Victor Donnall - Burn for Victory
Haut-Juge de Starkhaven
« Il faudra mettre une petite modestie, ma chère. Si tout est déjà visible, l’ensemble perd un peu de son charme. »
Le pommeau en argent de la canne de la nonagénaire pointa contre la gorge de la jeune fille qui, rougissant, balbutia quelques mots avant de s’enfuir sans demander son reste. Eryn Donnall, née Vael, se renfonça dans son fauteuil avec un sourire des plus satisfaits, sous l’œil critique – mais quelque peu amusé – de son petit-fils, assis à ses côtés, une canne similaire coincée entre ses jambes tordues, quoique à pommeau doré, comme il seyait au seigneur d’une noble lignée. Victor Donnall contempla avec une affection sincère son irascible grand-mère et lui chuchota :
« Tu n’étais pas obligée de lui faire peur immédiatement, elle ne m’avait pas encore fait d’avances. Laisse-moi avoir quelques plaisirs, grand-mère. »
« Peuh, si elle n’est pas parvenue à trouver une répartie suffisante, elle n’est pas digne de devenir ma petite-fille … ou de me donner des arrière-petits-enfants. »
Derrière la moue splendide et la dureté des paroles, Victor pouvait néanmoins percevoir aisément l’amour profond qui l’unissait à son petit-fils, ainsi que la volonté farouche de le protéger. C’était, après tout, sa première sortie publique depuis le décès de son épouse, et il semblait que la position encore chaude à ses côtés ne manquait pas de prétendantes. Avec une ironie douloureuse, il ne put s’empêcher de penser que le retournement de situation était particulièrement savoureux, que de passer de l’infirme que toutes les familles regardaient de haut à celui dont on cherchait à obtenir quelque faveur. Malheureusement, il n’avait oublié aucune insulte. Il n’oubliait jamais. Et se plaisait à les rappeler, quand il le fallait. Il lui sembla qu’Eryn n’avait pas non plus pardonné. Comme elle le disait souvent, la matriarche avait peut-être, désormais, les yeux chassieux, l’oreille douteuse et les genoux cagneux, elle avait encore l’orgueil de sa lignée pour la soutenir en ce monde, et la fierté palpable d’avoir réussi, en un monde qui l’avait condamnée à n’être qu’un ventre qu’on louait, à imprimer sa marque sur sa famille. Ou ce qu’il en restait. Tapotant son sac de sa main, elle lui fit comprendre qu’elle désirait fumer, et Victor allongea la main pour préparer la pipe. Il vit sa grand-mère s’en emparer avec une dextérité étonnante. Elle exhala un lourd rideau de fumée, qui ne l’incommoda pas le moins du monde – il avait respiré pire en Orlais. Elle observa un moment le contrebas sous leurs pieds, que laissait deviner le balcon de la somptueuse demeure où se tenait la réception à laquelle ils étaient invités. Quoi de mieux que s’étourdir dans le luxe et les futilités pour oublier les imprécations d’une morte, le sang sur la chaussée, et l’Enclin, à leurs portes, qui finirait d’engloutir ce à quoi l’hubris avait déjà consenti ?
« Tu sais ce que j’ai répondu à ton arrière-grand-père, quand il m’a demandé pourquoi j’avais choisi, parmi tous les soupirants qu’il m’autorisait, le plus laid de tous ? »
Oui, il le savait. Mais il laissa la nonagénaire se plonger dans les souvenirs de sa jeunesse dorée, où elle était princesse, fille de Prince, sœur de Prince, tante de Prince bientôt. Mariée trop tôt à l’homme qui lui avait le moins déplu, et qui apportait une aide financière conséquente à la couronne pour prix de son alliance, elle n’avait jamais eu aucune illusion sur son rôle : assurer la pérennité des liens ainsi établis, et se taire. Devant la tombe de son père, elle avait un jour dit : « Il paraît plus grand mort que vivant, cet homme. » Cela résumait bien l’amertume derrière ce destin de femme, si commun et pourtant si douloureux à chaque fois qu’il était personnel. C’était là encore oublier que le talent se moquait souvent du genre, et plus encore de l’apparence. Peut-être était-ce pour cela qu’Eryn Donnall avait pris ce petit-fils infirme sous son aile dès sa venue au monde, suppléant les mâles, une fois encore, et le façonnant selon l’avenir qu’elle avait caressé pour elle, et qu’il pourrait un jour toucher du doigt. Elle en avait toujours été persuadée : ceux qui réussissaient étaient ceux qui l’avaient le plus voulu, et non ceux qui estimaient qu’une place leur était due. Nouveau rond de fumée qui s’évapora dans l’air lourd du soir.
