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Ambroise Wardell - Peintre

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TW Mort Ambroise Wardell
>“The greatest temptations are not those that solicit our consent to obvious sin, but those that offer us great evils masking as the greatest goods.”
Informations

Nom Ambroise Wardell Âge 33 ans. Genre Masculin. Peuple Humain. Nation d'origine Marches Libres. Occupation Peintre, mais aussi travaillant régulièrement pour la chantrie dans des petites tâches. Religion ou croyances Il essaie tant qu’il peut de croire au Créateur. Langue(s) parlée(s) Commune. État civil Célibataire. Origine sociale Roturier.  Niveau de vie Pauvre.  Équipement Une armure légère, une dague cachée dans une de ses bottes, et quand il sort la nuit ou dans un endroit dangereux, une arbalète.

Merilliza Chan « Head Sketches »
Mage

Mage, NIVEAU 2


Humain, Marches Libres, Roturier, 33 ans

Aucune
//
Peuple
Après deux ans au sein de Starkhaven, Ambroise s’est forgé une petite réputation de peintre. Rien d’extraordinaire, même si la Chantrie apprécie de faire des commissions auprès de lui pour de nouvelles œuvres d’art.
Chronologie

Floraison 4:79 Naissance de Ambroise. Drakonis 5:04 Départ de Ambroise de Hasmal, ville de sa naissance. Justinien 5:04 S’installe dans un petit village perdu.  Gardien 5:11 Quitte le village pour s’installer à Starkhaven.

Anecdotes

Il est insomniaque, ce qui peut lui valoir avoir une mine assez terrible. Ambroise essaie de toujours ajouter un peu du feu dans ses oeuvres, quand c'est possible évidemment. Il n’est pas intéressé par la gente féminine. Il cache des cicatrices sur ses poignets. Il aime peindre en transformant des choses qui ne sont pas belles en quelque chose de plus beau.

Questions

Le monde de Thédas est vaste et, pourtant, voilà que vous vous trouvez actuellement à Starkhaven. Comment êtes-vous arrivé ici et pourquoi y restez-vous ?
J’ai décidé il y a deux ans de cela, de partir du village où je résidais, et j’ai fini ici. Ma famille a toujours peint, puisque la Chantrie m’a accueilli quand je n’avais rien, j’apprécie leur rendre service.

Depuis les évènements de la cathédrale, deux avis s'opposent : d'un côté, la menace énoncée par la Commandeure-Garde à propos de l'Enclin mérite une attention particulière, comme le suggèrent les nations de l'ouest ; et de l'autre, on rejoint la position du Prince sur une absence manifeste de preuves, corroborée par les voyageurs antivans... Prenez-vous un parti dans cette opposition et que pensez-vous de la situation ?
L’Enclin étant une menace grave, il me semble que la meilleure réponse serait de se préparer à l’éventualité qu’elle arrive. Mais je ne suis pas un meneur d’homme, ni un politicien, et chacun a probablement des intérêts personnels à défendre dans cette crise. Bien sûr si l’Enclin est une réalité et qu’elle se dirige droit vers Starkhaven, je devrais certainement partir à nouveau…


À Starkhaven, l'union fait souvent la force, mais l'on trouve parfois préférable de faire cavalier seul ou cavalière seule. Quelle est votre place parmi les différentes organisations et factions de la cité et pourquoi avez-vous fait ce choix ?
Je ne suis qu’un peintre, je n’ai pas vraiment d’intérêt à faire partie de quoi que ce soit. Pensez à moi comme vous pensez aux mendiants dans la rue, invisible.

Même accompagné de vos proches, de vos collègues, de votre animal de route, vous vous retrouvez seul ou seule à vous demander de quoi demain va bien pouvoir être fait. Quel est votre objectif le plus concret et direct à suivre ?
Mener une vie simple, tout ce qu’il y a de plus normale. Je n’ai pas de grand rêves si ce n’est que de rester en vie, car je sais qu’elle est précieuse.

Personnage

Pronom du personnageIl. Thèmes Tous, je n’ai pas de problème avec quelque thème qui pourrait être abordé, j’aime moi-même aborder des thèmes sombres (je veux dire, ça se voit sur l’histoire).Mort du personnage ? Si je viens à quitter le forum, je laisse la possibilité aux staff de pouvoir faire mourir mon perso.  Objet des rumeurs Oui.

Joueur

Pseudo Nine. Avez-vous plus de 16 ans ? Oui. Comment avez-vous trouvé le forum ? L’annuaire des forums rpg français. Fuseau horaire Paris. Mot de la fin Je suis content de voir un forum rpg Dragon Age ! Je dois avouer que le thème manque un peu de contraste pour que je puisse lire sans grossir le texte, heureusement l’outil que vous avez mis en plus est vraiment pratique !

