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Aderfi Kahudi - La douce amertume de l'or noir

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TW: Infidélité (et je ne sais pas encore.) Aderfi Kahudi
“L’homme prospère est comme l’arbre : les gens l’entourent tant qu’il est couvert de fruits. mais sitôt les fruits tombés, les gens se dispersent à la recherche d’un arbre meilleur.” — Anonyme
Informations

Nom Aderfi, l'homme de feu, L'émancipé dans sa langue. Kahudi  famille dynastie, qui a su se faire un nom dans le commerce de l'or noir et amer.  Nom connu d'Afsanaa à Val-Royaux. L'exotisme à porter de doigts. Age Quarante et un ans que la route est son horizon et que le café est sa plus grande richesse… GenreC'est un homme. Peuple Humain sans aucun doute. Nation d'origine Riveïn, pays qu'il aime, racines qu'ils portent avec fierté de même que ses tatouages et piercings qui marquent dans son pays le statut social d'une personne.   Occupation Négociant en café, sans cesse sur les routes, il laisse l'organisation de l'entreprise au pays à sa femme et à sa jeune sœur.  Il ne se voit pas resté au même endroit trop longtemps et ne se voit pas non plus vivre autrement que noyer dans les douces effluves de la graine sombre à l'odeur de terre. Religion ou croyances En Riveïn dans son pays, le culte d'Andrasté et du Créateur n'a pas réussi à s'implanter.   C'est un peuple, panthéistes qui croient en l'Ordre Naturel. En tant que tel, beaucoup croient que leur dieu et l'univers sont les mêmes. Aderfi a grandi dans cette croyance lui aussi, avant que ses voyages ne lui fassent rencontrer la grâce d'Andrasté et de son Créateur. Aderfi se retrouve scié en deux, croyance d'enfance, croyance d'un peuple. Contre croyance d'adulte et de ceux qui lui ouvrent les bras. Il lui faudra cependant bientôt faire un choix, car les deux religions entrent en conflit sur de nombreux points. Langue(s) parlée(s) Le rivénien bien entendu, puisque c'est sa langue natale, il se débrouille en Antivan, nation proche de la sienne. Il parle la langue commune.   État civil Il est marié, mais comme par ironie, son mariage a aujourd'hui un goût amer dans sa bouche. Sa femme et lui s'entendent très bien quand il s'agit d'affaire, surtout qu'ils ne communiquent le plus souvent que par lettres. Mais, dès qu'il passe le pas de la porte de leur maison, la couple sent le poids de ce mariage sur ses épaules. Un couple pour les affaires, un mariage pour les vestiges d'un amour perdu. Une distance pour le bien de tous. Marié donc devant le divin, célibataire dans l'esprit et le coeur.  Origine sociale Fils de marchands et de négociants, petit-fils de marchands et de négociants.  Niveau de vie Aderfi vit bien, il peut offrir à sa femme un rythme de vie très bon, raison pour laquelle elle reste aussi. La sécurité d'une bonne maison, d'une table garnie, de beaux vêtements. Adarfi n'est pas riche à millions, mais il peut faire tout de même étalage d'une certaine aisance. Son peuple ne fait que peu de cas pourtant de l'or et de la richesse, mais pas Aderfi. Il a voyagé et il connaît la valeur de l'or. Équipement Les routes ne sont pas sans danger, il porte donc constamment sur lui une petite dague ouvragée. Il a également toujours un peu de thé de chez lui connu pour ses vertus curatives. Un recueil de textes sur Andrasté et le Créateur.  Il ne porte plus son alliance au doigt, mais il la garde tout de même en pendentif autour du cou. Il est par ailleurs propriétaire d'un oiseau aux couleurs vives qu'il a souvent sur l'épaule ou dans une cage à ses côtés.

Zephyr par Reydee (DeviantArt)
civil

MARCHAND, NIVEAU 3


Humain, Rivaïn, Aisé, 41 ans

Aucune.
Il n’est pas un guerrier, ni un homme de métal, les dragons de rubis ne l’intéresse donc pas. Il n’est pas membre de la chantrie et ne peut donc pas être templier et encore moins membre d’un cercle, il n’est pas non plus chercheur de vérité. Les organisations de la garde des ombres sont également à proscrire. Malgré le fait qu’il se sente presque bien dans la cité des Princes il ne se sent pas comme faisait partie du peuple des marches libres. Ne reste donc que les organisations étrangères qui pour le moment ne lui parlent pas. La guilde des nains, Aderfi n’est pas un nain et pour la seconde, elle ne correspond pas. Du moins pour le moment à ses idéaux.  
Étranger
Exotisme et dépaysement. Aderfi ne sent pas pas totalement comme un citoyen de Starkhaven. Il est et restera à jamais du sang de Riveïn.
Chronologie

