvement de tête obligé.

Résumé : Iorena propose des vins à Senaste et @Toderick Beaujard  Elle est en train de les servir quand Kendric fait son entrée. Elle est troublée par la présence du prince qu’elle n’a pas vu depuis longtemps. Le bal commence… sans elle.

Inventaire de Ionera:

- « Parfaitement. Comment pourrait-il en être autrement ? »

Et son sourire, que n’importe qui pourrait croire, a rencontré mon mutisme, que n’importe qui oublierait. Une alarme que je conserve avec soin au fin fond de mes entrailles, pour plus tard. Bien plus tard, oui. Si elle pense qu’un simple sourire me ferait oublier, elle se trompe, et quelque part, je la soupçonne de le savoir.

Car voilà également que nous sommes abordés par d’autres fanfreluches masquées, ou autrement dit de potentiels futurs clients. Bien entendu, je conserve mon silence, la laissant s’amuser en charabia solennels et autres émois, tandis qu’elle se – pour ne pas dire “leur” – remémore la tragédie qui a surgi au Laurier Carmin. Et la voilà qui brandit sa flûte comme l’on brandirait une lame, victorieuse et fière, et qui se voit rejointe de la mienne – naturellement. Mais ce petit manège social est abruptement interrompu par l’arrivée tant attendue du Prince en personne à sa propre petite fête.

Troublé. C’est en effet un terme adéquat. Aveu involontaire ? Qui saura ?

Mon regard observe la foule figée dans ses plumes et sa soie, un silence étrange qui se répand. Mais mon esprit sourit, à les regarder si perturbés par la dure réalité du monde. Ils pensent que la guerre ne les atteindra jamais, et pourtant, la voilà qui leur adresse une bien belle courbette. Quand je pense que certains se sont enfoncés dans les boyaux de la terre pour faire la sale besogne… Et puis, je me surprends à réprimander un léger sourire en imaginant Hector coincé ici. Le pauvre. Il est bien mieux dans la poussière et la boue, disons-le.

Mais les festivités reprennent, comme l’exige le Prince, et les musiciens s’activent. Les danseurs aussi, et je n’ai pas besoin de sentir le souffle de ma cavalière au creux de mon oreille pour savoir l’enfer qui m’attend.

- « Il est temps, je crois, de donner un sens à ces laborieuses leçons. »

Je lui lance un regard, avant de sourire avec une certaine étincelle de malice. Puis, dans un geste souple, après avoir reposé mon verre sur quelconque plateau qui vagabonde, je lui attrape la main avec grâce, et l’emmène au cœur du jeu.

Si elle savait.

Les danses névarannes ne sont pas si différentes que ça des danses havenoises ou même orlésiennes. Elles sont simplement plus simples, plus fermes, miroitant par moments les valses tévintides. Mais tout de même, il faut savoir mater son binôme et épouser son rythme, et en ça, je me félicite d’avoir survécu à sa torture parée de dentelle. Les mains se placent, les pas s’élancent, et une étrange solennité dans la posture, dans le placement des mains, dans les yeux de Vera me renvoie plus de vingt ans en arrière. Et je ne sais pas si cette nostalgie me plaît ou me terrifie.

Mais voilà que le sol déborde de ces duos enflammés aux tenues plus alambiquées les unes que les autres, au point où éviter de marcher sur quiconque relève du défi, pour le moment relevé avec brio. Cependant, une femme heurte Vera, que je rattrape sans trop de peine, et sans que cela se voie dans une telle foule. Le couple en question s’est arrêté, je leur adresse un regard de nature brève, mais qui s’arrête davantage sur ce qui ressemble ma foi fortement à @Lachlann Vaël. Évidemment qu’il est là. Je leur adresse un simple hochement de tête, pour leur signifier que tout va bien et que nous ne prenons nulle offense d’une maladresse compréhensible. A voir si Vera ne s’en offusquera pas.

- « Peut-être serions-nous sensés de reprendre, pour éviter plus d'interrogations. »
- « Ou pour éviter de nous faire emporter dans la foule. »

Après tout, ainsi arrêtés, la moindre fanfreluche de travers s’indignera, et ce n’est pas bon pour les affaires.

En résumé : Comme attendu, @Vera lui rappelle d’un sourire courtois de se concentrer sur leurs priorités, et Miche lui emboîte le pas. Quelques potentiels futurs clients viennent à leur rencontre, et Miche se contente d’exister à ses côtés – évidemment –, avant de lever son verre à ses côtés. L’arrivée et le discours du Prince résonne avec une ferveur différente en un Miche pragmatique et militaire. Mais il comprend que ce n’est peut-être pas le lieu, ni le temps pour une telle remarque, et peine à comprendre le malaise engendré. Bah, l’aristocratie, quoi. Puis Vera lui signale d’aller danser, et ils vont danser : si Vera a pris une certaine fierté à lui apprendre à danser, Miche n’a pas eu envie de gâcher son plaisir en lui expliquant qu’il savait parfaitement bien danser, et ses pas le prouvent. Vera se heurte cependant à une dame, et Miche parvient à rattraper la situation de la plus fluide des façons. Miche croise le regard de @Katriel De Palia et de @Lachlann Vaël – qu’il reconnaît, évidemment –, et leur fait un signe de tête pour signaler que tout va bien et qu’il n’y a nulle offense.

Inventaire de Miche:

La conversation avec Nucci est surprenante, néanmoins attendue : évasive, tout naturellement. Son rire s’accompagne du mien de façon entendue, tandis que je savoue ma flûte de champagne en bonne et douce compagnie.

- « Moi qui croyais que vous aviez des cercles similaires en l'Impérium, m’aurait-on trompé ? Malheur ! Vous enseigne-t-on donc la magie dans les celliers et les antichambres de vos grandes demeures ? Votre liberté recèle de secrets toujours amusants à découvrir, nul doute que vous en auriez beaucoup à dire si on vous y autorisait. »
- « Je saurai vous surprendre, je n’en doute point. »

Quel serviteur n’a pas mystérieusement disparu dans les catacombes, car ce don nouveau et merveilleux est perçu comme une menace de la part de son maître ? Quel fortuné n’a pas appris dans la paille et la poussière, après avoir dissimulé discrètement un ouvrage dans sa froide chambre ? Quelle belle naissance ne fut pas acclamée par un Altus chanceux de se retrouver avec un nouvel apprenti des plus loyaux ? La magie naît en tout temps, en tout lieu.

- « Pour vous répondre, le Chevalier-commandant et moi-même faisons de notre possible pour que cela se passe au mieux pour notre cercle, même s’il nous faut gérer de nombreux… caprices. Qui ne vous sont pas tous inconnus je suppose. Par décence, naturellement, je ne vous demanderai pas comment votre ambassade vit ces temps compliqués, mais n’hésitez pas à l’expliciter au deshyr qui serait sûrement très intéressé – je me trompe ? »
- « Toujours plus que des affaires de magie et de cercle. »
- « Je vous remercie pour votre préoccupation, señor Mansilla. Mon ambassade se porte à merveille, même au cœur de telles agitations puériles. »

Gardons les choses en surface, car je peux entendre les griffes de ces charognes grincer contre le marbre, ces regards qui guettent, qui attendent le moment opportun pour frapper. Je leur offre un sourire cordial, mais rien de plus avant de remarquer les grandes portes s’ouvrir. Tout naturellement, mes yeux s’y engouffrent, jusqu’à apercevoir la prestigieuse silhouette qui tangue jusqu’à notre rencontre – jusqu’à la rencontre de l’élite de ses sujets.