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TW décès, sang, cadavres, violences, auto-mutilationLe Feu“I’ve always only wanted to save you.”

Elena Wardell avait eu un enfant avant Ambroise, qui n’avait malheureusement pas survécu les cinq premières années de sa vie, elle avait donc à cœur de protéger Ambroise, espérant le voir grandir et peut-être à terme, reprendre la suite de la petite entreprise. Les Wardell étaient des peintres reconnus de la cité de Hasmal. La jeune femme à l’époque emmenait son enfant tous les aspects du travail, achetant les outils, allant voir les clients de la haute société pour comprendre ce qu’ils voulaient, les croquis, les différents supports sur lequel la peinture pouvait s’accrocher, du mur à la toile en passant par le bois et la pierre. Et lorsque la journée se finissait, Elena emmenait son fils voir son père qui rentrait les habits tâchés de peinture et une boîte usée contenant ses outils.
Ambroise ne pouvait pas dire qu’il avait eu une enfance malheureuse, au contraire. La position de ses parents lui permettait d’avoir toujours de la nourriture à sa table, les nobles ayant toujours des envies de vanités pour montrer leur richesse à leur entourage. Cela ne voulait pas dire qu’ils roulaient sur l’or, bien évidemment, les peintres étaient payés décemment, mais cela s’arrêtait là. Cependant, si Hasmal avait son lot de peintre, le couple Wardell et leur petit fils très mignon, étaient probablement le premier choix de tous.

Au fur et à mesure du temps, Ambroise compris plus d’aspects du travail de ses parents qui consommaient beaucoup de temps dans leur vie, et au tout début de son adolescence, il commença aussi à les assister dans leur entreprise. Il avait appris, avec toutes ces années d’observation, quel pinceau utiliser, quel matériau pour quel type de peinture, certaines proportions, lire et compter pour comprendre les documents liés aux clients et à leurs demandes. Ambroise était un apprenti pour ses parents, les accompagnant partout, peignant de la fresque à la toile, achetant les fournitures, lavant les pinceaux, se levant aux aurores, observant les corps se mouvant dans la rue pour s’en inspirer.

Mais c’est aussi à cette période-là que des choses étranges commencèrent à se produire. L’adolescence apportait son lot de problématiques biologiques, mais aussi sociales. Ambroise se voyait être distancié par les autres garçons de son âge, pour le fait d’être un peu plus sensible, un peu plus effrayé et introverti. En plus de cela, des rumeurs le poursuivaient personnellement, car à chaque fois qu’un des délinquants de la ville venait faire du mal à Ambroise, l’agresseur tombait dans un étrange état de peur, contrarié et complètement perdu quelques minutes après avoir fini son abus. Les rumeurs chez les jeunes adolescents étaient qu’Ambroise avait été maudit à sa naissance, mais la réalité était tout autre.
Elena sut dès l’instant où elle entendit les rumeurs sur son fils, que le sang traditionnel des Wardell n’avait pas manqué sa progéniture. En effet, il y avait effectivement ce que l’on pourrait appeler une malédiction, au sein de la famille Wardell, surtout du côté de la mère : la magie. Elle avait eu la chance d’y échapper, mais malheureusement, cela n’avait pas loupé son fils. Sans en dire un mot au père, qui n’avait aucune idée de ce qui renfermait dans son sang et qui restait très dévot à la Chantrie Andrastienne, Elena envoya son fils à la seule personne qui pouvait réellement l’aider. Ce n’était pas vraiment à proprement parlé un ami, mais un ancien client pour qui ils avaient fait un portrait de famille, avant que la mère et le fils ne décèdent.
C’était un homme aux traits sérieux qui faisait peur à Ambroise petit, la peau mate et portant toujours de longues robes sombres soyeuses, typiques de Tévinter. Solarius de son nom, Tévintide qui avait migré à Hasmal. Là-bas, Ambroise put comprendre ses aptitudes qui étaient liés à l’école de l’entropie. Solarius lui proposa d’explorer et de maîtriser ces nouveaux pouvoirs, pour se protéger des murmures de l’Immatériel, mais aussi pour se cacher de son père, ainsi que du reste de la société. La bâtisse dans laquelle habitait Solarius était bien plus grande que la maison des Wardell, avec une bibliothèque remplie de livres sur des thèmes parfois interdits au sein des Marches Libres, les murs renfermant secrets et serviteurs, de la richesse sous forme de statues et de tapis aux fils d’or.

