Copper – Le doute mène à la peur. La peur mène au chaos.
Personnage
Illustration :
Peuple : Humain
Âge : 41 ans
Pronom.s personnage : Il/lui
Origine : Terres Alamarries
Occupation : mercenaire, pêcheur
Localisation : Vit désormais à Cairnayr où il pêche, jongle avec Corintamh, sinon traîne pas mal à Starkhaven aussi.
Pseudo : Adamant
Pronom.s joueur.euse : Il/lui
Crédits : Adamant
Date d'inscription : 20/07/2021
Messages : 207
Autres personnages : Alzyre de Launcet, Tiaru Tohopka, Miche, Aerontus Nepos
Attributs : CC : 18/18
CT : 10/10
End : 15/15
For : 19/19
Perc : 15/15
Ag : 12/12
Vol : 12/12
Ch : 12/12
Classe : guerrier niveau 3
Feuille
Joueur
Jeu 25 Jan - 22:56
Copper écrit en #83352b
Copper
Copper
Second des Dragons de Rubis
Personnage
Illustration :
Peuple : Humain
Âge : 41 ans
Pronom.s personnage : Il/lui
Origine : Terres Alamarries
Occupation : mercenaire, pêcheur
Localisation : Vit désormais à Cairnayr où il pêche, jongle avec Corintamh, sinon traîne pas mal à Starkhaven aussi.
Pseudo : Adamant
Pronom.s joueur.euse : Il/lui
Crédits : Adamant
Date d'inscription : 20/07/2021
Messages : 207
Autres personnages : Alzyre de Launcet, Tiaru Tohopka, Miche, Aerontus Nepos
Attributs : CC : 18/18
CT : 10/10
End : 15/15
For : 19/19
Perc : 15/15
Ag : 12/12
Vol : 12/12
Ch : 12/12
Classe : guerrier niveau 3
Feuille
Joueur
Jeu 25 Jan - 22:56
Histoire d'un massacre kids-friendly au sens médiéval du termeLe lion des brumes"Oh, je pense que ça va te plaire, Rara" "Bagarre ? BAGARRE ??" "Bagarre. Avec un gros vilain monstre…"
Lorsque la porte s’ouvre dans un grincement discret, quelques voix se chamaillent encore dans la salle à manger. Copper retire son manteau, dépose à l’entrée ses armes et ses bottes avant de s’avancer dans la demeure. Un souffle bruyant de surprise émerge de la tablée, tandis que Konrad est le premier à s’élancer à l’encontre du Second, les bras grands ouverts.
- « PAPAAAA !! »
Copper l’attrape dans un rire et le soulève, ne manquant pas de remettre une de ses nombreuses mèches folles en place sur son petit crâne. Konrad, tout sourire, enlace son cou de toute la petite force qu’il possède, la tête reposant contre l’épaisse fourrure de sa cape qui repose sur son épaule. Axell arrive à son tour, accueilli par le puissant bras du mercenaire désormais agenouillé auprès de ses enfants. Revoir leurs sourires et entendre leurs rires et leurs joies emplit toujours son grand cœur à raz bord, traduit dans un grand et attendri rictus.
- « Je suis content de vous revoir les loustics », souffle un Copper épuisé par le voyage. « Encore debout à cette heure ? » - « C’est Rara il veut pas aller se coucher », se lamente Axell dans un dépit bientôt habituel.
Axell est le plus ordonné et respectueux des deux. Konrad, c’est une toute autre histoire : il déborde d’une telle énergie, que même s’il était enfant unique, il resterait un enfer à gérer pour ses pauvres parents. Une véritable boule de feu et de bonne humeur, parfois un peu trop taquin.
- « C’est pas vrai d’abord ! » - « Si c’est vrai ! » - « Allons les enfants… Maintenant il faut monter vous préparer pour dormir, d’accord ? » - « Papa tu nous raconteras une histoire ce soir ? » - « Bien sûr. Allez, montez seulement, je vous rejoins. »
Il repose ses protégés à même le sol. Konrad, de nature plus compétitive, fait la course pour y arriver le premier et savourer sa victoire sur son aîné. Axell, cependant, ne peut s’empêcher d’observer son géant père, intrigué.