Et mon estomac se noue face à la pâleur du Prince.

Son discours commence, étrangement bref, et surtout teinté d’un Requiem qui, bien naturellement, déstabilise l’assemblée. Je ne peux retenir un regard à l’attention de Fannie de Crassilliot, dont l'impassibilité vibre dans chacune de ses courbes. A quoi pense-t-elle ? Une question dont je semble posséder la navrante réponse.

Bien assez vite malgré tout, il ordonne aux festivités de reprendre, et les artistes font tout leur possible pour détendre l’atmosphère. Les murmures reprennent, les mains se lient, les pas s’élancent. Je lance un regard interrogateur à Bellum, qui me fait un hochement de tête discret dans une certaine direction avant de me susurrer d’un doux tevene.

- « Ne vous en faites pas, je demeure vos yeux et vos oreilles. »

Comme pour répondre à une taquinerie comme le sous-entend le ton de sa voix, je réponds dans la langue des rois.

- « Bien évidemment, très chère. »
- « Mesdames, messieurs : qui parmi vous compte aller danser ? »

C’est alors que je l’aperçois, qui fend la foule d’un pas assuré et d’une élégance à en couper le souffle : Agnese De Palia, dont le regard ardent ne me quitte nullement des yeux. Mon visage s’illumine d’un bien belle surprise, tandis que j’attrape ses doigts délicats des miens aux nombreuses bagues, pour y déposer un respectueux baiser.

- « Señora De Palia… »

Les salutations sont rendues, et sans perdre de temps, la voilà qui m’accapare !

- « Puis-je vous emprunter Son Excellence Nepos, Premier Enchanteur, Deshyr ? Quelle terrible incident diplomatique nous risquerions, si tant Antiva que Tévinter ne trouvaient de cavalieri pour l’entame de cette soirée ! »
- « Je vous y autorise bien volontiers, votre Excellence. »

Puis, adressant un regard à la bien sympathique assemblée, je m’incline pour les saluer.

- « Mesdames, messieurs, la diplomatie m’appelle. »

Je ne perds nul battement, tandis que je pose un regard énigmatique sur Bellum, que je livre hélas aux charognes le temps d’une valse.

- « Prudence », que je souffle dans la langue des dragons.

Ille ne m’adresse qu’un sourire, avant de regarder par-dessus son épaule, scrutant une fois de plus la foule. Son sourire s’agrandit davantage, et un clin d’oeil part dans une curieuse direction (@Canisa Stazzo).

La réjouissance dont fait preuve ma bienheureuse cavalière nous guide au coeur de la danse, et nous nous mêlons aux joyeuses festivités sans en détruire le rythme précédemment établi. La main dans le creux de son dos, l’autre tenant avec fermeté et fierté mon sceptre, nous nous élançons avec grâce, les pas en harmonie, les postures qui s’épousent.

- « Le Prince nous aura finalement enfin honoré de sa présence … Mais je crains que cela ne soit bien insuffisant à faire taire les rumeurs chagrines et les inquiétudes bienveillantes, qu’en dites-vous ? »
- « Si vous voulez mon avis, très chère,… ! »

Car voici qu’un assassin des arts et de la bienséance se permet d’offrir à mes omoplates un ferme coup d’épaule, qui me propulse sur ma charmante compagnie. Les charognes nous enveloppent, je les sens, je les entends, même. Car quelques mots des plus aimables me parviennent, s’effaçant dans la foule lentement, mais sûrement.

- « Bonne Satinalia, le Tévintard. »

Mes dents se serrent l’espace d’un tempo, mon choc rencontre le sien, qui demeure fort heureusement ignare, mais fort heureusement, ce point d’orgue qui se suspend dans les airs de fête ne dure qu’un battement de cils. Bien assez rapidement, dans un silence qui intrigue certainement, j’aperçois la charogne qui rit encore en me lançant quelque regard aiguisé, et me voici à entraîner son Excellence dans une vendetta puérile, mais qui néanmoins ne peut demeurer impuni. Lorsque je le rattrape en quelques enjambées, je place avec astuce mon sceptre entre ses jambes, et le juron qui me parvient me rend le sourire. Puis, je poursuis dans une toute autre direction, m’éloignant de la peste avec élégance.

- « Mes excuses, votre Excellence, les charognes ont la peau dure, ce soir. »

L’adrénaline et la colère passées, bénissant mon audace d’avoir embarqué mon sceptre à cette soirée mondaine, je reprend la discussion comme si de rien n’était.

- « Je disais donc : je crains que vous ayez visé avec justesse de vos paroles sensées. Je n’aime guère cela, sachez-le. »

En résumé : Aerontus converse avec @Nucci Mansilla, valsant entre sarcasme des plus fins et bonne humeur, jusqu’à l’arrivée tant attendue du Prince. L’allure du Prince n’échappe pas à l’ambassadeur, soudainement pris d’un mauvais pressentiment. Malgré tout, Aerontus garde son calme et son insolence habituelle, et la musique reprend de plus belle. Tandis que Nucci demande au groupe si quelqu’un compte danser, voilà que leur apparaît l’élégante @Agnese De Palia, qui l’invite à danser. Confiant son sceptre à Bellum, Aerontus accompagne Agnese dans la danse, tout en observant les alentours et les autres visages présents. Cependant, Aerontus se prend un bien aimable coup d’épaule dans le dos, le déstabilisant dans sa danse, mais il parvient à se rattraper à sa cavalière, qui le regarde avec le même choc. Mais Aerontus ne rate pas le moindre battement de cil et tend le sceptre bien en arrière pour faucher son assaillant dans sa danse, et le juron qui lui parvient le satisfait. Oh et Bellum offre un clin d'œil à @Canisa Stazzo qui l’observe avec bien trop d’insistance.

Aerontus s'exprime en #B48C22 (commun), en italique(Tevene) et en gras (Antivan).
Bellum, sa cavalière, s'exprime en #83B422.