L’apprentissage de Ambroise était officiellement pour sa compréhension du monde, allant de la géographie à l’histoire, mais officieusement pour la magie. Évidemment, le père voyait d’un mauvais œil que son fils prenait des leçons avec un Tévintide, mais sa femme le rassurait sur cela. Après tout, depuis la mort de sa femme et de son fils, Solarius se retrouvait seul, et l’adolescent apportait un peu de vie à l’énorme maison aux serviteurs invisibles. Et cela était vrai, le Tévintide s’attacha beaucoup à Ambroise, le traitant comme son fils. Le garçon qui n’avait connu jusqu’à lors que les métiers de l’art, trouvait un nouveau monde rempli de connaissance et de possibilités, et il s’efforçait de prendre un nouveau livre chaque semaine à lire, délaissant un peu le travail de ses parents pour des aspirations plus héroïques.
La pratique de la magie de l’entropie se faisait principalement sur des petits animaux, afin de ne pas blesser qui que ce soit, mais Solarius aimait tester le petit mage en le provoquant. La maîtrise de ses émotions était importante pour contrôler proprement la magie, et la fougue du jeune homme ne devait pas le mener à sa perte. Il ne devait pas écouter les démons lui susurrant des mots doux à l’oreille, ni dépasser ses limites de mana. Ambroise apprit néanmoins à travers quelques discussions avec son maître, qu’il existait une école qui permettait de dépasser ces limites en mettant en jeu sa vie, qui n’était pas permise au sein des Marches Libres, la magie du sang.

À l’âge de ses seize ans, les parents d’Ambroise devenaient plus insistants sur l’idée qu’il se devait de continuer la filiale familiale. Son frère qu’il n’avait pas connu étant mort, tout le futur de l’entreprise familiale revenait sur ses épaules. Après tout, le couple Wardell devenait de plus en plus vieux, le jeune homme pouvait voir leurs cheveux blanchir doucement mais sûrement, et leur esprit être un peu plus ténu. Surtout celui de sa mère, qui commençait à oublier des choses, qui se perdait au sein de la ville, qui se mettait à trembler ou hurler au milieu de la nuit. Une maladie, ou bien une malédiction, quelque chose qui faisait que le jeune homme ne pouvait plus se permettre de rester loin de sa mère, qui l’accompagnait donc dans toutes ses tâches. Elena s’excusait de son état, mais celui-ci ne s’améliora pas avec le temps.
Les rêves héroïques de Ambroise s’effaçaient au fil des jours, mais une partie de lui ne pouvait pas lâcher cela. Il souhaitait être libre, libre de sa famille, libre des riches payant leur art en les traitant comme des moins que rien, libre de ces fresques blanches et ces pinceaux usés. Chez Solarius, dans les brefs moments où il pouvait encore se permettre d’y aller, il cherchait au milieu de la bibliothèque des choses pour soigner, enlever les malédictions, retrouver sa mère qu’il chérissait, et peut-être éviter le destin qui semblait lui être réservé.

Avec les années, les recherches de Ambroise se firent de plus en plus désespérées. Il commanda des livres chers venant de l’autre bout du monde avec l’aide de Solarius. Sa pauvre mère ne pouvait plus rien faire, son esprit grignoté par le mal qui ne voulait pas s’en aller. Lors de ses moments de délires violents, tout ce qu’avait trouvé Ambroise pour la calmer était de la bercer d’illusions reposantes, manipulant la magie d’entropie non pas pour la faire souffrir, mais pour la calmer. Il tenait à l’espoir qu’il pouvait trouver un moyen de la sauver, et il était prêt à n’importe quoi pour cela, sauf bien sûr, de croire les mensonges éhontés des démons le visitant pour lui promettre des merveilles en échange de son âme.
Un soir, alors qu’il cherchait une nouvelle fois dans la bibliothèque, prenant des notes, incapable de dormir malgré la fatigue physique du travail qu’il avait accompli durant la journée, son maître apparu à ses côtés. Le voyant dans sa désespération, l’homme avait décidé de faire le choix de lui permettre d’accéder à plus de pouvoir, grâce à cette énergie moins limitante que le mana. Il lui confia une dague, se révélant comme Maléficien, et lui appris donc à puiser cette force au sein de lui-même. La magie du sang n’était pas en elle-même maléfique, mais beaucoup se sentaient devenir ivre de pouvoir avec son immensité et ses possibilités. Le sang était partout, dans chaque être humain, il pulsait et appelait à être utilisé.
Ambroise fit en premier ses essais en s’entaillant délicatement le poignet, essayant de sentir la force de la puissance du sang coulant dans ses veines. C’était un long apprentissage, mais peut-être aussi le seul moyen pour sauver sa mère. Un espoir qui le faisait tenir après chaque jour d’échec, après chaque jour de travail, après chaque nuit à s’occuper de sa mère qui avait perdu son esprit. Il lui murmurait des promesses de la retrouver, de la ramener, de la soigner, alors que tous les prêtres de la Chantrie semblaient l’avoir abandonnée à son état, alors même que son père commençait à la délaisser, consumé entièrement par le travail et les nuits à boire.