- « Papa ? Pourquoi t’es tout habillé en noir ? »
Finissant de se redresser de toute sa taille, Copper prend le temps d’inspirer longuement avant de répondre une banalité, dans l’espoir d’éviter d’autres questions.
- « J’avais envie d’un peu de changement. »
Le regard que lui lance sa femme, encore dans la pénombre de la cuisine, est sans équivoque. Il ment. Mais comment lui en vouloir ?
Axell hausse des épaules, avant de répondre d’un simple “okay” enjoué, et de regagner à son tour l’étage. Il a toujours été le plus attentif et le plus intelligent des deux, Axell. Un contraste radical de la spontanéité et du courage de son cadet. Copper s’avance pour suspendre son manteau là où est sa place, et Franziska le rejoint, les sourcils froncés de questions.
- « Tout va bien ? »
Mais pas le temps de répondre que la voix victorieuse de Konrad résonne dans la maison. “J’ai gagné !!!” Les yeux du rouquin observent l’étage avant de souffler du nez.
- « Je te raconterai après m’être occupé de nos petits démons, amour. »
Il lui sourit. Elle ne croit pas en ce sourire.
Les marches en bois craquent sous les pas du mercenaire, tandis qu’il se dirige vers la chambre des deux petiots. Mais à peine arrivé dans la chambre que le poids plume qu’est Konrad lui saute sur le dos depuis l’armoire qui a bien souffert de ses pratiques dangereuses.
- « BAGARRE !! »
Le rire de Copper résonne une fois de plus dans la petite maison, tandis qu’il attrape le petit Konrad et le dégage sans trop de peine – même si ses façons de rester agrippé à lui sont de plus en plus sophistiquées.
- « Pas ce soir Rara, papa est fatigué », se contente-t-il de répondre. - « Mooooh… Demain alors ! » - « Demain on pourra jouer à la bagarre, promis. » - « Yaaaaay ! »
A peine pose-t-il le petit à terre que ce dernier s’élance dans son lit à toute allure. Confortablement installés, les jumeaux observent leur père avec une certaine réjouissance. Ils adorent quand Copper leur raconte des histoires.
- « Alors, qu’est-ce que je peux vous raconter comme histoire ? » - « Oh ! celle des bandits à Keurkwal !! » - « Encore ?! » se plaint Axell.
Mais Konrad est déjà dans son petit monde, debout sur le lit à cogner le vide, effectuant le dialogue en solitaire, changeant simplement la hauteur de sa voix en fonction des personnages.
- « Et PAM ! Et VLAN !! » Sa voix monte dans les aigus. « OH NON, ILS SONT TROP NOMBREUX !! » Sa voix essaie de se faire au plus grave. « Aucun souci, haha ! Nous allons les ENCERCLER !! » Et il tourne dans son lit, change de position, cogne à nouveau l’air. « ET BIM, PRENDS CA !! »
Copper a eu le temps de s’installer sur sa chaise entre les deux lits, observant Konrad gesticuler avec son propre récit. Mais le père attire l’attention de ses fils, car il a trouvé l’histoire qu’il compte raconter.
- « Alors alors alors alors ??? Ça parle de quoiiiii ? » - « Oh, je pense que ça va te plaire, Rara », répond le mercenaire avec un certain malice. - « Bagarre ? BAGARRE ?? » - « Bagarre. Avec un gros vilain monstre… »
Le silence de l’intrigue tombe enfin dans la pièce. Deux grandes paires d’yeux se figent sur leur père, la bouche grande ouverte. Les histoires de Copper tournent souvent autour des mêmes thématiques : mythes de son enfance, des combats qu’il a mené lors de sa longue et considérable carrière. Mais les histoires se terminent toujours bien : une belle et héroïque victoire, la veuve et l’orphelin sont sauvés, la gratitude toujours de mise.
Cependant, cette histoire est différente. Actuelle. Personnelle. Sombre.