Inventaire d'Aerontus :

Bellum, son avatar de base et sa robe :

Miche l’entraîne aux abords de la piste, et ils s’y élancent sans tarder, dos droits et pas agiles, selon les mesures si longtemps répétées entre les murs de l’Acanthe. Un, deux, trois… Les corps se frôlent, les regards se croisent, la soie ondule au rythme des notes qui s’élèvent. Du coin de l’oeil - qu’elle veut discret -, Vera aperçoit la prestation toute en finesse de Sibeal Callaigh et de sa soeur, en admire d’ailleurs l’élégance ; mais le plaisir de l’instant accapare bientôt tout entière la matrone, que les lueurs, la musique et les chants ramènent en d’autres lieux et d’autres temps. À l’amertume habituelle s’impose, ce soir, une satisfaction naissante, à laquelle la vigueur maîtrisée de Mikaal n’est pas tout à fait étrangère. Ha ! C’est qu’elle est assurément une excellente professeure…

Un choc, dans son dos, la tire brusquement de ses ronrons intérieurs. Et l’équilibre devient précaire ; Miche, toutefois, veille, et à la chute redoutée s’impose l’étreinte solide du cerbère. Vera le remercie d’une pression tendre sur le torse, alors que lui parviennent les inflexions d’une voix qu’elle ne connaît que trop bien :

« ― Vous allez bien ?
― Oui, tout va bien. Peut-être serions-nous sensés de reprendre, pour éviter plus d'interrogations.
 ― Ou pour éviter de nous faire emporter dans la foule. »

Pivotant à son tour en direction des trouble-fêtes, la matrone pose son regard sur le binôme kamikaze, dont elle découvre plus avant - bien que malgré elle - l’intrigante cavalière. Vera leur adresse une discrète révérence, ravalant sans effort la frustration de cette première danse accidentée - inutile de s’en scandaliser, d’autant que le couple à l’avantage de l’intriguer. Et, réajustant rapidement sa position auprès de son partenaire :

« J’ai assisté à des intermèdes moins divertissants ; mais en effet, reprenons. Messer, Messerah. »

Elle se retourne vers Miche. Et puis, une dernière fois, à l’attention de @Katriel de Palia :

« Si vous me permettez ce commentaire, ma dame : votre toilette est exquise. »

Vera n’attend pas davantage et, d’une pression discrète, invite son cavalier à reprendre la danse.

Résumé : Vera danse avec @Miche et se félicite des prouesses de ce dernier. Si les souvenirs des bals d’Orlaïs lui reviennent à l’esprit, la collision soudaine avec @Lachlann Vaël et @Katriel de Palia tire finalement la matrone de ses rêveries satisfaites. Trouvant déplacé de ronchonner, Vera acquiesce la recommandation de Katriel, qu’elle complimente au passage. Elle retourne danser en suivant.

Inventaire de Vera:

Lorsque le regard de Kendric Vaël vous balaye, chez convives, vous vous demandez bien ce que l'émeraude lit de vos pensées et de vos intentions : la pierre est-elle un reflet de vos âmes ou un dangereux outil de prémonition ? Pourtant l'instant passe, et le Prince ne demeure pas : il annonce avant de se détourner une danse légère dans laquelle la plupart s'empresse de se jeter, et que d'autres se plaisent à regarder.

S'y jeter est un mot que vous avez balayé, ou un mot que vous avez embrassé : un mot que vous avez fait vôtre avec une grâce admirée et admirable. Ta piété sororelle aura eu raison de tes a priori, @Sibeal Callaigh, puisque tu troques les persiflages avec tes consœurs pour des virevoltes avec ta cadette : un exercice auquel vous excellez, symboles malgré vous de la joie que sonnent les trouvères, qu'on vous laisse votre place la piste de danse, qu'on vous admire ou vous envie, mais que rares n'osent concurrencer. Les Callaigh ne sont pas seules pourtant à tenir le pas frivole de la musique ; représentant toute la maîtrise que l'on désire de l'empire orlésien pour pareil art, quoiqu'avec plus de discrétion qu'attendu, Jean-Floribert de Crassilliot, bien que privé de son verre, et son épouse @Fannie de Crassilliot volent et virevoltent, dessinent une joie à laquelle, en réalité, ils ne s'oublient pas : vous ne connaissez que trop bien les véritables danses que l'on mène à ces bals, non ? N'as-tu pas en rien oublié le regard du Prince sur ta personne, n'as-tu pas bien en tête que cet homme que tu entraînes et qui t'emporte est bien fragile, même habitué, au milieu de ces complots ? Quels couples demeurent jusqu'au bout de cette première danse...
S'y jeter est un terme que vous n'auriez peut-être pas dû prendre à la légère, et l'avertissement a su rattraper l'un des deux partenaires. Vous avez aussi vos propres nations à représenter : tandis que tu laisses à ta suivante une opportunité pour converser avec la Commandeure-garde, tu décides @Agnese de Palia, d'inviter @Aerontus Nepos à une danse qu'il accepte ; celle-ci n'a pas la grâce de vos comparses orlésiens, mais il faut reconnaître qu'on ne laisse pas la même chance aux ressortissants de l'empire, des coups bas que Tévinter sait rendre et Antiva rattraper. Bien loin est la conversation à laquelle tu as été soustrait, ambassadeur. Vous arrivez à sauver les pots cassés. En irait-il autant pour vous, @Vera et @Miche ? Vous avez su vous tirer avec brio des remarques qu'on adresse au feu Laurier Carmin, et vous débrouillez tant bien que mal sur la piste de danse – remercions la noble éducation de celui qui n'apparaît aux yeux de tous que comme un garde du corps. Et lorsque l'on vous cogne, vous perturbe dans vos pas, voilà que vous réagissez avec mesure et politesse... sont-ce là les belles manières de l'Acanthe ?  
S'y jeter est plutôt un mot pour vous décrire, car il aurait mieux valu vous épargner cette difficile épreuve – à moins que... ? Vous vous démarquez en rentrant maladroitement dans le couple précédent, @Lachlann Vaël et @Katriel de Palia : s'ils ne provoquent aucune esclandre, le public autour de vous ne le manquent pas et, à l'image de vos précédents commentaires les murmures s'élèvent à propos de l'ancien héritier et de l'aînée d'un Prince-marchand, à propos de deux mages qui auraient mieux fait de se rappeler que la danse ne peut s'exercer dans un cercle... mais vous deux profitez de cette occasion rêvée pour échanger quelques mots à vos victimes que vous connaissez si bien.
Une partie éclatante et visible de la soirée se déroule à la vue de toutes et de tous sur cette piste, ce parquet lustrée par vos éclatantes prouesses...