Tous les jours, une nouvelle entaille sur son poignet, tous les jours, une nouvelle pulsation du pouvoir sommeillant en lui, pour l’utiliser afin de le dompter. Avec le temps, Ambroise commençait à percevoir le sang au sein des autres, leur pouvoir intouché qui leur insufflait cette vie si frêle, un pouvoir murmurant à ses oreilles d’être utilisé, pour sauver sa mère, pour retourner à cette vie paisible précieuse de son enfance. Souvenirs remplis de l’odeur de peinture et des formes colorées sur les tableaux, des mots d’amour de sa mère, loin des cris de furies d’un corps vivant qui n’était plus elle, elle qui se débattait comme si elle était possédée, jusqu’à ce qu’elle soit bercée par une illusion apaisante… Un répit jusqu’à la prochaine crise.

Mais les clients et leurs désirs n’attendaient pas. Ils travaillaient aussi pour la Chantrie quelques fois, un jour Ambroise fut payé pour mettre sur toile la purification d’un corps sur un bucher par le feu. Le feu comme symbole de purification devint particulièrement cher à Ambroise. Il y avait quelque chose de libérateur à brûler des corps sans vie, et quelque part, le jeune homme souhaitait cette purification pour lui-même et sa mère. Mais dans ses journées de travail, du matin jusqu’au soir, le sang dans chacun des êtres vivants sonnait à présent comme une musique aux oreilles d’Ambroise, comme l’espoir d’un pouvoir qui sauverait l’âme de la personne qui lui était le plus cher au monde.

Solarius qui l’accompagnait dans ses recherches, lui proposa un jour un sort qui permettait d’aller dans l’esprit d’une personne, qui permettrait peut-être de le réparer, grâce à la magie du sang. Il suffisait pour cela, d’une entaille sur le corps de la victime. Fort heureux de cette trouvaille, Ambroise alors âgé de vingt-quatre ans, alla voir sa mère, et commença ses expériences. Le temps était contre lui, clairement, sa mère ayant dû être enchaînée à un lit dans une petite chambre afin d’éviter qu’elle ne se fasse de mal à elle-même, ou bien à d’autres. Les moments où elle était consciente n’existaient plus, remplacés par les mouvements et les cris d’une bête, jusqu’à ce qu’elle s’épuise et s’endorme. Une crainte gisait au sein de l’esprit du jeune homme, que peut-être, son esprit était perdu à tout jamais, mais ce petit fil d’espoir, et ce pouvoir chantant dans son corps et celui des autres, tenait bon. C’était grâce à cela qu’il continuait dans sa quête. Son père ne venant quasiment plus dans la maison, Ambroise ne craignait pas d’être vu pratiquant sa magie.
Alors il fut une première entaille pour tenter de s’introduire dans l’esprit malade de sa mère, ce qui échoua. Puis il recommença, chaque jour. Au début, il se contenta de rouvrir la blessure, mais il préféra changer après quelques temps sur la même plaie. Il ne suffisait que de quelques gouttes. Au fur et à mesure des mois, il multiplia les coupures sur sa mère hystérique. Le mage pleura les premières semaines de ses actes, il cauchemardait la nuit du sang de sa mère jaillissant de ses veines pour la sauver. Il s’agissait de son seul espoir, le sang recouvrant toute sa vue, toutes ses pensées. Il se levait le matin, travaillait jusqu’au soir en écoutant le chant de son sang et celui des autres, puis rentrait à la maison pour utiliser celui de sa mère, tentant en vain de s’insinuer dans son esprit, dans l’espoir de pouvoir la sauver.
Après quelques mois, au moins l’une des plaies d’Elena commença à s’infecter. Ambroise n’avait aucun recours, car s’il amenait sa mère à quelqu’un qui pouvait peut-être la soigner physiquement, il serait exposé pour ses pratiques, rendant tout espoir de la sauver nuls. Le Maléficien continua donc avec plus d’entêtement. Ne dormant plus, il passa ses nuits à tenter de maîtriser ce pouvoir, se sentant perdre la course contre le temps. Sa mère faiblissait de jour en jour, l’infection s’insinuant dans chaque recoin de son corps, dévorant ses organes, les doigts devenant noirs et décrépis comme la mort.