Voiréal4:68 DES TÉNÈBRES Naissance d'Aderfi. Ainé et premier enfant du couple Kahudi. Un enfant choyé et né dans l'aisance d'une famille de marchands. Peu de choses viennent troubler la jeunesse d'Aderfi qui grandit comme tout enfant de son âge. A la seule différence qu'il apprend dés, son plus jeune âge, l'art du commerce. PEU AVANT 4:90 DES TÉNÈBRES Une enfance douce, au rythme des enseignements de l’ancienne de son village et de ses parents. Couple heureux et fusionnel que ce soit à la vie comme au travail. Deux ans plus tard, c’est la frimousse d’une fille qui vient s’ajouter à la famille. Aderfie est très proche de cette petite sœur à qui il dit presque tout. C’est une relation fusionnelle qui voit se lier les deux jeunes Kahudi.
Le frère et la sœur vivent la plus grande partie de leur enfance sur les routes. Toujours à rencontrer de nouvelles personnes, toujours à apprendre à négocier le meilleur prix. À gérer les employés et à savoir comment faire couler les mots sur la langue pour obtenir ce que l’on veut. Car être négociant, c'est aussi savoir bien parler. C’est pour cela que malgré leur vie nomade, les enfants Kahudi ont reçu une très bonne éducation. Aderfie tout comme sa sœur savent parfaitement lire et écrire, compter. Ils savent en plus de leur langue natale parler l’antivan, ont quelques notions d’Orlésien et connaissent la langue commune. Ils se tiennent aussi depuis leur plus jeune âge au courant de la politique et des sphères d’influence des différentes ethnies, minorités ou autorité des endroits qu’ils traversent. Parce que l'on ne sait jamais qui sera notre client de demain. À dix-sept ans, son père décide qu’il est maintenant un homme. À peine fiancée, il prend la tête d’une caravane et doit à son tour participer à l’expansion de la dynastie Kahudi.
Au cours de ses nombreux voyages il tombe en amour pour la culture Orlésienne. Et, au lieu d’effacer sa propre culture au profit de cette nouvelle découverte, il tente d’allier les deux. Ce qui fait qu’on l’aime et qu’on le respecte pour cela. Il est vu comme un pont. Un pont entre deux mondes, entre deux peuples.
L’empire du Café Kahudi ne cesse de s’entendre, ramifications partout, jusque dans les cités naines ce nom est connu.
Marié et devenu patron de l’empire Aderfi délègue cependant beaucoup à sa sœur et à sa femme. Elles gèrent au pays pendant que lui part sur les routes.  5:04 DES EXALTÉS
La chute de Llomeryn a profondément troublé Aderfi. C’est une partie du royaume qui l’a vu naître après tout. Il s’inquiète pour sa sœur restée chez eux pour diriger l’entreprise. Il lui envoya des lettres, faire ses valises et le rejoindre-avec sa femme- à Starkhaven. Ils avaient de l’argent, elles trouveraient sans mal un navire qui longerait les côtes et ensuite quelqu’un pour les accompagner jusqu’à la cité état. Mais, la réponse à sa lettre fut courte, mais très claire. Ni sa petite sœur, ni sa femme ne le rejoindrait. L’entreprise ne pouvait être laissée sans personne à sa tête. On utiliserait les navires pour continuer à acheminer les marchandises. Aderfi voit la chute de Llomeryn, l’enclin aux portes de la civilisation comme une sonnette d’alarme. Il va falloir réfléchir à se diversifier si l’on veut que l’entreprise familiale prospère. Alors certes, l’ambiance est morose et la conjoncture proche d’une celle de guerre. Mais, justement, c’est dans les pires moments que l'on fait les meilleures affaires. Il suffit juste de trouver la bonne opportunité.
Aderfi se retrouve prit entre deux feux. Sa patrie et l’envie de garder le contrôle de son commerce. Et, d'autres soucis émergents également.
Aderfi qui se sent de plus en plus attiré par la Chantrie et son discours, commence à voir d’un autre œil la magie de son royaume.  Notamment en ce qui concerne le faible contrôle qu’exercent les siennes dessus, surtout que sœur, avec qui il était d’habitude toujours d’accord, et qui gère l’exploitation quand lui est sur les routes, soutient cette position des aruspices. Une divergence d’opinion qui continue de créer un fossé entre Aderfi et sa famille.

