Nom Blythe Ward.
Âge 44 ans.
Genre Homme.
Peuple Humain.
Nation d‘origine Tribus alamarries.
Occupation Mercenaire / Chasseur d‘Apostats.
Religion ou croyances Un savant mélange des préceptes Chantristes et de l’Ordre Naturel almarrien, comme savent si bien le faire les situations transitoires. Ses préférences sont souvent assez opportunistes, dépendantes de la situation dans laquelle il se trouve et quelle divinité pourrait lui apporter le plus d‘aide. De toute manière, il n‘est pas un très bon croyant et se révèle un pire pratiquant encore… A condition de le juger selon les coutumes andrastiennes, car les préceptes de sa terre natale sont bien plus ancrés dans sa manière de voir le monde qu’il ne s’en rend lui-même compte.
Langue(s) parlée(s) Le commun, avec suffisamment d‘accent pour vous rappeler qu‘il n‘est pas un enfant du cru. Il connaît également quelques bribes d‘elfique. Quoi qu‘il n’ait jamais eu la curiosité de les traduire, une chose est sûre : si des mots lui sont familiers, il s‘agit d‘injures. Quelques insultes orlésiennes aussi. Par principe.
État civil Célibataire. On rajoute souvent « endurci » pour lui.
Origine sociale Modeste.
Niveau de vie De quoi manger et louer une piaule, il n’en demande pas beaucoup plus.
Équipement Un gambison encore plus usé que lui par-dessus un haubert. Une épée bâtarde, un fauchon, une dague et une arbalète qu‘il a le mérite de savoir vaguement pointer dans la direction où il souhaite tirer. Ah, n‘oublions pas son fidèle chaperon.

Nom Blythe Ward.
Âge 44 ans.
Genre Homme.
Peuple Humain.
Nation d‘origine Tribus alamarries.
Occupation Mercenaire / Chasseur d‘Apostats.
Religion ou croyances Un savant mélange des préceptes Chantristes et de l’Ordre Naturel almarrien, comme savent si bien le faire les situations transitoires. Ses préférences sont souvent assez opportunistes, dépendantes de la situation dans laquelle il se trouve et quelle divinité pourrait lui apporter le plus d‘aide. De toute manière, il n‘est pas un très bon croyant et se révèle un pire pratiquant encore… A condition de le juger selon les coutumes andrastiennes, car les préceptes de sa terre natale sont bien plus ancrés dans sa manière de voir le monde qu’il ne s’en rend lui-même compte.
Langue(s) parlée(s) Le commun, avec suffisamment d‘accent pour vous rappeler qu‘il n‘est pas un enfant du cru. Il connaît également quelques bribes d‘elfique. Quoi qu‘il n’ait jamais eu la curiosité de les traduire, une chose est sûre : si des mots lui sont familiers, il s‘agit d‘injures. Quelques insultes orlésiennes aussi. Par principe.
État civil Célibataire. On rajoute souvent « endurci » pour lui.
Origine sociale Modeste.
Niveau de vie De quoi manger et louer une piaule, il n’en demande pas beaucoup plus.
Équipement Un gambison encore plus usé que lui par-dessus un haubert. Une épée bâtarde, un fauchon, une dague et une arbalète qu‘il a le mérite de savoir vaguement pointer dans la direction où il souhaite tirer. Ah, n‘oublions pas son fidèle chaperon.

10 Primeneige 4:67 Naissance de Blythe, dans un village proche du fleuve au nord des Collines australes –non loin de Dénérim. Fils de paysans, il aide tôt ses parents mais ne manque pas de passer une bonne partie de son temps libre chez le fils des voisins pour profiter aussi des mabarris que la famille dresse depuis des générations.

4:80 La tentative d’annexion par Orlaïs, bien plus à l’ouest, ne les touche pas directement mais une certaine nervosité est tout de même palpable.

4:81 Les nouvelles portées par le commerce, plusieurs hommes et femmes d’armes vont rejoindre les tribus qui s’unissent face aux orlésiens. Blythe, qui a appris à se battre comme tout un chacun, souhaite les rejoindre mais ses aînés prenant déjà la route il est chargé de rester surveiller le reste de sa famille et leurs terres. Encore trop jeune pour comprendre la ruse, elle est suffisante pour qu’il accepte de rester en arrière.

4:82 Profitant de leur nombre réduit, un couple d’apostats en quête de vengeance décime le village. Blythe s’en sort in extremis, non sans honte, mais avec un certain ressentiment naissant à l’égard des mages.

4:86 Réfugié à Dénérim où il aide principalement aux tâches de manutention des docks, Blythe se languit des voyageurs et autres aventuriers qu’il voit défiler quotidiennement. L’appel des routes se faisant finalement trop fort, il passe le pas et s’engage auprès d’une petite troupe de mercenaires prête à laisser sa chance au novice qu’il est encore.

4:97 De contrat en mission, d’une compagnie à une autre, les capacités de Blythe s’affinent. Il se découvre quelques dispositions à mener des groupes restreints, apprend à se concentrer sur la précision de ses coups pour compenser être un peu moins puissants que certains de ses pairs. Sa peau porte déjà les stigmates d’une décennie de convois, mais sa vraie route ne commence qu’ici. Aux côtés de deux frères et d’une sœur d’armes, il part tracer sa propre voie. Unis comme une famille, ils sillonnent les territoires alamarris là où les contrats les porte mais, liés par une haine commune des mages et sous l’impulsion de Blythe, se font une spécialité de chasser les apostats en cavale. Ils ne se privent pas non plus d’harceler les dalatiens de passage, surtout lorsqu’ils se retrouvent aux abords de la forêt de Bréciliane, plus par peur de leurs archivistes et des mythes qui les entourent que par haine envers les elfes eux-mêmes.

5:12 Il fallait bien que leur suffisance les rattrape un jour et qu’ils s’en prennent à plus fort qu’eux. Sa famille de choix abattue par des mages, Blythe est laissé pour mort et ne doit son salut qu’à un convoi marchand de passage qui l’emmène jusqu’au port de Hautecime. Blessé, dans son orgueil et dans sa chair, il prend le large et quitte sa terre natale pour la première fois. A peine débarqué à Kirkwall, il n’a pas le temps de s’habituer à la cohue de la ville que les échos d’un Grand Tournoi attirent son attention. Sans savoir où aller, toute destination est bonne à prendre et c’est ainsi qu’il entame un nouveau voyage.

Voiréale 5:12 Il n’a pas de sympathie particulière pour les Templiers, mais ce sont eux à Starkhaven qui pourchassent les apostats et c’est un sport qu’il connaît bien. Comme on ne peut pas apprendre de nouveaux tours à un vieux chien, on ne fera pas de lui l’un des leurs, qui ne s’associe à eux qu’au gré de contrats sporadiques.

Primeneige 5:12 Il faut bien vivre, et la chambre qu’il loue à Chowconer revient plus chère que les sommes que lui versent occasionnellement la Chantrie. S’engager pour une décennie pleine ne l’enchante pas complètement, mais une troupe de mercenaires en vaut bien une autre et le Dragon de Rubis semble tout à fait dans ses attributions.