Et un jour, après une énième nuit blanche, une énième coupure, il se sentit enfin accéder à la surface de l’esprit de sa mère. Une psyché chaotique, sans sens, dans lequel se trouvait, au fond, une jeune femme qu’il reconnut tout de suite comme sa mère. Sa mère aux yeux plus froids et durs qu’il ne l’avait jamais vu. Elle n’était pas heureuse, et Ambroise le comprit très vite, elle était en colère car son fils avait décidé de la mutiler pour tenter de la sauver, qu’elle regrettait de ne pas l’avoir envoyé au cercle, qu’elle avait honte, qu’elle partait auprès du Créateur avec un sentiment de déception et de dégoût pour son fils. Au moins, disait-elle, elle n’avait plus à voir ce qu’était devenu son fils, là où elle se dirigeait.
Ambroise se réveilla après cette vision en sursaut sur le corps inerte de sa mère. Ses yeux ouverts sans vie, sa bouche tordue, un râle d’agonie s’échappant encore de son corps, comme si son cadavre tentait de raconter la maltraitance qu’elle avait subie, des mains de son propre fils. Paniqué, le mage mit le feu et fuit sa propre maison, laissant la dague que lui avait confié Solarius dans la pièce. Il quitta Hasmal au milieu de la nuit enveloppé dans une cape, espérant aller assez vite pour éviter d’être retrouvé et traqué. Il comptait s’éloigner le plus possible de Hasmal, peut-être s’établir à terme dans une toute petite bourgade où il pourrait se rendre utile. Il n’imaginait plus utiliser aucune magie, son esprit teinté par des souvenirs qui le hanterait toute sa vie, et toutes ses nuits.

Après quelques jours de voyage, très peu de repos et quasiment rien à manger, Ambroise croisa une calèche. Sur ses gardes, il observa le chariot s’arrêter sur le bord de la route, avant de lui ouvrir la petite porte. À l’intérieur, se trouvait Solarius qui l’invitait à le rejoindre, ainsi qu’un serviteur l’accompagnant. L’élève, se savant fichu, s’aventura abattu dans la calèche qui reprit son chemin. Ambroise se rendit vite compte qu’ils n’allaient pas en direction de Hasmal, et le maître apprit à Ambroise qu’il était recherché pour utilisation de magie du sang et possession par un démon. Mais ce qui intéressait le plus Solarius, semblait-il, c’était de savoir si l’entreprise de Ambroise s’était couronnée de succès, s’il avait su rentrer dans l’esprit de sa mère, s’il avait su la guérir à travers cela avant sa mort. Le jeune homme avoua son échec à demi-mot, dégoûté et horrifié par son acte, les mains posés sur ses doigts tâchés d’un sang maintenant invisible, mais Solarius n’était pas choqué. Lui confiant un peu de nourriture et de l’eau, il lui proposa de se faire adopter, de changer son identité, et de venir avec lui à Tevinter, de prendre la place de son fils, place qu’il avait ‘mérité’. C’était pour lui une chance de vivre une aventure, de devenir quelqu’un, dans un endroit où les mages étaient libres, contrairement au reste des Marches Libres.
Mais cela n’intéressait pas Ambroise, ces dernières années avaient été complètement gaspillées par ses maudits pouvoirs, et sa mère, sa pauvre mère en avait fait les frais. Il n’osait pas se demander ce qu’en pensait son père, mais les regrets l’accablaient grandement. Solarius apparaissait dans la calèche comme un démon sortit de l’Immatériel, lui qui lui avait donné le pouvoir, l’avait entretenu, rendu plus fort. Il avait murmuré à son oreille comme les esprits pervertis, promettant monts et merveilles. Il ne blâmait cependant pas Solarius pour ses propres actions, car c’était bien Ambroise, dans la fougue de sa jeunesse et de ses espoirs, qui s’était poussé jusque-là, jusqu’à cet endroit, cet instant. Le jeune homme refusa aussi poliment que possible son offre, et Solarius hocha la tête, lui confiant une lettre contenant des informations sur sa résidence à Tévinter, au cas où le jeune homme changeait d’avis. Ainsi qu’une bourse remplie de pièce d’or. Après cela, il sortit la dague que le jeune homme reconnu de suite comme étant celle qu’il avait utilisé contre lui-même et sa mère. Ambroise refusa de la prendre, sentant son corps tremblant en revoyant dans son esprit les nuits et les journées torturées de désespoir, et la finalité que tous ses efforts avaient apportée.
Solarius lui demanda s’il était sûr, avant de prendre le bras du serviteur impassible resté à leur côté sans dire un mot. La dague pointant sur son bras, le maître fit couler son sang. Le cœur de Ambroise se mit à battre franchement à nouveau, et tous ses sens se concentrèrent instantanément sur les pulsations du sang du serviteur, la tentation du chant du sang, de ce pouvoir toujours présent, qu’il serait terriblement épouvantable de ne pas utiliser. Pourtant, les poings et les dents serrés, Ambroise demanda à quitter la calèche, et partit en courant dans le froid de la nuit, la lettre serrée contre son cœur, les larmes froides sur son visage.