- « Ma mère me disait toujours que dans le grand lac de brumes vivait une créature gigantesque. » - « Gigantesque ? » interrompt Konrad, dont le vocabulaire est évidemment encore relativement limité parfois. - « Très grand », répond Copper avec patience. Très très grand. - « Plus grand que notre maison ?! » - « Plus grand encore, beaucoup plus grand. » - « Woooow… » - « Le lac de brumes était sa maison, et si on ne faisait pas gaffe lors de la pêche, cette créature ne serait pas très très contente. On l’appelait le lion des brumes. Lorsque mes frères et moi faisions des bêtises, elle nous disait toujours qu’on finirait dans son estomac. Mais aussi, il était dangereux de s’aventurer trop loin sur le lac, surtout tout seul. »
Le géant marque une pause dans son récit, un drôle de sourire qui écarte ses traits vieillissants. Une histoire maintes et maintes fois entendue, sonnant un drôle de carillon dans la galerie de ses souvenirs.
- « Il arrive que le lion des brumes s’en aille. Parfois, les autres villageois et mes parents parvenaient à l’en chasser. Mais depuis quelque temps, le lion était revenu, nous étions toujours sur nos gardes, il nous fallait faire très attention à ne pas le réveiller, ni à attirer son attention sur nous. » - « Et ça a marché ? » demande naïvement Axell. - « Si seulement, Lele, si seulement… »
Son regard ne quitte pas ce point invisible dont semble émerger un flot de détresse pourtant si lointain déjà. Mais Copper est bien déterminé à terminer son histoire pour de bon, comme une auto-thérapie qu’il aurait dû faire depuis bien longtemps.
- « La nuit était tombée. Mon papa nous racontait une histoire, comme tous les soirs, pour nous mettre au lit, et ma maman venait à son tour nous chanter une petite berceuse, et nous nous étions endormis assez vite. Mais la nuit a été très courte : quand je me suis réveillé, la maison était en feu. »
Un hoquet d’effroi franchit autant les lèvres d’un Konrad bien plus attentif que d’ordinaire, que d’un Axell qui se replie davantage sous sa couverture.
- « Lorsque nous en sommes sortis avec mes frères, on a compris tout de suite ce qui se passait : le monstre était finalement arrivé au village, et il n’était pas content du tout. Il détruisait tout sur son passage. Il devait être très énervé ou simplement il s’ennuyait. Difficile à dire. Peut-être un peu des deux. » - « Mais où était ton papa ? et ta maman ?? » - Un silence, puis. « Disparus. Pas la moindre trace de maman, ni de papa. » - « Mais c’est horrible !! » s’indigne Konrad. - « Oui, c’était horrible… » - « Qu’est-ce que t’as fait alors ? » - « Tu t’es battu contre le monstre ? » - « Non. J’ai couru. J’ai couru de toutes mes forces avec mes frères. J’étais l’aîné, mon devoir était donc de veiller sur eux. Je pensais qu’en courant le plus vite possible, que nous pourrions échapper au lion, mais il avait des yeux partout… » - « Un autre hoquet de stupeur. Le monstre vous a vu ?? » - « Il nous a vu. Et… Il a réussi à attraper un de mes frères. » - « OH NON !!! »
Le regard clair du père croise le regard clair du fils aîné, et l’espace d’un instant, Copper croit voir que quelque chose s’y imprègne. Comme un message indélébile, comme un avertissement. Konrad, lui, commence à pleurer. Mais il est fort, Konrad, alors il essaie de se reprendre. Sa confusion reste totale, comme en témoigne la série de questions qui déborde de ses lèvres tremblantes de frustration et de peur. Une série de questions bien trop familières aux oreilles de Copper.
- « Mais pourquoi t’as pas affronté le monstre ?! Tu gagnes toujours !! T’es le plus fort du monde !! » - « Parce que je n’étais qu’un enfant, Rara. Il n’y a rien que j’aurais pu faire. Le monstre n’aurait fait qu’une bouchée de moi. » - « C’est pas vrai d’abord !! Tu l’aurais vaincu ! C’est ce que t’as toujours fait ! » - « Pas cette fois, Rara… »
Copper se lève pour s’asseoir à côté de son petit dernier, dont les gestes de frustration s’intensifient, et passe un bras attendri autour de ses petites épaules pour le garder contre lui. Konrad lance quelques coups, et au fil des caresses de sa tignasse rousse que lui prodigue son père, il semble se calmer. Le feu s’éteint pour ne laisser place qu’à une tristesse justifiée.