Par ailleurs, son mariage a aujourd’hui le goût amer du café. Une lassitude qui a érodé le peu d’affection qui liait les deux partenaires. Aderfi ne rentre presque plus. Besoin de liberté, besoin d’espace. Il trouve en Starkhaven un lieu propice à cette soif de liberté et de renouveau qui souffle en lui. La cité des Princes est pleine de plaisir qui n’attendent qu’une chose. Que l'on vienne les cueillir comme des fruits mûrs. Et, au vu de la platitude de sa vie conjugale, Aderfi, il croque dans le fruit de la luxure et de l’hédonisme à pleines dents. Ces rencontres sont toutes de grandes qualités, il veut profiter oui, mais il ne cherche pas seulement qu’un soulagement physique. Il recherche également une satisfaction intellectuelle. C’est grâce à une amie, Vera la patronne du Laurier Carmin que ces rencontres sont possibles et qu’elles se multiplient comme les étoiles dans le ciel. Aderfi est généreux envers ces rencontres d’un soir ou parfois plus. Il se libère de ses envies, de ses désirs, il prend et il offre. Mais, il serait réducteur de penser qu’il ne cherche que la libération charnelle. C’est durant cette période qu’il rencontre un commerçant antivan. Bien éduqué, raffiné, Ettore et lui commence une relation secrète et pourtant agréable teinté de discussions et de moments plus câlins. Cette relation dure même étrangement longtemps, sans pour autant qu’aucune promesse d’aucunes sortes ne soient donnés d’un côté comme de l’autre. Aderfi a été claire, Ettor aussi, pas de sentiments, des bons moments passés, autour d’une discussion et d’une bouteille de vin. Et, un jour, l’antivan disparaît pour ne plus donner de signe de vie. Aderfi s’inquiète d’abord, comme il le ferait pour un ami. Puis, il laisse faire. Il ne le cherche pas, ne lui court pas après, cela avait déjà duré. Peut-être trop longtemps. Et, le négociant en café n’avait pas été exclusif non plus. Il trouve vite d’autre bras pour se perdre et d’autres esprits pour lui répondre. Ettor restera une rencontre précieuse, un ami rare, une oasis de plaisir sur une mer déchainé. Mais Aderfi était déjà partie vers d’autres destinations.
.5:10 DES EXALTÉS Aderfi apprend qu’il va être père, pas de sa femme, cela fait des années qu’il n’a pas partagé son lit. Mais, d'une maîtresse de passage. Un petit garçon, semi-elfe. Aderfi bien que ne pouvant pas reconnaître l’enfant, il envoie régulièrement de l’argent à la mère pour pouvoir à son éducation. Il ne connaît même pas son prénom, ni la couleur de ses yeux ou de ses cheveux. Mais, il garde le contact avec la mère. Ce sera peut-être le seul héritier qu’il aura. Enfin, on trouvera un moyen d’en faire un héritier…
C’est aussi à ce moment que sa femme, tombe malade, sa sœur ne pouvant s’occuper et de l’entreprise et d’une personne malade demande à son frère de respecter ses vœux de mariage et de prendre soins de sa femme. Elle entreprend donc un long et périlleux voyage par bateau puis en charrette afin de retrouver son époux dans la cité des princes. Il installe sa femme dans une petite demeure confortable, bien sûr, ils vivent ensemble, mais font chambres à part. Et, la monotonie rattrape Aderfi. Il ne peut plus profiter de la même façon des joies de la cité. L’état de sa femme s’améliore, mais elle décide de rester. Tout comme son époux, elle trouve du réconfort dans les textes de la Chantrie. L’une des rare discussion que les époux arrivent à avoir en dehors des affaires.
Aderfi tente de garder ses amants et maîtresses de passages. Pourtant, il est marié et cette bague qui pend autour de son cou le lui rappelle constamment. Peu à peu il s’enferme dans une pièce de la demeure qui lui sert de bureau. La liberté retrouvée à maintenant goût de nostalgie. Il ne pense plus qu'à une chose repartir sur les routes et il réfléchit toujours à cette idée de diversifier ses revenus.
5:13 DES EXALTÉS Finalement, Aderfi reprend la route et il a de moins en moins de raisons valables de passer par Starkhaven, et il ne s’arrête désormais qu’aux moments des foires et des grandes ventes. Cependant, le Tournoi des Marches Libres en est une raison de rester un peu, et il compte bien en profiter pour efficacement relancer le commerce du café et pourquoi pas mettre enfin le doigt sur cette idée qui lui permettra de diversifier son entreprise.  Son dernier cru goûte merveilleusement bien et, pourtant, l’emprise des haruspices se fait toujours plus étouffante, au point qu’il cherche à s’en libérer… ce qu’elles ne permettent que difficilement. Le négociant commence à développer une certaine crainte de la magie.En effet durant l’un de ses voyages une rencontre le marquera à jamais.Aderfi et la magie, c'est une histoire pleine d’ambiguïté. Enfant, il était fasciné par les mages, surtout qu’en sa nation, on ne voit pas la magie comme une source de mal. Il a donc grandi dans l’indifférence de la magie. Non, indifférence n’est pas le bon mot. Disons que pour lui ce n’était ni mal, ni bien. Une chose naturelle, qui venait avec l’ordre des choses, une chose qui entrait dans le grand cosmos de sa religion.
En grandissant et en parcourant les routes, il a rencontré de nombreuses personnes et tomber amoureux d’Orlaïs et de sa civilisation, il a également appris à connaître sa religion. La Chantrie veut un contrôle des mages. Au début Aderfi n’en voyait pas vraiment l’utilité. Il n’avait jamais été témoins d’horreurs commises par les mages. Ce n’est que plus tard que son avis sur la magie va se durcir. Aderfi est un voyageur, il a foulé du pied presque tous les royaumes de Thédas. Sur les terres de Ferelden, Aderfi faisait une pause avec d’autres marchands dans une oasis de verdure loin de toute civilisation.
Une femme est arrivée, elle paraissait jeune et mal en point. Aderfi et les autres lui ont prêté une place à leur feu. Alors certes la tragédie qui arrive est autant la responsabilité des marchands que celle de la mage. Les marchands ont fait confiance trop vite.  Mais, peu d’être vivants sont capables de tant d’horreur en si peu de temps.
La nuit tombe, une chouette hulule dans le lointain, signifiant que la nuit est son royaume. Le négociant en café termine sa tasse d’or noir, en offre une dernière fois à l’inconnue qui accepte avec plaisir avant de disparaître dans sa tente de fortune.
C’est un cri féminin qui le sort de la lourde torpeur du sommeil. Un cri strident. Une des femmes marchandes qui accompagnait son frère sur la route. Par réflexe, il posa sa main sur sa dague. Elle ne lui a jamais servi, de toute façon, il serait bien incapable de l’utiliser. Puis un autre son. Le négociant sort de sa tente et ce qu’il voit est digne de l’enfer. Le feu de camps qui semblait si faible a grossi, il semblait vouloir dévorer le monde. La mage est debout derrière les flammes, les longues manches de sa robe sont relevés et un liquide sombre coule sur sa peau d’opale. Du sang. Aderfi fait un pas vers elle, pensant qu’elle était blessée. Mais, il vit les cadavres autours d’elle. Et, une abomination venue d’un autre monde. Un démon ? Du moins c’est ce que lui cria son esprit et un cri silencieux sorti de sa gorge. Il trébucha et il se mit à courir. Aussi loin que ses jambes pouvaient le mener, dans la nuit noire.