Son voyage le mena à travers les terres des Marches Libres, il trouva un moyen de passer la rivière de Minantre, avant de se perdre au milieu des plaines. Là-bas, le jeune homme se fit attaquer par un groupe de brigands, qui malheureusement le dépouilla de toute la bourse qui lui restait. Lors de l’altercation, il ne chercha même pas à se défendre. Il fut recueilli par une famille de fermiers sans enfant dans un petit village perdu, à côté d’un bois. Nourris, soigné et logé, Ambroise n’eut aucun autre choix moral que de les aider dans leurs tâches quotidiennes. La famille avait la politesse de ne jamais demander d’où il était sorti, ou bien pourquoi il avait eu toutes ces cicatrices sur les poignets. L’esprit tourmenté d’Ambroise se concentrait sur des choses plus directes, plus présentes, que son passé terrible. Bien sûr, les insomnies ne cessaient pas, et les tentations d’utiliser ses pouvoirs non plus, mais il gardait cela comme s’il s’agissait d’une punition, d’une épreuve continue.
La famille étant très pieuse envers le Créateur, Ambroise se mit lui-même à prier, à tenter de suivre les préceptes, d’écouter les sermons et les cantiques des sœurs de la petite chapelle. Il prit l’habitude d’observer le soir les flammes des torches illuminant le village, pensant au feu qu’il avait allumé lorsqu’il avait fui Hasmal. Parfois, il prenait une torche et l’approchait dangereusement de ses cicatrices, sentant la chaleur le brûler. Il ne croyait pas vraiment au fond, mais tenta de tout faire pour y croire, car tout ce qu’il voulait était qu’il soit pardonné pour toute sa vie d’avant, toutes les erreurs et toute la souffrance qu’il avait pu causer. Quand la sœur lui accordait le pardon, Ambroise sentait au fond de lui que ce n’était qu’un mensonge, un moyen vain pour se sentir mieux, mais pendant quelques minutes, il arrivait à y croire, à pousser sur le côté les mots que lui avait murmuré sa mère, au râle d’agonie, l’affirmation de son crime. Un jour, il se brûla les doigts dans l’espoir que cela affaiblirait sa culpabilité, sans succès.
Avec les années, il se remit à manipuler des dagues, très utiles pour couper un peu tout et n’importe quoi dans la ferme. Cependant il apprit aussi à utiliser une arbalète pour se défendre contre des bêtes sauvages. Il appréciait toujours les dagues, malgré tout, et le couple de fermiers lui offrit une lame qu’ils avaient sans doute payée cher. A chaque tentation d’utiliser son sang, le jeune homme n’avait qu’à regarder vers ses poignets remplis de cicatrices pour s’en dissuader et trouver un autre moyen d’accomplir ce qu’il voulait faire. Et si cela ne passait pas, il tentait alors d’approcher le feu sur ses mains jusqu’à ce que la sensation de brûlure soit trop forte. Ambroise pensait finir sa vie dans ce petit village, à regarder ses péchés en face tous les jours, à travailler pour son pardon, pour peut-être un jour ressentir la tranquillité de son esprit, ou bien la joie. Cependant, il semblait que le ‘Créateur’, ou quoi que fut réellement l’entité guidant sa vie, avait d’autres plans.

Un soir, le village fut malheureusement attaqué par un clan de brigand venant du sud, les bêtes massacrées, les champs brûlés. N’ayant pas pu dormir cette nuit-là, Ambroise fut aux premières loges pour réagir. Son désir de protection s’était affirmé au fil des années passées dans le village et il comptait bien faire tout ce qu’il pouvait pour défendre le village. Il commença d’abord par prendre sa dague, se faufilant entre les maisons pour trancher la gorge des brigands qui se battaient contre les autres villageois, tentant d’ignorer le chant de leur sang qui n’était alors plus qu’un murmure. Mais quand quelques barbares coincèrent le couple de fermiers dans leur propre maison, s’amusant à les torturer psychologiquement et physiquement en leur coupant des doigts dans des rires gras, les précautions d’Ambroise tombèrent en poussière.
La dague à la main, il retomba dans ses vices sous le regard horrifié du couple, faisant sortir le sang de son propre corps, la sensation de pouvoir l’enivrant profondément jusqu’à ce que le sang de chacun des brigands bouillît furieusement. Ils crièrent de douleur, leur corps criblés de bleus, lâchant leurs armes, se tortillant au sol pendant ce qui semblait durer des heures. Ambroise utilisa ses pouvoirs pour leur faire voir des choses atroces, jusqu’à ce que leur cœur ne cesse de battre, leur sang ne cesse de pulser. Après seulement, comme un démon dans la nuit, il s’enfuit à nouveau. Les fermiers se rappelleraient pour toujours de ce Maléficien sadique qui avait semblé avoir pris possession du corps de Ambroise alors qu’il avait pris plaisir à réduire en silence les bandits qui les avaient agressés. Cependant, ayant été sauvé, le couple de fermiers firent tout pour empêcher les templiers de poursuivre le criminel.