... mais ce n'est pas le seul endroit où s'étalent toutes les danses : que penser des mouvements des conversations et de la mélodie des mots, et des acrobaties de ces danseurs et de ses danseuses ?
Se plaire à regarder une danse à laquelle tu n'es pas convié. Tout à ta sérennité si naturellement affichée, @Nucci Mansilla, tu acceptes au moins d'un silence le congé de l'un de tes interlocuteurs, et continues à converser avec le reste de la Guilde marchande naine encore présente : il en est une qui est partie danser, un autre qui a préféré le banquet où se trouve le Prince de Starkhaven. À cette nouvelle tranquillité, Yasrick Kavish répond en s'approchant de toi et en te soufflant avec complcité : « Maintenant que nous sommes entre nous, Premier Enchanteur : que diriez-vous de parler affaires ? »
Se plaire à regarder une danse à laquelle vous ne pouvez pas participer. Au pied du trône, ce sont poésie et musique qui s'enchaînent et s'envolent. Ces vers que tu déclames, @Victor Donnall, ont l'effet attendu : prophétie tirant un sourire à Rebecca Leysleigh qui consent pleinement à être ainsi influencée. Un sourire qui devient ombre quand enfin, le Prince apparaît : vous remplissez pleinement vos rôles attendus, mais le Haut-Juge et la Grande-Prêtresse savent bien des choses, portent bien d'autres jugements... et peut-être est-ce pour cela qu'elle se laisse aller  à tel commentaire : « Créateur... le jour viendra où nous mériterons Ta lumière au bout de notre pélerinage. » Ta demande de congé est néanmoins pleinement acceptée d'un hochement de tête et vous séparez chacun vers un banquet différent : elle rejoint Kendric Vaël détourné de la danse qu'il a lancée quand tu te portes vers Senaste et son petit groupe que tu salues.
Se plaire à regarder une danse à laquelle vous avez décidé de vous soustraire. Votre groupe est bien des plus curieux, tu y consens @Toderick Beaujard, et tu te surprends à parler musique à Senaste qui s'est approchée de vous deux : le premier se régale de la nourriture, @Iorena, la seconde se porte plus sur une boisson rafraîchissante. Cette dernière ne te quitte pas des yeux, ne manque pas l'affection que tu portes au Prince à son entrée dans la pièce, et ses prunelles se teintent alors d'intérêt... Avec naturel, pourtant, elle répond au mercenaire : « Pensez-vous que les temps soient réellement à la joie et à la danse ? ». À qui s'interesse à la Commandeure-garde, sa déclaration donne bien le ton de ses intentions ; à ce tableau morne s'ajoute la présence du Haut-Juge. Son arrivée attire chez la guerrière blonde un regard interloqué, à peine masqué, et une moue des lèvres ; elle le salue pourtant comme il se doit. « Si seulement ma stature pouvait ébranler plus que les Tréfonds de ce Palais... En voilà un qui s'avère bien compliqué à faire bouge, lourd comme il est en temps de paix, en temps de guerre. N'est-ce pas, conseiller ? » Son regard s'égare vers le fond de la salle du trône, et tu jurerais, pourtant, chère domestique, qu'elle t'adresse à toi seule un signe discret de la main pour que tu t'approches d'elle... tout en conversant avec les deux hommes.

Voici donc la danse légère dans laquelle la plupart s'est empressé de se jeter, et que d'autres se sont plus à regarder : n'a-t-elle pas touché fin que pourtant, les notes s'apaisent et le rythme ralentit...

La musique s'apaise et la première danse – un échauffement, diront certains et certaines – prend tranquillement fin. Pour d'autres, l'occasion est belle pour relancer des conversations, si tant est que vous avez remarqué que les athlètes du centre de la salle du trône se sont arrêtés. Les convives commencent à converger vers les deux banquets, opposés, pour profiter de leur repos : ils savent que celui-ci ne durera pas puisque la prochaine danse devrait bientôt repartir.

« Mon Prince... », murmure le valet qui pose, avec respect et déférence, sa main sur l'épaule de son souverain.
Le voici qui interrompt la jeune conversation débutée entre Kendric Vaël et Rebecca Leysleigh : car le serviteur a bien vu que les ménestrels attendent l'ordre de la danse suivante, et que celui-ci tarde à se faire entendre. Un air parmi les plus agacés se dessine sur les traits du Prince : fort heureusement que ce soit ce serviteur-là qui s'en charge, et lorsqu'il lui explique l'attente, il paraît plus concerné.
Un moment d'inattention dont certains pourraient profiter ? Ce ne sont pas les regards perdues qui manquent...

« Lancez donc la tarentelle ! », s'exclame-t-il d'une voix tonitruante, surprenant tout le monde – lui, en tout cas, n'y participera pas, restant plus accessible à qui souhaite lui parler.
Dans sa forme spécifique à Satinalia, la tarentelle est une danse de petites rondes qui a la particularité de se changer en cours de route en une danse de couple sans aucun contact entre les deux partenaires. Plusieurs quadrilles (quatre couples) forment tout d'abord un carré qui se rétrécit et s'agrandit, les pieds frappant, allant et venant au rythme des tambourins des trouvères quand les mains se lèvent et s'enroulent au-dessus des têtes pour donner sensualité et légèreté. Puis, lorsque la musique s'accélère, les couples se rapprochent, se forment, se tournent autour, changent de sens, toujours dans un rythme soutenu : le défi réside dans la proximité des corps sans qu'il n'y ait jamais aucun contact au sein même du couple. Enfin, la danse s'achève comme elle a commencé : les couples restants forment une ronde, vont et viennent, et s'arrêtent quand les trouvères le décideront.
Si le couple se touche, le jeu de la danse demandera qu'ils quittent la ronde et continuent leurs mouvements, ou non, autour d'elle... Mais qui pour vérifier, si ce ne sont les autres autour ?

Les trouvères commencent à jouer de leurs instruments pour appeler les danseurs et danseuses à prendre place dans la ronde : le hasard voudra que celles et ceux qui, parmi vous, souhaitent participer à cette tarentelle satinalienne se retrouvent dans le même quadrille... avec sûrement d'autres camarades. La prochaine ronde ne commence pas tout de suite, le temps pour chacun et chacune de se sustenter, de discuter, et de trouver leur prochain partenaire.

La première danse s'achève, et vous avez un peu de temps, au lent et calme rythme qu'installent les trouvères, pour vous remettre de ces premières émotions et vous préparer à la prochaine danse – si vous souhaitez y participer... Il vous faudra vous mettre en place dans la ronde et attendre que l'air se lance. Ou de garder à l'œil ces gardes qui discutent devant les portes latérales de la salle de trône...
Comment comptez-vous continuer de profiter de votre soirée ?

Inventaire : vous devez indiquer votre inventaire avec le code suivant à la fin de votre message. Vous devrez ensuite répéter post après post cet inventaire en barrant avec la balise strike un objet qui a été utilisé, consommé ou perdu, afin que tout le monde puisse suivre l'évolution.

Code:

[spoiler="Inventaire de NOM DU PERSONNAGE"]INSÉRER ICI INVENTAIRE DE VOTRE PERSONNAGE AVEC UN RETOUR A LA LIGNE ENTRE CHAQUE OBJET.[/spoiler]

Vous trouverez les règles concernant les Potions dans ce message.

Danse : réussir une danse se règle par un Jet d'Agilité des deux partenaires, englobant les trois phases de la danse : il n'y a pas de concours, seulement une réussite ou un échec. Si votre partenaire n'est pas un.e joueur.euse, vous pouvez fixer la capacité de danser du PNJ par un Jet de Chance.
Pour information, il n'y aura aucune « victoire » de danse : préparez votre tarentelle dans la légèreté, sans enjeu, et appréciez-la avec simplicité selon les règles qui vous seront données au prochain tour. Il faut que les deux membres du couple ratent leur jet pour qu'il y ait contact ; une réussite critique compense un échec critique.
Pour toute autre action, à titre indicatif, la Discrétion, le Crochetage, l'Acrobatie se fait sur un Jet d'Agilité ; toute action physique se résout sur un Jet de Force ; la Fouille implique un Jet de Perception. Dans le cas du Jet de Perception, indiquez en description ce que et où vous fouillez, et taggez @Andrasté dans un nouveau message dans le sujet de lancer de dés en cas de réussite : le résultat vous sera communiqué avant la fin du tour.