- « Il y a des combats qu’on ne peut pas gagner, Rara. Parfois, il faut prendre la fuite pour sauver le peu qui reste. » - « Mais c’est nul de perdre… » - « C'est nul, oui. Mais si je perds contre le monstre, je gagne pour le sauvetage de mes frères, et c'est bien mieux. » - « Et on fait quoi si le monstre nous retrouve aussi ? » demande Axell tandis qu’il prend place contre l’autre flan de Copper. - « Le monstre vit très loin d’ici, Lele. Mais il y a d’autres monstres sur terre. Si un gros vilain monstre arrive jusqu’ici, je le combattrai bien sûr. » - « Et tu vas gagner cette fois ! …pas vrai ? »
Copper prend le temps de réfléchir à ce qu’il compte répondre. Il souffle du nez, vaincu par les idéaux de ses enfants, un sourire distant se traçant sur ses lèvres.
- « Bien sûr que je gagnerai. Mais si un gros vilain monstre arrive à Starkhaven, je devrai partir longtemps d’ici pour le vaincre. » - Un hoquet de peur. « Mais on fera quoi nous ?? » - « Déjà, mutti veillera sur vous deux, bien sûr. Il faudra bien obéir à votre mère, d’accord ? »
Les deux hochent de la tête dans une synchronisation rarement observée dans cette petite maison. Copper en rirait si le sujet de son histoire n’était pas si réel.
- « Il faudra bien veiller sur elle aussi. Et l’un sur l’autre. Vous devrez mettre de côté vos chamailleries et vous assurer de bien être en sécurité. Tous les deux. Vous ferez tout ça pour papa ? » - « Bien sûr !! » Konrad retrouve un peu de sa ferveur. « Le gros vilain monstre, je vais PAM, BLAM, PA, PA, PAAAA !!! Il a AUCUNE CHANCE face à moi il va voir ! » - « Mais Rara t’as pas compriiiis ! » - « Mais oui c’est toi qui as pas compris d’abord !! » - « C’est pas vrai !! » - « Si c’est VRAI ! » - « Allons, allons. » Copper se lève, pour poser le genou devant eux, attrapant à chacun des deux bambins une de leurs petites mains. « Promettez-moi que vous veillerez sur notre famille si je ne suis pas là et qu’il y a un souci. D’accord, mes fils ? » - « Promis !! » - « Promis… »
Konrad se réjouit de sa mission. Axell en comprend la gravité. C’est un départ comme un autre. Copper se relève, ébouriffe leurs cheveux avant de porter Axell pour le conduire à son lit.
Terminant d’enrouler Axell dans sa couverture, il dépose un bisou sur son front avant de faire de même avec Konrad.
- « Bonne nuit, les enfants », suivi à l’unisson d’un “bonne nuit papa !” « Je vous aime », suivi à l’unisson d’un “moi aussi je t’aime !”
Et Copper referme la porte de la chambre, bougie allumée en main, pour tomber sur une Franziska aussi confuse qu’inquiète. Un échange de regard dont ils ont l’habitude depuis quelques années, et les deux redescendent au séjour. L’épouse croise les bras sur sa poitrine, l’époux comprend tout de suite qu’elle est contrariée. Probablement à cause de l’histoire si inhabituelle.
- « Amour, ils n’ont que cinq ans. Qu’est-ce qui te prend ?! » - « L’Enclin ne va pas attendre leur majorité, amour. »
Un soupir, suivi de grand geste des bras de dépit. Les fameux qui surviennent lorsque Copper ne pense qu’à son travail. Ou disparaît pendant plusieurs semaines au campement de Corintamh. Mais cette fois-ci, le regard de Copper ne cille nullement, et la réaction de sa partenaire change, se meut lentement de cette frustration habituelle à une crainte de comprendre où il veut en venir.
- « Que s’est-il passé ? » le ton change, comprenant que cette fois-ci, Copper n’a pas disparu durant une bonne semaine non seulement pour se faire oublier de la procession, mais aussi pour se noyer une fois de plus dans ses occupations. - « L’Enclin a emporté Antiva. Antiva n’est plus. Et il marche droit sur nous. »
Son regard s’agrandit, mais elle demeure soudainement calme, bien trop calme. Elle sait ce que cette sombre vérité implique. Il sait qu’elle en souffrira. Tandis qu’il lève un bras calme dans sa direction, les deux mains de Franziska s’y accrochent avec un bien désespéré espoir.