Le jeune homme s’était alors introduit dans le chariot d’un marchand itinérant qui comptait aller vers Starkhaven. Ambroise avait alors un peu plus de trente ans. Une fois à sa destination, il proposa à la Chantrie de travailler comme peintre, parlant de son expérience avec les pinceaux, de tout ce dont il était capable de faire. Ce retour vers la peinture était comme un retour aux sources, et il espérait que cette fois-ci, il ne céderait pas à la tentation d’utiliser ses pouvoirs. Son quotidien lui rappelait son enfance, à préparer les outils pour son travail, démarcher des clients, peindre des portraits sur toile, ou bien des murs pour des fresques. C’était sa peine, sa punition, sa prison pour avoir fait preuve d’autant de faiblesse, mais aussi semblable à une douce couverture, c’était son enfance, son berceau.
Il put se loger en partie grâce à l’aide de la Chantrie qui appréciait son travail, dans une petite maison dans les quartiers pauvres. Ce n’était rien de très grand, mais c’était propre. À présent, il avait trente-trois ans, les rides commençaient à se dessiner lentement sur son visage fatigué, les cernes creusés par des années d’insomnies, les manches recouvrant ses poignets, arborant parfois des marques de brûlures, dans ses moments de tentation. La dague toujours à sa ceinture, un mémento de cette vie à la ferme, le corps svelte mais robuste, le regard ambré sombre et torturé par les souvenirs l’accablant chaque jour, qu’il se permettait de noyer dans la boisson une fois de temps en temps. C’était un homme qui n’avait pas vraiment beaucoup vécu, qui avait fui, encore et encore, essoufflé dans sa cavale, mais marchant toujours, avec un espoir. Un espoir de quoi ?
Il connaissait les cantiques et la Chantrie Andrastienne au moins pour faire semblant, mais s’il y avait une chose en quoi Ambroise croyait, c’était Le Feu. La façon dont une flamme arrivait à calmer son esprit, lui faire ressentir la douleur, rendant silencieux le chant du sang et du pouvoir. Peut-être, comme ça, Ambroise pourrait faire un jour son deuil, et avancer.


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Bonjour ! Je n'ai pas encore lu ta fiche, je voulais d'abord passer pour te souhaiter la bienvenue avec ce personnage prometteur ♡ !

Voilà maintenant je vais la lire et ça tombe bien j'ai ma pause café Content
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Bienvenue à toi ! Trobien

C'est génial que le forum te plaise ! :DDD
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Bienvenue Ambroise ! Il lui en arrive des trucs à ce fossoyeur Aled  Ca va être lourd à gérer en jeu mais je suis certaine que tu t'amuseras tout plein avec si t'aimes le drama. Courage pour la validation <3
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Merci à tous pour l'accueil ça fait plaisir !

@Aerontus  Ambroise Wardell - Peintre 1f600
Malheureusement la vie ici bas est dure ! A voir si c'est l'espoir et acceptation qui l'emporte ou bien le nihilisme et soif de pouvoir. J'aime bien les personnages compliqués.
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Hello Ambroise ! Hé bah, voilà un personnage qui éveille énormément de curiosité de mon côté. J'ai très très hâte de te lire et peut être même l'espoir qu'on se croise en rp <3
Leone
Leone
Garde de rang
Garde de rang
Leone
Personnage
Peuple : Humaine
Âge : 42 ans
Origine : Orlaïs, noble
Occupation : Garde des Ombres
Localisation : Commanderie de la Garde des ombres, quartier du Sullenhall.
Crédits : Ambessa par Ladislas Gueros
Date d'inscription : 11/08/2021
Messages : 757
Autres personnages : Islan, Ori
Attributs : CC : 17 CT : 10 Mag : 2 End : 20 For : 17 Perc : 15 Ag : 16 Vol : 12 Ch : 10
Classe : Guerrière, niveau 3
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https://ainsi-tomba-thedas.forumactif.com/t625-leone#7353
Bonjouuur ! Bienvenue tout plein ! Coeur
J'espère que tu te plairas sur le forum.

Ambroise est vraiment chouette comme personnage. Avec un passif qui risque de lui attirer tout plein d'ennuis si de sombres histoires venaient à circuler sur son compte Dance Je trouve super cool de jouer un fossoyeur et les recherches que tu as mené l'ancre vraiment bien dans le décors de Starkhaven.
Je suis tellement en empathie avec lui, pauvre bébou Starelove

A tout bientôt !
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Bienvenue sur ATT, Nine ! Very Happy Un fossoyeur, c'est une chouette idée, par contre je pleure pour la maman... Steplaît Le rapport que tu décris aux corps des défunts m'a un peu fait penser aux rites funéraires du Névarra, c'est un aspect que je trouve très intéressant. Ptioui Je te souhaite de bien t'amuser parmi nous, en tout cas ! Bonne validation. Ballon
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Que voilà un morbide personnage ! Mage du sang qui plus est ! De quoi explorer bien des choses !
J'espère en tout cas que tu te plairas bien parmi nous, je te souhaite une grande bienvenue ! Barrelroll
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Et re-bienvenue ! Ta plume est exquise et j'espère qu'au vu de nos deux professions (qui l'air de rien, se rejoignent par la fatalité) nous aurons de beaux rp côte à côte ! <3
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Bonsoir à tous !