« Je lui ai dit que celui-là au moins aurait du mal à collectionner les maîtresses. »
Victor laissa échapper un léger rire. Même s’il connaissait l’anecdote par cœur, il était bon public. Un sourire lointain étira les lèvres sèches de sa grand-mère, qui commenta :
« Les hommes de pouvoir ont parfois du mal à voir par-delà l’apparence. Ce qu’ils reprochent exactement à leurs épouses et à leurs filles. »
Le petit-fils hocha la tête. Ils se comprenaient, depuis toujours, unis dans les marges du pouvoir, celui dévolu aux femmes et aux hommes qui avaient le malheur d’être relégués à la même place, par défaut de corps. Toute son existence, Victor avait vu les regards s’attarder sur ses jambes arquées, désespérément tordues, sur son pied déformé et bien trop court qui l’empêchait de marcher correctement. Certains avaient le bonheur de naître beau et idiot. Lui était boiteux et intelligent. Il n’y avait pas pire malédiction, que d’être capable de comprendre ce qu’on aurait pu être, dans une autre vie, et de supporter la pitié ou le mépris des autres dans celle à laquelle les affres du hasard avaient condamné.
« Quand ton père est né, aussi beau, je me suis dit que c’était une erreur. »
A la mention du paternel honni, Victor se raidit imperceptiblement. Sa grand-mère continua néanmoins, imperturbable – ou bien précisément parce qu’elle savait la haine qui avait lié le fils et le petit-fils.
« Je ne m’étais pas trompée. »
Aveu cinglant d’une mère pour un enfant aimé, bien sûr, comme premier né mâle et assurance que son office avait été rempli, et dont les prouesses à la lice n’avaient jamais égalé celles face à un livre de compte. Il n’avait guère été difficile à gouverner, ce fils rendu amer et violent par la perte d’une épouse adorée, délaissant les affaires familiales bâties patiemment par son père et sa mère, et les abandonnant tout à fait à la matriarche, qui à défaut de les mener en nom, les avait agrandies en poigne. Elle avait veillé, au gré des morts et des pertes, pleurant chacun, avec ses défauts et ses qualités. A l’hiver de son existence, il ne lui restait guère plus qu’à espérer dans le dernier seigneur descendant de ses entrailles, celui qu’elle avait façonné, patiemment, quand personne n’accordait un regard au gamin malingre et handicapé qu’il avait été. Et quand elle l’avait vu siéger auprès de son neveu, Kendric, auprès des autres grands noms de cette ville, elle avait eu envie de pleurer. Sur elle-même. Sur son fils. Sur les erreurs commises. Sur les affronts réparés, enfin. Ils restèrent en silence, chacun perdu dans ses pensées.
Victor se souvenait des derniers instants de son père. De sa figure paralysée, dans le grand lit seigneurial, réduit à un enfant incapable de s’occuper de lui-même, à la merci des autres. Réduit à ce qu’il avait été, un jour. A ce que cet homme avait fait de lui. Il était entré, un profond sourire aux lèvres, et avait contemplé les râles du mourant, qui dardait un regard furieux mais désormais muet – la syphilis avait bien fait son œuvre. Il s’était souvenu des brimades, des coups, des injures. Et il avait souri, férocement. Tout se payait.
« Une danse, messire ? »
La morbide réminiscence fut interrompue par l’invitation hardie d’une jeune femme. L’homme lui adressa un sourire poli et pointa :
« Refuser me ferait paraître bien discourtois, mais je suis hélas un cavalier aux talents limités, ma dame, et ce serait un hommage bien pâle à votre grâce que de vous accompagner en si piètre qualité. »
Jambe maudite, jambes maudites, qui le tourmentaient depuis tant d’années. Cures, onguents, cataplasmes, chirurgies, recours aux mages de Création … Les soulagements étaient divers, mais l’affection revenait, inlassablement, rongeant ses os et ses chairs. Il avait appris à faire bonne figure, à parer d’esprit sa malfortune de naissance. Demeurait l’âcreté du ressentiment, contre laquelle il fallait lutter pour afficher une posture aimable. Il sentit la jeune fille observer aussi discrètement que possible sa canne, puis répondre avec aisance :
« Il est des danses plus intellectuelles et je suis certaine qu’en cet art, vous êtes cavalier doué, messire. »
Du coin de l’œil, il vit Eryn sourire discrètement, tout en continuant de tirer sa pipe.