Il ne sut jamais combien de temps, il courut. Mais, la puissante main gantée de fer d’une femme lui tomba sur l’épaule. Une templière, il raconta, sans se souvenir si elle lui avait posé des questions ou non.
Une chose est certaine, la mage était morte à l’arrivée des templiers et Aderfi qui les avaient guidés. Le groupe armé s’occupa également du démon. Et, le négociant en café fût marqué à jamais par la perte de ses amis et par les horreurs causés par la magie.
Trop de pouvoir, pour une seule personne, trop de pouvoir pour un groupe restreint de personne. Quelle était la place des personnes comme lui ? Il comprit l’importance des Cercles et des templiers. Et, il embrassa leur point de vue sur la magie.
Cependant, Aderfi est un homme bon. Et, il n’arrive pas à s’empêcher d’avoir parfois de la peine pour ses mages enfermés dans des Cercles. Même s’il ne connait pas leurs conditions de vie. Il ne fait pas confiance aux mages, se méfie d’eux, il a même peur de leurs pouvoirs, mais cela ne l’empêche pas d’aider ceux dans le besoin… Une relation conflictuelle donc.

Heureusement pendant ce temps, il peut compter sur sa sœur, pour tenir l’exploitation au pays. Sa femme, elle, gère une sorte de succursale à Starkhaven, permettant aux clients les plus aisés de goûter aux meilleurs grains.  
Aderfi sait qu’il a besoin de nouveau liens et partenaires de commerce et la présence de sa femme est étrangement une aubaine. Elle organise des repas avec des familles aisés avec qui il lui est plus facile de créer des liens.  À côté de cela, il semblerait que les Orlésiens attendent de lui plus qu’un homme de curiosité, et le négociant commence à faire entrer dans les contrats des notions de culture et de croyance, qui résonnent particulièrement en son cœur… Alors, oui, le Rivénien demeure quelques semaines à Starkhaven. Cependant, il ne s’attendait pas à ce genre de nouvelles : l’annonce d’un Enclin, et des catastrophes commerciales attenantes. Le Quatrième Enclin éclate et qu'il se retrouve totalement coupé de sa patrie et de sa famille, sans nouvelles des siens... que faire ? Cependant, tout homme intelligent saura que c’est en temps de guerre que l’ont fait les meilleures affaires.