- « Reste, cette fois-ci. Reste. Tant que tu le peux encore. Ils ont besoin de toi, amour… » - « Je sais, amour. Je sais… »
La distance se raccourcit, tandis que dans une étreinte des plus chaleureuses et réconfortantes, chacun se pose la même question.
Quand ? Quand Copper devra-t-il partir au front, pour potentiellement y mourir ?
Copper écrit en #83352b
Andrasté
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Occupation : Je rappelle au Créateur le malheur des hommes qu'il a pourtant promis d'aimer...
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Feuille
Joueur
Ven 19 Avr - 11:36
Validation
Maintenant, les ennuis commencent !
Crédits : Mao, Faction Aristocratie
Avec beaucoup de retard (et je suis profondément désolée ), bon retour parmi nous avec ce Copcopter ! C'est toujours un plaisir de découvrir ce cher mercenaire sous ta plume, avec toutes ses disparités, cette vie en blanc et noir, et ce caractère tout aussi opposé, et j'ai hâte de le revoir en jeu.
La herse se lève, les portes s'ouvrent : Starkhaven s'offre à toi dans toute sa splendeur et dans tous ses mystères ! Que vas-tu faire dans la Cité des Princes ?
Aristocratie
Ta demande acceptée par les autorités de la ville, te voilà maintenant inscrit(e) dans ses registres et tu peux arpenter Starkhaven comme tu l'entends ! Toutes les zones de jeu te sont désormais ouvertes, et tes nouveaux partenaires n'attendent que toi.
Mais avant de te lancer dans l'aventure, nous te demandons quelques petites dernières démarches qui permettront de bien suivre tes pérégrinations. Tout d'abord, pense à recenser ton personnage en remplissant le formulaire des bottins, pour qu'il puisse ainsi apparaître dans les statistiques. Tu constateras d'ailleurs que tu as obtenu tes 100 premières pièces d'or que tu peux dépenser comme bon te semble dans la boutique !
Pour permettre à ton personnage de s'intégrer sur le forum, parmi toute cette joyeuse petite bande, nous t'invitons tout d'abord à disposer de cette fiche de présentations comme tu le souhaites : elle devient désormais ta fiche de personnage, endroit idéal pour consigner tes liens, tes idées de liens ta chronologie, ton journal intime... ce que tu veux pour suivre ton évolution et la rendre accessible aux autres ! Pour des recherches plus précises, tu peux te tourner vers la demande de liens dans Relations ; et pour te lancer pleinement dans l'aventure, tu peux chercher des RPs dans Aventures. Tu peux également te tourner vers le décor pour trouver des situations MJ à intégrer, selon ton désir, dans ton jeu.
Tu peux discuter avec les membres de la Faction Aristocratieici et te tenir au courant de l'avancée de son influence dans la Cité-État de Starkhaven ! Jette un œil à ses projets pour trouver des petits défis à relever Et tu trouverais également dans le tableau du cantor toutes les informations sur les organisations, ainsi que des forums dédiés si tu fais parties d'une ou plusieurs.
Pour le côté plus festif mais totalement accessoire : une zone flood n'attend que tes envies de détente et d'animations.
Enfin, plusieurs formalités importantes qui te suivront pendant toute ton aventure parmi nous. À compter du 20 de chaque mois, et jusqu'au dernier jour de celui-ci, un recensement mensuel sera organisé pour savoir si tu souhaites rester parmi nous ; si tu a posté ton absence, tu n'as aucune inquiétude à avoir, tu seras pris en compte. Enfin, lorsque tu ouvriras un sujet, pense bien à le recenser dans la chronologie du forum ; fais-le également à sa clôture.
Après toutes ces explications, tu te sens toujours un peu perdu.e ? Pas de panique ! Tu peux à tout moment demander de l'aide dans la zone de parrainage.
Après toutes ces petites informations, Ainsi tomba Thédas te souhaite un très beau moment de jeu. N'hésite pas à contacter Andrasté si tu as la moindre question !
Glorieux Créateur, comment Tes enfants peuvent-ils être pardonnés ? Trébuchant dans l’ignorance, nous avons oublié que seule une Lumière brisera les Ténèbres.
Parle à Tes enfants, enseigne-nous Ta splendeur. Ce qui a été oublié n’est pas encore perdu.
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