Malheureusement j'ai dû changer de profession car en fait les fossoyeurs n'existent pas en chantrie andrastienne vu qu'ils mettent tout au bûcher.
Ambroise Wardell - Peintre Bucher10
Mais ce n'est pas grave, j'ai adapté, j'espère que cela nous permettra quand même de pouvoir rp avec des idées cools.  Ambroise Wardell - Peintre 1f604

Merci pour votre accueil !
Andrasté
Andrasté
Prophétesse du Créateur
Prophétesse du Créateur
Andrasté
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Illustration : Ambroise Wardell - Peintre 00271e5d6ef73524ca7af225b44553f426543b3d

Pronom.s personnage : Elle
Occupation : Je rappelle au Créateur le malheur des hommes qu'il a pourtant promis d'aimer...
Localisation : Aux côtés du Créateur.
Pseudo : Compte administrateur
Pronom.s joueur.euse : Elle
Crédits : Adamant (avatar).
Date d'inscription : 22/09/2020
Messages : 3125
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Validation

Maintenant, les ennuis commencent !

Crédits : Mâo, Faction Peuple.

Peintre et mage de sang, quel combo ! Ça marche terriblement bien ensemble. C'est une sacrée histoire que tu as rédigé en si peu de temps, je suis impressionnée et ta plume est très agréable Cute
Pauvre Ambroise, il ne s'aide pas avec ses choix douteux, mais peut-être trouvera-t-il un peu de sérénité à Starkhaven ? ( comment ça on y croit pas du tout ? What a Face c'est tellement mieux les dramas ! )


La herse se lève, les portes s'ouvrent : Starkhaven s'offre à toi dans toute sa splendeur et dans tous ses mystères !
Que vas-tu faire dans la Cité des Princes ?


Peuple

Bienvenue, Ambroise Wardell


Ta demande acceptée par les autorités de la ville, te voilà maintenant inscrit(e) dans ses registres et tu peux arpenter Starkhaven comme tu l'entends ! Toutes les zones de jeu te sont désormais ouvertes, et tes nouveaux partenaires n'attendent que toi.

Mais avant de te lancer dans l'aventure, nous te demandons quelques petites dernières démarches qui permettront de bien suivre tes pérégrinations. Tout d'abord, pense à recenser ton personnage en remplissant le formulaire des bottins, pour qu'il puisse ainsi apparaître dans les statistiques. Tu constateras d'ailleurs que tu as obtenu tes 100 premières pièces d'or que tu peux dépenser comme bon te semble dans la boutique !

Pour permettre à ton personnage de s'intégrer sur le forum, parmi toute cette joyeuse petite bande, nous t'invitons très vivement à rédiger ta fiche de liens : c'est à travers elle que les autres joueurs pourront te contacter pour te proposer des idées de jeu pour construire une belle histoire. De plus, pour suivre l'avancement RP de ton personnage, n'hésite pas à compléter sa chronologie.

Tu peux discuter avec les membres de la Faction Peuple ici et te tenir au courant de l'avancée de son influence dans la Cité-État de Starkhaven ! Et tu trouverais également dans le tableau du cantor toutes les informations sur les organisations, ainsi que des forums dédiés si tu fais parties d'une ou plusieurs.

Pour le côté plus festif mais totalement accessoire : une zone flood n'attend que tes envies de détente et d'animations

Enfin, plusieurs formalités importantes qui te suivront pendant toute ton aventure parmi nous.
À compter du 20 de chaque mois, et jusqu'au dernier jour de celui-ci, un recensement mensuel sera organisé pour savoir si tu souhaites rester parmi nous ; si tu a posté ton absence, tu n'as aucune inquiétude à avoir, tu seras pris en compte.
Enfin, lorsque tu ouvriras un sujet, pense bien à le recenser dans la chronologie du forum ; fais-le également à sa clôture.

Après toutes ces petites informations, Ainsi tomba Thédas te souhaite un très beau moment de jeu. N'hésite pas à contacter Andrasté si tu as la moindre question !



Glorieux Créateur, comment Tes enfants peuvent-ils être pardonnés ? Trébuchant dans l’ignorance, nous avons oublié que seule une Lumière brisera les Ténèbres.
Parle à Tes enfants, enseigne-nous Ta splendeur. Ce qui a été oublié n’est pas encore perdu.

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Ambroise Wardell - Peintre