Anecdotes

Aderfi adore la politique, moins que la négociation, mais c’est un féru de politique. Il aime connaître les rouages de la ville, citée, régions où il se trouve. Qui dirige ? Comment ? Qui est le serf de qui ? Qui doit sa place à qui ? Il ne prend pas forcément de place dans la toile politique des villes qu’il traverse, mais il en connaît au moins les rouages grossiers. Il faut toujours connaître la main qui te nourrit et celle qui peut te punir. Il aime beaucoup l’art. Que ce soit la poésie, la musique ou le théâtre et la danse. Il ne pratique cependant aucunes de ces disciplines mise à part la poésie sous forme de court poème. Art qu’il n’a vu nulle part ailleurs et qui ne porte pas de nom.

“Oiseau de vie, oiseau d’amour,
La branche s'est brisée
L’oiseau s'est envolé.”


C’est un très bon cavalier, il sait monter depuis son plus jeune âge, il le faut bien quand on passe sa vie sur les routes. C’est lui qui a appris à sa femme à monter.  Il ne sait pas nager et a peur de l’eau. Plus exactement des fonds marins. Il est tombé dans l’océan quand il était jeune, il a même failli y laisser sa vie. Il ne doit ça survit qu’à sa mère qui a plongé dans les flots pour le sauver. Depuis il reste aussi loin que possible des vagues et des abîmes.

Questions

Le monde de Thédas est vaste et, pourtant, voilà que vous vous trouvez actuellement à Starkhaven. Comment êtes-vous arrivé ici et pourquoi y restez-vous ?
La route est mon horizon, le négoce dans le sang. J’ai parcouru Thédas pour solidifier l’empire Kahudi. “Café Kahudi, l’exotisme d’un nom sur le bout de la langue.” Vous connaissez forcément notre café et ce slogan. Nous sommes partout, sur les tables les plus raffinés. J’ai mis les pieds à Starkhaven pour la première fois il y a de nombreuses années et j’y ai découvert le sens de la liberté que j’avais oubliée. Loin de ma femme et de mon mariage infertile et aussi désolé qu’un désert à midi. Starkhaven, cité des Princes et de tous les possibles. Je suis arrivé en suivant la route, pour y faire commerce. Je suis resté pour les joies qu’elles m’offraient. Aujourd’hui avec la menace de l’Enclin, je ne puis plus en partir.

Les décombres d'Antiva gisent entre la Souillure et la cendre, les rues ne désemplissent pas de tous ces éclats de voix. Que les malheurs se pressent contre les murailles de Starkhaven ou qu'elle s’empêtre dans ses propres querelles, la pierre ne cesse de trembler. Où étiez-vous quand l'archidémon a survolé la moitié du continent et comment faites-vous face aux conséquences - pensez-vous que la Cité des Princes tiendra si l'Enclin se présentait ?
Sur la route comme à mon habitude, éloigné le plus possible de Starkhaven qui était avant synonyme de liberté pour moi. Depuis l’arrivée de ma femme s'est devenu une nouvelle prison. Mais, la menace de l’Enclin rend les routes plus dangereuses que d’ordinaire, me voilà donc revenu dans la cité des Princes. Langueur monotone, ville perdant de son éclat, cœurs sombres et angoissés. Masse de réfugiés-dont je fais partie aux yeux de certains-qui se massent sous les murs. Je ne sais point si la ville tiendra. Je ne suis pas soldat, je ne suis pas un guerrier non plus. Si l’Enclin devait arriver en ville, je serais sûrement dans les premières personnes à tenter de fuir ou dans les premières personnes à mourir. Pourrons-nous survivre ? Je n’en sais rien. Seul le Créateur le sait. Antiva à périe, une cité état peut-elle réussir là où un royaume entier a échoué ? Je prie pour que la Cité se dresse et ne ploie pas. Mais, je ne suis pas non plus naïf. L’Enclin est un mal absolu. Et, face au mal absolu, la victoire comme la défaite n’est jamais écrite à l’avance. Que le Créateur et Andrasté nous protègent.