• Introduction générale: Si vous avez la moindre question, n'hésitez pas à vous référer au sujet récapitulatif.




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• Le prochain tour s'ouvrira le 24 avril 2024.
• Pour ce tour deux, vous avez achevé votre première danse et vous vous préparez pour la seconde : à moins que l'heure ne soit aux réjouissances ? Vous choisissez...
• Ordre de passage : L'ordre de passage est libre et vous pouvez poster autant de fois que vous le souhaitez. Si vous souhaitez faire plusieurs réponses, laissez passer un petit délai (indicatif : 2-3 jours) entre les réponses de votre personnage pour que d'autres aient le temps de jouer.
• Indications RP : Privilégiez les réponses courtes (environ 500 mots). Si vous parlez à quelqu'un, taggez-le dans votre message (pour rappel, un tag s'écrit ainsi : @"PSEUDO COMPLET DE LA PERSONNE" les guillemets sont essentiels). Le résumé ainsi que l'inventaire en fin de message sont obligatoires.
• Dés : Lancez les dés dans le sujet dédié et se référer aux règles.
• PNJs : vous pouvez librement interagir avec les PNJs et, si vous le sentez et les connaissez bien (ou en êtes proches), avancer avec elleux sur des conversations triviales ! Vous trouverez leurs présentations dans ce sujet et pouvez demander confirmation à @Andrasté.
  PNJs présent.e.s : Carmen Amadio, Jean-Floribert de Crassilliot, Kendric Vaël, Rebecca Leysleigh, Senaste et Yasrick Kavish.
  Vous pouvez librement interagir avec les PNJs et, si vous le sentez et les connaissez bien (ou en êtes proches), avancer avec elleux sur des conversations triviales ! Vous trouverez leurs présentations dans ce sujet et pouvez demander confirmation à @Andrasté.




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• Participation : @Aerontus Nepos, @Agnese de Palia, @Canisa Stazzo, @Fannie de Crassilliot, @Iorena, @Katriel de Palia, @Lachlann Vaël, @Miche, @Nucci Mansilla, @Patte-Blanche, @Sibeal Callaigh, @Toderick Beaujard, @Vera, @Victor Donnall.
  Vous pouvez dès à présent vous inscrire pour le tour suivant dans ce sujet.
• Absence : Personnage.s absent.s à ce tour : @Canisa Stazzo et @Patte-Blanche. Vous pouvez être absent.e.s pendant un tour sans conséquence ; en cas d'absence pour un deuxième tour consécutif vos personnages seront considérés comme n'ayant jamais participé à l'évènement et il faudra vous inscrire pour en reprendre.
• Exclusion : après deux tours sans réponse, voici les personnages exclus de l'event : aucun. Si vous souhaitez y participer à nouveau, veuillez vous inscrire à nouveau.

Nucci Mansilla accepte bien sûr qu'@Agnese de Palia lui emprunte @Aerontus Nepos.
Nucci Mansilla observe les danseur.euse.s d'abord comme une masse informe qu'il rêverait d'intégrer, avant de se tourner vers les profils plus particuliers qu'il se permet de commenter.
Nucci Mansilla répond sans répondre à Yasrick Kavish avant de se lever dans l'optique de chercher un verre, sans évidemment compter se joindre à la tarentelle.

Le bal avait commencé et les couples se mirent à tournoyer avec harmonie au centre de la salle. Les accrocs étaient rares, l'art de la danse se travaillait souvent dès l'enfance chez les aristocrates. Les cafouillages ne passaient donc pas réellement inaperçus. Iorena, elle, ne vit pas la semi-bousculade de Lachlann et sa partenaire sur le couple que formaient Miche et Vera. Son attention était toute tournée vers le duo disparate qu'elle venait de servir et dont elle ne pouvait manquer l’échange.

Un nouvel individu se joignit au groupe et l’elfe le reconnut évidemment. Le Conseiller du Prince. Elle se tint prête à lui donner un verre à son tour s’il le désirait, à moins qu’il ne préfère se sustenter. Ou simplement converser. Senaste semblait au cœur de bien des attentions. La domestique nota intérieurement sa réponse, imaginant les allusions que la Commandeure-Garde laissait planer. Elle fut surprise cependant de relever comme une attention envers sa personne. Un vague mouvement de la main. C’était subtil. Autant certainement que ces œillades que la femme jetait quelques instants plus tôt vers les portes closes de la salle. Mais la domestique sentit comme une invitation à s’approcher d’elle davantage.

Le regard de Iorena se reposa brièvement sur Victor, puis Toderick. Sans surprise, aucun ne lui prêtait vraiment d’attention. Elle baissa les yeux alors, hésita un court instant, mais s’approcha finalement davantage de la représentante de la Garde des Ombres. Curieuse, peut-être. Obéissante, surtout. Car qui était-elle pour ne pas répondre à la demande d’une invitée de sa trempe ?

Résumé : Iorena écoute la conversation autour d’elle. Elle se tient prête à servir  @Victor Donnall s’il le désire. Il lui semble remarquer un geste de Senaste à son intention, et elle y répond après une courte hesitation en s’approchant de la Commandeure-Garde.

Inventaire de Ionera:

”C’est parfait, merci”, répondit Tod à l’intention de l’aimable servante (@Iorena) qui lui présenta un vin doux.

Il ne prenait pas trop de risque avec cela. Il la remercia d’un signe de la tête lorsqu’il récupéra son verre.

”Pensez-vous que les temps soient réellement à la joie et à la danse ?” demanda Sénaste.

Tod lui adressa un signe de tête compréhensif. En effet, les temps n’étaient pas à l’amusement, et si la Commandeure-garde n’était pas venue pour cela, alors il avait sous-estimé l’importance de ce bal princier. Le mercenaire répondit doucement :

”Que nous restera-t-il après la guerre, messerah, si ce n’est la danse, la musique et un peu de joie ?”

Rien qui ne donne envie de continuer. Tod aurait aimé développer sa pensée, mais le claquement régulier d’une canne retentit dans son dos. Un frisson de dégoût dévala l’échine du mercenaire, sentiment qui s’intensifia lorsqu’une main se posa sur son épaule. Il dut se faire violence pour se retourner vers le conseiller avec un grand sourire :

”Messer Donnall, mais je vous en prie… Quelle surprise de vous voir ici !”