« Si fait. Permettez-moi alors de vous accompagner, dame. »
Ebranler sa carcasse traîtresse était toujours un exercice délicat. Avec précaution il se souleva, main appuyée sur sa canne pour faire contrepoids, et une fois debout, proposa le bras qui était du bon côté à sa compagne de la soirée, qui le prit.
« Grand-Mère … »
Il laissa la vieille dame derrière pour revenir dans la grande salle, où tapisseries et serviteurs discrets peuplaient les murs et recoins de la pièce agrémentée pour l’occasion. Et tout l’art de cette progression était de saluer chacun et chacune en n’omettant aucun petit mot glissé qui témoignait de la connaissance de l’autre – même factice. L’apprentissage du Noble Jeu avait laissé quelques traces chez lui. Il y avait de grands noms réunis là, et des plus petits, qui avaient toute leur importance également, car dans la pyramide du pouvoir, ceux à la pointe ne devaient jamais oublier qu’ils tenaient leur puissance du socle. Avoir des obligés, là était la clé, et il s’y employait depuis de nombreuses années. Un homme reconnaissant – et dont on avait tenu la vie entre ses mains – avait un poids important, pour qui savait le modeler à sa guise. Cela ne signifiait pas qu'il n'agissait pas uniquement par empathie, parfois, en témoignait sa compassion pour les êtres rejetés. Lui au moins avait eu la chance d’être riche. Et d’être en capacité d’advenir – peu importe les sacrifices. Alors, il rendait aux autres ce qu’il avait obtenu par lui-même, comme un pied de nez. Ainsi de cet hospice discret qui abritait les infirmes et ceux désignés fous par l’ignorance, qu’il avait financé seul. Sa réussite. Peut-être ce dont il était le plus fier.
« Il est bon que Starkhaven retrouve de la normalité, ne trouvez-vous point messire ? »
Les réfugiés s’entassaient, chaque jour plus nombreux. L’on criait haro sur la Corneille invisible. La paranoïa gagnait les rues. Le Prince trouvait son salut dans un bordel. Et, au milieu de ce désastre, planait l’ombre de l’Enclin, dont apparemment bien peu se souciaient. L’homme haussa un sourcil. La normalité, en effet : celle de l’insouciance de l’opulence, et de l’idiotie. Bah ! Tant que cette dernière le servait …
« Chacun s’emploie à ce que la tranquillité puisse être retrouvée. A tout le moins, c’est ce à quoi je tente d’œuvrer. »
Le sérieux avait gagné son visage. Puis un sourire galant les détendit, et il ajouta :
« Il me déplairait de voir la peine ou l’angoisse ternir la délicatesse de vos traits, ma chère. »
Ils continuèrent à deviser, commentant de ça de là les différentes paires de danseurs, et à la fin de l’échange, Victor prit sa main et la porta à la bordure de ses lèvres pour un baise-main aérien, commentant contre sa peau :
« Merci, ce fut une valse des plus agréables. »
Le temps de saluer ses hôtes et de mander ses serviteurs, il était prêt au départ. Sa grand-mère fatiguait, du reste. L’âge la gagnait, quoi qu’elle s’obstinât à dire le contraire. La chaise à porteurs les amena jusqu’à leur propre demeure, et après avoir pris congé de son aïeule, le maître des lieux se dirigea jusqu’à son bureau. Auquel il s’attabla. Maintenant qu’il avait sacrifié aux mondanités d’usage, il était temps de commencer à travailler. Avec méthode, il alluma sa bougie, et commença à lire sa correspondance, puis ses parapheurs. Ici une demande de grâce, là l’acte d’exécution à signer. Sa tâche de Haut-Juge le passionnait sincèrement, et on lui reconnaissait au moins d’être compétent dans son domaine – pour avoir perfectionné sa connaissance des lois et coutumes de Thédas durant des années, et avoir exercé bien avant sa nomination au Conseil. Benjamin sans avenir, infirme, il avait dû s’exiler pour apprendre, et trouver une place qui ne lui revenait pas de droit. Le hasard avait bousculé les choses. Et il aimait se dire qu’il pouvait sincèrement œuvrer à l’amélioration de l’existence dans sa ville natale à force d’édits patiemment négociés et rédigés. Il rêvait d’encourager les dons, de promouvoir la venue d’artistes comme d’artisans pour espérer conduire les grands travaux qui mèneraient à la modernisation de la cité. Il avait étudié des plans d’assainissement et de meilleure irrigation. Le soir, au coin du feu qui ronflait doucement, il pouvait se plaire à créer les contours de ce qu’il voyait, comme avenir, tandis que ses jambes le lançaient et que son cerveau s’évadait de ce corps qui le maintenait prisonnier.