À Starkhaven, l'union fait souvent la force, mais l'on trouve parfois préférable de faire cavalier seul ou cavalière seule. Quelle est votre place parmi les différentes organisations et factions de la cité et pourquoi avez-vous fait ce choix ?
Je suis resté neutre pour le moment. Pour plusieurs, raisons, la première parce que je ne me retrouvais dans aucunes des organisations présentent en ville. Et, parce que je préfère pour le moment rester le plus libre possible dans mon commerce. La seconde raison, c'est que pour le moment, je ne sais pas ce que mon commerce va donner avec la menace de l’Enclin. Je dois réfléchir, vite et bien à une façon de sauver mon empire de négoce de la faillite. Mais si les nains acceptent un humain dans leurs rangs, je pense que c'est vers eux que je me tournerai.

Même accompagné de vos proches, de vos collègues, de votre animal de route, vous vous retrouvez seul ou seule à vous demander de quoi demain va bien pouvoir être fait. Quel est votre objectif le plus concret et direct à suivre ?
Eh bien survivre autant que possible aux épreuves qui vont forcément, nous toucher de plein fouet. Sauver mon argent et mon nom. Diversifier mon entreprise afin de ne pas faire faillite. Et, en temps de guerre, les opportunités de faire de l’argent ne manque pas si l’on n'a pas peur de se salir un peu les mains. Et, pour être tout à fait franc, je suis un marchand honnête depuis toujours. La famille Kahudi a toujours été honnête. Mais, nous n’avions jamais fait face à un Enclin et à la faillite. Il va peut-être être temps de revoir un peu sa moralité.

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Pronom du personnage Il ThèmesTout, si vous pensez que ça peut-être difficile hésitez pas à m'en parler.Mort du personnage ?Si son heure doit venir elle viendra.  

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PseudoMissDarcy Avez-vous plus de 16 ans ? Malheureusement oui.Comment avez-vous trouvé le forum ? Je le zieut depuis très longtemps. Fuseau horaireParis Mot de la fin Kadan

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TW: Aucun, je penseCafé Kahudi un empire dans la tempête de l'histoire “Café Kahudi, l’exotisme d’un nom sur le bout de la langue.”


“Café Kahudi, l’exotisme d’un nom sur le bout de la langue.”

Aderfi Kahudi - La douce amertume de l'or noir Beans-coffee

Histoire des Cafés Kahudi :

”Fils, tu vois la façon dont le soleil inonde le monde de sa lumière? La manière dont la terre chante sous la pluie ? Oui, bien sûr que tu vois. Notre famille, les Kahudi, nos racines sont aussi puissantes que ça. Nous n’avons pas toujours été riches, mais nous connaissons la valeur du travail. Nous connaissons la valeur de la famille. Et, nous connaissons la valeur de notre temps. Car le temps mon fils, c’est l’argent.” Aderfi avait six ans. Et, pour lui cette histoire de soleil, pluie terre qui chante et de famille, c'était un peu trop métaphorique pour son esprit d’enfant. ”L’ancienne du village, elle dit que l’or n’est pas une richesse. Que la nature en est une. Elle dit que notre café vaut plus que tout l’or des pays du Sud et de l’ouest.” Bruit de vêtements qui frottent contre le sol sec. Ils étaient sur la route vers Antiva et l’été était chaud et sec. ”Elle a raison, bien sûr. Mais, quand tu auras voyagé, tu te rendras compte, que l’or est maître dans les autres royaumes.” Le soleil dans des teintes rouge sang finit par mourir derrière la ligne d’horizon, remplacé par sa maîtresse la lune et pas la valse silencieuse des étoiles qui venaient s’accrocher dans le satin sombre de la nuit. ”Quand est-ce que les cafés Kahudi sont nés père ? Est-ce vrai qu’ils sont aussi vieux que notre pays ?” Un rire mélodieux lui répondit. Sa mère s’assit à leur côté en prenant soin de lisser sa robe. ”Aderfi, tu ne dois pas écouter tout ce que te raconte ton grand-père. Même si nous existons depuis bien longtemps oui. Les racines de la famille Kahuie remontent à loin. Mais, l'idée de vendre notre café remonte à peu près à la période de la seconde marche exaltée. Durant ce que l’on nomme l’ère des gloires.”