Son regard dévia brièvement sur sa canne. L’avantage d’être en public était qu’il pouvait mettre un masque par-dessus son masque et jouer le rôle qu’on lui imposait. Même si, franchement, il aurait préféré boire son vin et manger ses petits fours en toute tranquillité. S’il avait été capable de lancer des appels à l’aide d’un simple regard, Tod aurait fait signe à Iorena, mais il n’y avait rien qu’il puisse faire sans trahir son malaise, alors… Il se contenta de finir son verre en regardant les danseuses et danseurs virevolter sur la piste. Le vin était bon et adoucit un peu son amertume. La première danse s’acheva et avant que les participants ne se mettent en place pour la suite, une jeune dame les aborda. Elle semblait avoir reconnu Tod qui, de son côté… n’avait aucune idée de qui elle était. Il attendit, espérant que ses deux autres interlocuteurs poseraient un nom sur cette jeune personne.

L’invitation à danser lui suggéra qu’il s’était peut-être attiré des ennuis, mais tant qu’il ignorait qui était sa cavalière, il ne pouvait pas supposer quoi que ce soit. Et puis, ne cherchait-il pas justement une excuse pour fuir le conseiller Donnall ?

”C’est avec plaisir que je me joindrai à vous pour cette danse.”

Tod adressa un petit sourire contrit (pas du tout) à ses deux interlocuteurs avant de prendre le bras de Sibeal Callaigh.

Résumé : Tod accepte de danser avec @Sibeal Callaigh pour fuir @Victor Donnall.

Inventaire de Tod:

Suite à plusieurs incompréhensions venant d'une formulation peu claire, sachez que la danse suivante commencera au prochain tour : pour celui-ci, il est laissé la possibilité à vos personnages de se sustenter, discuter et trouver leur prochain.e cavalier.e s'iel souhaite se lancer dans la tarentelle !

Je tiens à m'excuser pour la confusion et vous remercie pour votre compréhension

Vera continue de valser aux bras de Miche, gambillant au rythme des trouvères, jusqu’à ce que s’interrompent progressivement chanteurs et instruments. Alors, Vera salue courtoisement son cavalier et, à voix basse, lui confie : « Tu as été épatant. »

La piste se vide lentement de ses danseurs, et Vera rejoint le mouvement. Entraînant Miche à sa suite s’il le désire - ou le remerciant s’il lui préfère une autre compagnie -, la matrone se porte prudemment aux abords des larges tables dressées, et récupère, à l’occasion, une coupe d’un plateau offert. Ainsi mêlée aux convives, Vera se prête au jeu des discussions voisines, offrant ses sourires et son port droit à ses interlocuteur.ices de l’instant.

Résumé : Vera finit de danser avec @Miche, puis part se rafraîchir. Elle vibe dans un coin, près des tables dressées, et papote avec des gens.

Inventaire de Vera:

Nucci Mansilla découvre que @Vera s'est éloignée de la piste de danse et s'approche d'elle (et de @Miche s'il est encore présent) pour innocemment la rencontrer (et faire la conversation  ).

Nous virevoltons sur la piste sans accroc, les regards acérés à l’affût derrière les masques si légers.

Un roucoulement amusé échappe à Jean-Floribert lorsque quelques têtes bien connues se percutent dans un moment d’inattention. S’il ne s’agissait pas de @Lachlann Vaël et @Vera, j’aurais ri, moi aussi. Mais je me contente d’un sourire amusé.

C’est ensuite au tour d’@Aerontus Nepos de se faire remarquer et la prise de Jean-Floribert se ressert. Sauf que le trébuchement de l’Ambassadeur de Tévinter n’avait rien d’un moment d’inattention et que je ne peux pas dire que j’aurais réagi autrement...

« Il n’a pas d’allure… », fait Jean-Floribert, son mépris pour le Tévintide colorant sa voix.
« On ne peut pas non plus s’attendre à ce qu’il se laisse faire à chaque fois, mon cher… Si quelqu’un vous avait fait trébucher, je lui aurais déjà casser les genoux.», répondis-je avec tout le naturel du monde, nuançant la réaction de mon époux et emportant son amusement par la même occasion.

Les dernières notes de la danse s’estompent alors et Jean-Floribert nous écarte de la piste. Il l’aura, son verre de vin… C’est qu’il insiste! Voilà que nos pas nous mènent vers la table du banquet et qu’il se sert allègrement. Je n’ai pas cette envie, la prochaine danse ne tardera pas à commencer, et j’observe plutôt les alentours, mon regard s’attardant plusieurs fois sur le Prince installé sur son trône.

J’accroche également le regard de @Victor Donnall , en bonne compagnie, et lui adresse donc un simple salut poli.

La tarentelle s’annonce ensuite et j’interroge Jean-Floribert d’un coup d’œil. Le rythme est peut-être un peu soutenu pour lui.
 
Résumé: La première danse de Fannie et Jean-Floribert se déroule sans encombres tandis qu’ils observent les aléas de la piste. Jean-Floribert se sustente ensuite entre deux danses et Fannie hésite à emmener son vieil époux sur le rythme de la tarentelle.

Inventaire de Fannie:

La pause que vous a accordée le Prince de Starkhaven sonne comme salvatrice et bienvenue : vous en profitez pour rapidement nourrir vos estomacs affamés ou désaltérer vos gosiers secs, ou bien pour faire comprendre que vous laisserez à qui le souhaite votre place dans la prochaine danse.

Ce fut ton cas, @Vera, bienheureuse d'avoir survécu à ce qui fut un échauffement pour la plupart des danseurs et danseuses qui ont grande hâte d'y retourner, mais qui pour toi fut plus éprouvant qu'attendu : tu remercies ton garde du corps avant que celui-ci ne disparaisse dans la foule, et tu te portes vers plateaux chargés de boissons. Te serais-tu attendue à être ainsi accostée par une ancienne connaissance jouant le jeu d'une première rencontre fortuite ? L'accent léger et chantant, @Nucci Mansilla, tu parais avoir bien vite oublié tes déboires des dernières semaines pour afficher de l'allégresse : homme d'apparences, tu emportes avec toi tant de masques que tu parais en tendre un nouveau à celle qui fut maquerelle la dernière fois, et que tu découvres salonnière ce soir. Sachez que votre rencontre attire bien des interrogations...
Ce sont ces masques que tu cherches, @Canisa Stazzo : comme d'autres auparavant, cette robe de domestique te va bien mal et gratte ta peau, et tu cherches plus. Ille est une présence qui t'intrigue et t'attire et, alors que tu te tiens non loin de ton amante, ille t'adresse soudain un clin d'œil complice avant de filer entre les convives, passant derrière des gardes peu attentifs et disparaisant par l'une des portes pourtant interdites d'accès. Tu aurais juré qu'un signe de sa part t'invitait à sa suite ! Désires-tu suivre son ombre, ou passer un temps amusant avec l'ambassadrice de tes désirs – à moins que tu ne désires combiner les deux, profitant que toutes les attentions se concentrent sur la piste au pied du trône ?
Une danse que vous avez manifestement décidé d'ignorer depuis le début de la soirée, et qui continuera encore de divertir vos oreilles, seules.