« Papa ! »
Une petite voix interrompit ses pensées. Se retournant, il vit une silhouette menue s’encadrer dans la porte, une poupée de chiffons dans la main, avant d’être rejointe par une autre ombre, plus haute.
« Papa, j’ai fait un cauchemar … »
« Tu sais que Père travaille, reviens te coucher ! »
L’attendrissement flotta sur son visage tandis qu’il dévisageait le visage sérieux et les boucles sombres de son aînée, ainsi que l’air endormi et la chute de cheveux blonds qui encadraient les traits doux de la cadette. Si sa fille aînée était – malédiction des bâtards – son portrait craché, la seconde était tout le portrait de sa défunte épouse.
« Aoife, ne t’inquiète pas, vous ne me dérangez pas. »
Si. Mais elles n’avaient pas besoin de le savoir.
« Venez. »
Il se leva – et l’effort manqua lui couper le souffle, mais il n’en montra rien – puis se dirigea vers la chambre de la plus jeune, ses enfants accrochées à ses bras et qui pépiaient joyeusement sur leur journée. Il coucha Eryn – quand il avait nommé sa première-née légitime comme sa grand-mère, personne n’avait été surpris – et la borda, tandis qu’Aoife s’installait à côté de lui sur le lit.
« J’ai rêvé de Maman … »
La petite voix avait avoué son secret, et Victor sentit un coup au cœur le prendre. Il savait que les jours d’après seraient les plus difficiles. Mais parce qu’il avait connu trop de deuils, il aurait voulu que sa fille – ses filles, car son épouse avait toujours veillé au bien-être de son aînée, rassurée sans doute par son sexe qui permettait de ne point trop encombrer la succession – ne connaisse pas leur cruauté trop tôt. Et il ne sut que répondre. Alors, il se contenta de serrer l’enfant dans ses bras, la main maladroite d’Aoife lui tapotant l’épaule, tandis qu’il s’autorisait à pleurer doucement la femme aimée avec l’enfant qu’elle lui avait laissée, s’efforçant de ne pas songer au nourrisson qui dormait quelques pièces plus loin, à ce fils de quelques jours qui se battait pour vivre et ne pas rejoindre sa mère. Il la berça longuement, et quand enfin la petite s’endormit, il se tourna vers Aoife et lui chuchota :
« Va au lit aussi. »
La jeune fille – qui était presque une adulte, déjà – le regarda de cet air un peu trop pensif, qui lui ressemblait bien trop. Infirme, il avait affublé une de ses enfants du sceau de la bâtardise, la condamnant au même mépris larvé que celui qu’il endurait. Et il l’avait fait sans remord, parce que la reconnaître si jeune avait été le moyen idéal pour briser toutes les rumeurs mauvaises entourant ses aptitudes à procréer. L’impotence aurait achevé d’éteindre à jamais toute velléité qu’il aurait pu avoir de s’élever. Il avait toujours veillé à ce qu’elle ne manque de rien, même après s’être marié, même après avoir eu un premier enfant légitime. Aoife était son sang, et il adorait cette gosse au menton trop hardi et aux yeux trop vifs.
« Aoife, va te coucher, écoute ton père. »
Une superbe femme en habit chantriste venait de s’encadrer dans la porte, aux mêmes cheveux sombres et à la mine aussi sévère que celle de Victor. Aoife acquiesça aux mots de sa tante et fila. Victor s’inclina – comme il le put – et déclara, une once de taquinerie dans la voix :
« Mère Adda … »
« Oh je t’en prie ! »
Sa jumelle n’avait perdu ni sa prestance ni sa beauté, en dépit des années. Le Créateur avait bien de la chance, avaient marmonné certains esprits déçus. Il sentit la tendresse dans son regard, pendant qu’elle observait sa mine fatiguée et ses doigts crispés sur le pommeau de sa canne, la jambe ployant sous l’effort.