La famille Kahudi est une famille de marchand de générations en générations. Au début, ils vendent des légumes avant que l’une des aïeules de Aderfi ne comprenne que le café était une boisson rare et qui donc pouvait se vendre cher. La famille investit dans des terres et plantes des caféiers. C’est le début de l’ère Kahudi.  L’empire du café se formera sur les routes, construit par la sueur des ancêtres d’Aderfi, par la poussière des chemins et parfois dans le sang. La vie n’est pas simple pour les marchands. Les routes sont dangereuses. Mais, les Kahudi ne sont pas des pleutres ou des êtres qui abandonnent. Au contraire, la famille travaillera de concert, Hommes, Femmes, enfants. Tous œuvreront dans le but de créer un empire. Et, ils sont la preuve qu’un travail acharné finit toujours par payer.

Aujourd’hui, les cafés Kahudi sont connus dans le monde entier. “Café Kahudi, l’exotisme d’un nom sur le bout de la langue.” La maxime devient le slogan de la famille et lui permet de s’exporter toujours plus loin. Ils sont la promesse d’un peu de voyage dans une simple tasse.

Organisation des Cafés Kahudi :

Aderfi : Patron, Négociant (souvent sur les routes), ambassadeur de la marque.
Tayri (sœur): Patronne, gestionnaire, s'occupe surtout de la plantation et des commandes, de la gestion des stocks.
Kahina (femme d'Aderfi) : Patronne, gestionnaire, s'occupe notamment de la boutique de Riveïn puis de la succursale à Starkhaven.

-Riveïn :
*Plusieurs employés dans la plantation pour s’occuper des arbres et de la récolte.
*Plusieurs employés pour la transformation du grain
*Deux employés dans une boutique à Riveïn sous autorité de Aderfi, de sa sœur et de sa femme.

-Starkhaven :
*Une petite boutique qui ne paye pas de mine, mais décoré avec soins. Il y a toujours une odeur de café qui s'en dégage et qui invite au voyage. Vous pouvez y trouver presque tous les jours Kahina. Et, de temps en temps Aderfi puisqu'il ne peut plus voyager avec l'enclin.

-Autre : Parfois Aderfi autorise quelques "collègues" marchant à vendre son café, dans certaines régions ou quand il ne peut pas se déplacer. Bien sûr, il leur donne une part des recettes.

Comment passer commande et entrer en contact avec les Cafés Kahudi :

Soit, vous vous rendez en boutique, soit vous envoyer un courrier à Aderfi, sa sœur ou sa femme. Ce que vous dites à l'un et dit aux deux autres. (Dans le cadre des affaires.)


L'empire Kahudi bientôt sur d'autres fronts ?

Mon cher frère,

J'espère que cette lettre te trouvera en forme est que la vie dans la cité des princes est douce. J'espère également que Kahina va mieux. Avec l'Enclin à nos portes te faire parvenir des nouvelles est de l'ordre du miracle. Je ne sais même pas si cette lettre te parviendra. Je l'espère, car elle contient des informations confidentielles et qui pourrait donner une nouvelle direction à notre entreprise.

J'ai acheté un navire. Et, je pense que ce n'est que le premier d'une longue ligne. Je l'ai baptisé de la Kahudi's Princesse.  Je sais ce que tu vas dire. Que nous n'avons ni les moyens pour l'entretenir et encore moins pour payer des matelots et un capitaine. Détrompe-toi mon très cher grand frère.

Une très grosse entrée d'argent m'a permis cette dépense. Les gens sont prêts à vendre leur vie pour fuir un enclin. Et, quoi de plus sûr que la mer ? On pourrait appeler cela "profiter du malheur des autres." Moi, je dis que c'est rendre service. Ces gens voulaient partir. Certes cela leur à coûter une petite sommes, mais ils étaient en sécurité sur notre navire, nous les avons laissés dans un endroit propice aux voyageurs en Thédas.  Depuis, la rumeur court par chez nous et de plus en plus de personne demandent à traverser avec notre navire.

Peut-être que de ton côté, tu pourrais faire savoir de façon discrète que les Kahui ont un navire et que pour un bon prix on peut amener n'importe qui n'importe où ? Certes, notre père doit se retourner dans sa tombe. Mais, nous devons survire à cet Enclin. Et, quelque chose me dit que le café ne sera pas la priorité des civils.

Je sais que tu es doué avec les mots et les esprits mon frère. Je sais que tu trouveras un moyen d'utiliser au mieux ce navire.

Longue vie à notre famille.

L'exotisme sur le bout de la langue.

Avec Tendresse.

Tayri.



Un café pour chaque jour. Un café pour chaque occasion. Laissez l'exotisme vous gagner.