Quant à vous, ce sont les banquets qui ont su éveiller vos sens et attirer votre vigilance – à moins que vous ne désiriez que rester loin de ces réjouissances. Le hasard a voulu que vous vous retrouviez toutes et tous autour de la même grand table drapée de rouge et de blanc... Assez éloignés, certes, mais difficiles de vous ignorer.
Ce n'est justement pas votre cas : depuis le début de la soirée, maintenant, @Katriel de Palia, ton compagnon et toi vous interrogez sur le beau monde qui vous entoure ; celles qui entrent et ceux qui partent, ceux que vous osez nommer pour attirer leur attention et celles que vous taisez pour mieux les oublier. Sais-tu enchanteresse que tu es aussi de ces noms que susurrent les esprits et soufflent les lèvres, et attendent que tu les abordes pour délivrer leurs cœurs ? Quant à toi, @Lachlann Vaël, tu essayes d'éviter le plus possible ces autres, ressentant encore ton erreur de danse comme une cuisante défaite : crois-tu que l'on t'ait vu ? Ou cherches-tu à tâter le terrain avant de t'élancer ? Le hasard veut que tu t'échoues non loin de deux silhouettes connues, et une troisième qui t'a bien à l'œil depuis le début...
Un autre bal se déroule : non pas autour du Prince de Starkhaven mais bien de la Commandeure-Garde des Marches Libres. Tu étais des premières personnes présentes, @Iorena, et, tandis que tu te rapproches d'elle, à sa demande, Senaste t'attrape par une épaule et te partage : « Vous êtes de ces petites mains qui servent Starkhaven. Je sais que je peux vous faire confiance. » Tu entends alors la demande du conseiller, à laquelle la Commandeure-garde répond en souriant. « Continuez donc votre tâche, Serah : il serait dommage que le Haut-Juge meurt de soif. ». Tu sais pourtant que la cuvée demandée n'est plus disponible, victime de son succès auprès des membres de la Guilde marchande naine : pour servir Messer Donall, tu dois te rendre aux cuisines et emprunter pour ce faire une des portes bien gardées... mais que tu es autorisée à emprunter en tant que domestique. Voici comment, @Victor Donnall, Senaste se tourne complètement vers toi, alors que vous êtes laissés à votre banquet par vos deux autres compagnons de banquet, et elle acquiesce à tes mots, se perd dans un sourire quand tu évoques le Garde-Prévôt. « Ateesha est effectivement l'une des plus dévouées à notre cause, et elle a ma totale confiance pour les affaires de la commanderie. Quant à Ansgar, ma foi, s'il est plus à l'aise dans la diplomatie que les premiers abords laissent apparaître, il n'aurait pas été à sa place ici. » La guerrière s'arrête un instant, te toise, puis ajoute simplement : « J'ai à faire, ce soir. Comme vous je suppose, Messer Donnall ? Contrairement à vous, tous les conseillers n'ont pas fait le déplacement ce soir. »

Enfin, il y a celles et ceux qui se prêtent au jeu de la soirée et se préparent une nouvelle fois à reluire dans la salle du trône, sous la lumière éclatante du grand lustre éclairé de mille bougies. Parmi les nombreux danseurs, Carmen Amadio arrive avec un noble havenoise à son bras pour vous rejoindre.
Vous êtes les premiers à vous rendre dans le quadrille. L'un échappe à une rencontre malvenue, n'est-ce pas, @Toderick Beaujard ? La soirée s'écoule plutôt étrangement pour toi qui pensais profiter du banquet, et t'es retrouvé entraîné dans des conversations inconvenantes ; quand vous prenez place sur la piste, tu constates que tu as encore ton luth contre ta hanche, et si l'instrument est le meilleur ami des musiciens, il n'est sûrement pas celui des danseurs... Tes yeux ne manquent pas non plus ce poids à ses hanches, @Sibeal Callaigh, toi qui as gagné – le sais-tu seulement ? – une faveur du lieutenant des mercenaires : tu l'as tiré de beaux draps, et il n'y a plus qu'à souhaiter qu'il fasse honneur à tes performances précédentes... ou saura te divertir par les mots. Vous êtes donnés, par les mots que vous captez, grands favoris de ce quadrille, car vos deux réputations vous précèdent.
Vous avez pourtant de sérieux concurrents qui prennent place à vos côtés : personne de moins que le couple d'ambassadeurs orlésiens. C'est qu'à accepter que ton époux ait enfin accès à ton verre de vin, @Fannie de Crassilliot, il se découvre encore plus d'énergie ; les autres ambassadeurs ne paraissent pas vouloir vous concurrencer. Pas de genoux à casser, ma chère ; seulement, alors que tu mets en doute votre participation à la prochaine danse, Jean-Floribert de Crassilliot s'écrie : « Vous rigolez ? La tarentelle est une des danses dans lesquelles j'excellais lorsque j'étais jeune et fringant ! Venez avec moi, ma douce, que je vous fasse honneur », et il te tire vers la piste de danse sans que tu ne puisses discrètement le retenir. N'avez-vous pas une revanche à prendre sur la demoiselle de Cairnayr qui vous a précédemment volé la vedette ?
Votre quadrille est prêt, et d'autres se mettent en place.

La suite de la soirée s'annonce enfin.

« Messer et Messerah ! En place pour la tarentelle ! » ; lorsqu'enfin, le Prince de Starkhaven lui envoie le signe tant attendu, le valet le transmet aux trouvères et aux danseurs.

Pour cette danse, il vous est demandé d'abord de saluer vos partenaires, puis de vous mettre en place dans le carré : la danse ne commence que lorsque tout le monde s'est plié à cette première règle. Les conversations baissent d'un ton alors que vous vous mettez en place, passent des éclats aux murmures : les regards se perdent au centre de la pièce, et l'on jauge, juge, les courageux qui se sont élancés dans cette danse.
Eux se font face, silencieux et concentrés, les yeux dans les yeux : les masques ne cachent pas assez de la concentration et de la solennité. Avec lenteur et rondeur, la harpe entre la première dans la ronde, assez lente pour que vous puissiez vous calibrer : après tout, tout le monde ne connaît pas réellement son cavalier, n'est-ce pas ? Les premiers bras s'élèvent, les premières jambes se meuvent, tout n'est que douceur et promesses à venir.

« Cher Kendric, que pensez-vous d'observer cette danse ?, la Grande-prêtresse partage ces quelques mots au Prince. La dernière a été plaisante à regarder, celle-ci pourrait également vous distraire.
- Tant que vous ne m'invitez pas à danser..., grommèle-t-il en réponse, barbe et moustache se soulevant sous l'effet d'un léger sourire – phare dans l'océan de son visage troublé.
- Je n'oserais pas, par honneur pour la Princesse. »
Les deux dignitaires, verres à la main, se retournent vers la ronde que certains et certaines d'entre vous forment au centre de la salle, non loin du trône : le Prince de Starkhaven n'a pas un regard en sa direction, et tente de faire montre d'étiquette en s'intéressant à vos premiers mouvements.
En réalité, pourtant, si la concentration de Rebecca Leysleigh est toute conquise aux danseurs et danseuses, Kendric Vaël détourne rapidement les yeux d'un certain ennui. À titre personnel, les enjeux de pareils échanges lui échappent depuis longtemps ; et il n'a plus d'enfants ou de proches que cela pourrait intéresser... Il attend avec une impatience non dissimulée qu'une distraction le sorte de ce devoir qu'il simule à peine – une conversation, peut-être ?