« Appuie-toi sur moi. »
Il n’y avait que sa sœur qui pouvait émettre une telle demande – et il n’y avait que d’elle qu’il pouvait l’accepter. Sans mot dire, il enroula sa main sur son bras, et ils progressèrent jusqu’à son bureau. Elle l’assit dans son fauteuil, et prit place en face, tirant une chaise à elle. Il se retourna vers sa montagne de papiers encore à trier. Adda les observa, et murmura :
« La Grande Prêtresse est inquiète. »
« Il n’y a pas qu’elle. »
Le constat avait des allures d’évidence. Avec une ironie mordante, Victor conclut, tandis qu’il trempait sa plume dans l’encrier pour signer une convocation :
« Vois le bon côté des choses : je suis forcé d’agir au mieux de mes capacités. Parce que si l’Enclin emporte Starkhaven, j’aurai bien du mal à courir pour échapper aux engeances. »
Un rire féroce lui échappa. Et sa sœur lui rendit son sourire, et d’une voix sombre, conclut :
« La nuit est sombre et pleine de terreurs, n’est-ce pas ? »
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Validation
Maintenant, les ennuis commencent !
Dans la fable du Lièvre et de la Tortue., voici donc la tortue ! Partie de loin, lentement, en voilà qui ne compte pas s'arrêter : et c'est donc avec plaisir et, surtout, avec une fiche si soigneusement préparée que l'on accueille le Haut-Juge du Conseil de Starkhaven ! La tête de Starkhaven va soudain s'animer de débats bien houleux et d'intrigues excitantes
Que vas-tu faire dans la Cité des Princes ?
Aristocratie
Ta demande acceptée par les autorités de la ville, te voilà maintenant inscrit(e) dans ses registres et tu peux arpenter Starkhaven comme tu l'entends ! Toutes les zones de jeu te sont désormais ouvertes, et tes nouveaux partenaires n'attendent que toi.
Mais avant de te lancer dans l'aventure, nous te demandons quelques petites dernières démarches qui permettront de bien suivre tes pérégrinations. Tout d'abord, pense à recenser ton personnage en remplissant le formulaire des bottins, pour qu'il puisse ainsi apparaître dans les statistiques. Tu constateras d'ailleurs que tu as obtenu tes 100 premières pièces d'or que tu peux dépenser comme bon te semble dans la boutique !
Pour permettre à ton personnage de s'intégrer sur le forum, parmi toute cette joyeuse petite bande, nous t'invitons tout d'abord à disposer de cette fiche de présentations comme tu le souhaites : elle devient désormais ta fiche de personnage, endroit idéal pour consigner tes liens, tes idées de liens ta chronologie, ton journal intime... ce que tu veux pour suivre ton évolution et la rendre accessible aux autres ! Pour des recherches plus précises, tu peux te tourner vers la demande de liens dans Relations ; et pour te lancer pleinement dans l'aventure, tu peux chercher des RPs dans Aventures. Tu peux également te tourner vers le décor pour trouver des situations MJ à intégrer, selon ton désir, dans ton jeu.
Tu peux discuter avec les membres de la Faction
Pour le côté plus festif mais totalement accessoire : une zone flood n'attend que tes envies de détente et d'animations.
Enfin, plusieurs formalités importantes qui te suivront pendant toute ton aventure parmi nous.
À compter du 20 de chaque mois, et jusqu'au dernier jour de celui-ci, un recensement mensuel sera organisé pour savoir si tu souhaites rester parmi nous ; si tu a posté ton absence, tu n'as aucune inquiétude à avoir, tu seras pris en compte.
Enfin, lorsque tu ouvriras un sujet, pense bien à le recenser dans la chronologie du forum ; fais-le également à sa clôture.
Après toutes ces explications, tu te sens toujours un peu perdu.e ? Pas de panique ! Tu peux à tout moment demander de l'aide dans la zone de parrainage.
Après toutes ces petites informations, Ainsi tomba Thédas te souhaite un très beau moment de jeu. N'hésite pas à contacter Andrasté si tu as la moindre question !