Andrasté
Andrasté
Prophétesse du Créateur
Prophétesse du Créateur
Andrasté
Personnage
Illustration : Aderfi Kahudi - La douce amertume de l'or noir 00271e5d6ef73524ca7af225b44553f426543b3d

Pronom.s personnage : Elle
Occupation : Je rappelle au Créateur le malheur des hommes qu'il a pourtant promis d'aimer...
Localisation : Aux côtés du Créateur.
Pseudo : Compte administrateur
Pronom.s joueur.euse : Elle
Crédits : Adamant (avatar).
Date d'inscription : 22/09/2020
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Maintenant, les ennuis commencent !

Crédits : Mâo, Faction Étrangers

Que cachez-vous donc sous ce regard mystérieux, cher Rivénien ? Hey Quelles pensées, quels désirs, quelles ambitions ? C'est un très grand plaisir que de voir enfin ce personnage joué avec ta jolie interprétation, entre plaisir de faire pousser les arbres et en cueillir les fruits ! Et l'on se demande bien comment lui et les siennes vont trouver leur place à Starkhaven, maintenant que l'Enclin s'est déclaré... Hey


La herse se lève, les portes s'ouvrent : Starkhaven s'offre à toi dans toute sa splendeur et dans tous ses mystères !
Que vas-tu faire dans la Cité des Princes ?


Etrangers

Bienvenue, Aderfi Kahudi


Ta demande acceptée par les autorités de la ville, te voilà maintenant inscrit(e) dans ses registres et tu peux arpenter Starkhaven comme tu l'entends ! Toutes les zones de jeu te sont désormais ouvertes, et tes nouveaux partenaires n'attendent que toi.

Mais avant de te lancer dans l'aventure, nous te demandons quelques petites dernières démarches qui permettront de bien suivre tes pérégrinations. Tout d'abord, pense à recenser ton personnage en remplissant le formulaire des bottins, pour qu'il puisse ainsi apparaître dans les statistiques. Tu constateras d'ailleurs que tu as obtenu tes 100 premières pièces d'or que tu peux dépenser comme bon te semble dans la boutique !

Pour permettre à ton personnage de s'intégrer sur le forum, parmi toute cette joyeuse petite bande, nous t'invitons tout d'abord à disposer de cette fiche de présentations comme tu le souhaites : elle devient désormais ta fiche de personnage, endroit idéal pour consigner tes liens, tes idées de liens ta chronologie, ton journal intime... ce que tu veux pour suivre ton évolution et la rendre accessible aux autres ! Pour des recherches plus précises, tu peux te tourner vers la demande de liens dans Relations ; et pour te lancer pleinement dans l'aventure, tu peux chercher des RPs dans Aventures. Tu peux également te tourner vers le décor pour trouver des situations MJ à intégrer, selon ton désir, dans ton jeu.

Tu peux discuter avec les membres de la Faction Étrangers ici et te tenir au courant de l'avancée de son influence dans la Cité-État de Starkhaven ! Jette un œil à ses projets pour trouver des petits défis à relever  Et tu trouverais également dans le tableau du cantor toutes les informations sur les organisations, ainsi que des forums dédiés si tu fais parties d'une ou plusieurs.

Pour le côté plus festif mais totalement accessoire : une zone flood n'attend que tes envies de détente et d'animations.

Enfin, plusieurs formalités importantes qui te suivront pendant toute ton aventure parmi nous.
À compter du 20 de chaque mois, et jusqu'au dernier jour de celui-ci, un recensement mensuel sera organisé pour savoir si tu souhaites rester parmi nous ; si tu a posté ton absence, tu n'as aucune inquiétude à avoir, tu seras pris en compte.
Enfin, lorsque tu ouvriras un sujet, pense bien à le recenser dans la chronologie du forum ; fais-le également à sa clôture.

Après toutes ces explications, tu te sens toujours un peu perdu.e ? Pas de panique ! Tu peux à tout moment demander de l'aide dans la zone de parrainage.

Après toutes ces petites informations, Ainsi tomba Thédas te souhaite un très beau moment de jeu. N'hésite pas à contacter Andrasté si tu as la moindre question !



Glorieux Créateur, comment Tes enfants peuvent-ils être pardonnés ? Trébuchant dans l’ignorance, nous avons oublié que seule une Lumière brisera les Ténèbres.
Parle à Tes enfants, enseigne-nous Ta splendeur. Ce qui a été oublié n’est pas encore perdu.

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Rp en cours :

Avec  @Elendîs : ici : le  4 longnuage 5:13 des exaltés : Discussion sur l'oreiller au laurier carmin.
Avec  @Zaena : ici : le 19 Floraison 5:13 des exaltés : Entretient d'embauche.
Avec  @Nucci Mansilla : ici : Début du Réconfort, 5:13 des Exaltés : Retrouvailles étranges au son des vers.

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Aderfi Kahudi - La douce amertume de l'or noir