C'est ensuite au tour de la vièle d'entrer en jeu : aux cordes pincées s'ajoutent des cordes frottées, et le tempo s'accélère légèrement : vos mains s'élèvent plus haut, vos hanches se fluidifient, et les pieds touchent et frappent de la pointre, du talon, le sol que l'on doit d'ordinaire vénérer et baiser. Vous commencez à vous tourner autour.
La musique ne cesse d'accélérer au moment où les tambourins entrent en jeu : elle monte d'un ton, puis de plusieurs : les vigilances s'étiolent, les conversations demandent bien de la concentration, et les portes ne sont plus gardées. Sur la piste, l'on commence à se rapprocher et à s'éloigner, sans jamais devoir se toucher, sinon l'on est éliminés : et le public veille à respecter cette règle. Alors, on virevolte, on change de place, on joue avec les autres couples tout en brillant avec son cavalier.
Le rythme devient intense ; et le rythme devient dur à tenir. Tout monte crescendo : le rythme, les pas, les expirations. Il faut s'approcher, se tenter, pour briller parmi les danseurs ; il faut se rapprocher pour tenir la conversation et se faire entendre ; il ne faut plus hésiter pour saisir l'instant et disparaître dans les passages dérobés. Tant la salle du trône ne tourne plus qu'autour de la tarentelle.

Jusqu'à ce qu'au moment où les tambourins s'arrêteront. Où la vièle se calmera. Où la harpe s'apaiser à été sera la dernière à embaumer les respirations haletées, et l'on découvrira alors qui seront les derniers en piste.

La salle du trône se met soudain au diapason de la tarentelle : si vous la dansez, évidemment, il n'existe plus que la musique, votre quadrille et, bien sûr, votre partenaire ; si vous la regardez, vos yeux iront de danseur en danseuse sans jamais pouvoir les quitter, happé par le mouvement, par le moment ; si vous souhaitez profiter du moment, elle sera votre meilleure complice, ouvrant pour vos des portes interdites pour que vous disparaissez ; si vous l'évitez, elle sera intrusive, bien mauvaise compagne pour ne pas vous rappeler à elle et à votre refus de ne pas vous laisser emporter.

Mais qu'importe : elle prendra fin bientôt, délibrant ses belles promesses.

Inventaire : vous devez indiquer votre inventaire avec le code suivant à la fin de votre message. Vous devrez ensuite répéter post après post cet inventaire en barrant avec la balise strike un objet qui a été utilisé, consommé ou perdu, afin que tout le monde puisse suivre l'évolution.

Code:

[spoiler="Inventaire de NOM DU PERSONNAGE"]INSÉRER ICI INVENTAIRE DE VOTRE PERSONNAGE AVEC UN RETOUR A LA LIGNE ENTRE CHAQUE OBJET.[/spoiler]

Vous trouverez les règles concernant les Potions dans ce message.

Danse : réussir une danse se règle par un Jet d'Agilité des deux partenaires : il n'y a pas de concours, seulement une réussite ou un échec. Si votre partenaire n'est pas un.e joueur.euse, vous pouvez fixer la capacité de danser du PNJ par un Jet de Chance. Pour information, il n'y aura aucune « victoire » de danse.
La danse ne se termine pas à ce tour, mais au début du prochain tour.

Pour toute autre action, à titre indicatif, la Discrétion, le Crochetage, l'Acrobatie se fait sur un Jet d'Agilité ; toute action physique se résout sur un Jet de Force ; la Fouille implique un Jet de Perception. Dans le cas du Jet de Perception, indiquez en description ce que et où vous fouillez, et taggez @Andrasté dans un nouveau message dans le sujet de lancer de dés en cas de réussite : le résultat vous sera communiqué avant la fin du tour.

• Introduction générale: Si vous avez la moindre question, n'hésitez pas à vous référer au sujet récapitulatif.




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• Le prochain tour s'ouvrira le 8 mai 2024.
• Pour ce tour trois, la tarentelle s'élance et la musique bat la mesure de la soirée pour tout.te.s : certain.e.s y verront une belle opportunité quand d'autres ne pourront réellement s'y soustraire...
• Ordre de passage : L'ordre de passage est libre et vous pouvez poster autant de fois que vous le souhaitez. Si vous souhaitez faire plusieurs réponses, laissez passer un petit délai (indicatif : 2-3 jours) entre les réponses de votre personnage pour que d'autres aient le temps de jouer.
• Indications RP : Privilégiez les réponses courtes (environ 500 mots). Si vous parlez à quelqu'un, taggez-le dans votre message (pour rappel, un tag s'écrit ainsi : @"PSEUDO COMPLET DE LA PERSONNE" les guillemets sont essentiels). Le résumé ainsi que l'inventaire en fin de message sont obligatoires.
• Dés : Lancez les dés dans le sujet dédié et se référer aux règles.
• PNJs : vous pouvez librement interagir avec les PNJs et, si vous le sentez et les connaissez bien (ou en êtes proches), avancer avec elleux sur des conversations triviales ! Vous trouverez leurs présentations dans ce sujet et pouvez demander confirmation à @Andrasté.
  PNJs présent.e.s : Carmen Amadio, Jean-Floribert de Crassilliot, Kendric Vaël, Rebecca Leysleigh, Senaste et Yasrick Kavish.
  Vous pouvez librement interagir avec les PNJs et, si vous le sentez et les connaissez bien (ou en êtes proches), avancer avec elleux sur des conversations triviales ! Vous trouverez leurs présentations dans ce sujet et pouvez demander confirmation à @Andrasté.




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• Participation : @Agnese de Palia, @Canisa Stazzo, @Fannie de Crassilliot, @Iorena, @Katriel de Palia, @Lachlann Vaël, @Nucci Mansilla, @Sibeal Callaigh, @Toderick Beaujard, @Vera, @Victor Donnall.
  Vous pouvez dès à présent vous inscrire pour le tour suivant dans ce sujet.
• Absence : Personnages absents à ce tour : @Agnese de Palia. Vous pouvez être absent.e.s pendant un tour sans conséquence ; en cas d'absence pour un deuxième tour consécutif vos personnages seront considérés comme n'ayant jamais participé à l'évènement et il faudra vous inscrire pour en reprendre.
• Exclusion : après deux tours sans réponse, voici les personnages exclus de l'event : @Aerontus Nepos (sur demande du joueur), @Miche (sur demande du joueur), @Patte-Blanche. Si vous souhaitez y participer à nouveau, veuillez vous inscrire à nouveau.