Nom Vas-y. Tends ta main. Montre-leur les taches livides qui mouchettent tes doigts et ta paume. L'on croirait que tes os déteignent sur ta peau. « Patte-Blanche », c'était le surnom idéal, le seul nom qui vaille, n'est-ce pas ?
Âge Depuis combien de temps ? « Trente-sept ans. »
Genre Le sais-tu vraiment ? L'as-tu seulement su, un jour ? « Je suis une dame de compagnie de la señora Agnese de Palia. »
Peuple On ne peut plus « humaine ».
Nation d'origine « Je viens d'Antiva. Je ne suis pas à Starkhaven depuis longtemps. » Les cicatrices pulsent encore.
Occupation « J'ai été soignée ici. Par votre Couvent... Le Couvent des Murmures ? Mais je ne pouvais pas rester sans rien faire. Il me faut protection, travail. Je sais qu'une fille de Palia réside ici. Alors, je suis retournée à son service. Je peux recommencer ma vie. »
Religion ou croyances Ce n'est pas une question nécessaire. La réponse est évidente. Qui de sensé ne révère pas Andrasté ?
État civil Sans personne, heureusement, car de ce que tu sais, nul autre que toi n'a survécu aux griffes de l'Enclin.  
Langue(s) parlée(s) « Antivan, bien sûr. Je parle commun aussi, et un peu riveïnie. C'est plus dur, mais je parle. »
Origine sociale Une lente ascension, mais tout sauf imméritée ! D'orpheline sans origines, élevée dans un cirque itinérant qui sillonnait les quatre coins d'Antiva, tu t'es fait remarquer, et tu as pu œuvrer auprès des plus puissants, deux mains dissemblables et fidèles toujours prêtes à exaucer leurs quatre volontés. Tu es une suivante dévouée. Et, plus important encore, tu sais comment écouter et qui respecter.  
Niveau de vie De la vie de bohème à la sécurité de quatre murs solides, d'un couchage et d'une assiette pleine, de la liberté à un emploi souvent ingrat, mais salutaire.  
Équipement « Je n'ai pas emporté beaucoup d'Antiva. » Les vêtements sur ton dos, la besace à ta ceinture, les quelques breloques qui pendent à ton cou et tes poignets. Rien qui n'affirme haut et fort la prospérité, rien qui n'attire l’œil indésiré, rien qui transpire non plus la pauvreté. Tu vis dans tes moyens. Tes possessions ne dépassent guère celles que t'octroient ta maîtresse et ton devoir ; il n'a jamais été dans tes habitudes d'accumuler.