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Faolan | Do the gods this ardour into our minds infuse...

Faolan Callaigh
Faolan Callaigh
Chercheur-initié de la Vérité
Chercheur-initié de la Vérité
Faolan Callaigh
Personnage
Illustration : Faolan | Do the gods this ardour into our minds infuse... T8o8

Peuple : Humain
Âge : 22 ans
Pronom.s personnage : Usuellement, il ; iel.
Origine : Cairnayr, Marches Libres
Occupation : Chercheur-Initié de la Vérité
Localisation : Mirestreet, avec les autres Chercheurs, ou un peu partout à Starkhaven selon ses missions. Passe au manoir de Cairnayr lorsque ses obligations l'y autorisent.
Pseudo : Lyr'se Aquilae
Pronom.s joueur.euse : Il de préférence. Iel.
Crédits : Warbound par Knight Zhang | Scent and Sensibility par Aaron Bent Harker
Date d'inscription : 26/04/2023
Messages : 63
Autres personnages : Karl, Neria
Attributs : CC : 14/14
CT : 10/10
Mag : 6/6
End : 13/13
For : 13/13
Perc : 15/15
Ag : 11/11
Vol : 13/13
Ch : 14/14

Classe : Templier, niveau 1
Sorts : Prière à Andrasté (3PM)
Face aux plus vicieuses puissances de ce monde, il n'est pas meilleur rempart que Sa lumière. D'une voix rendue claire par la foi, Faolan implore la protection d'Andrasté ; une supplique fervente qui L'adjure d'éloigner les menaces de l'Immatériel afin de préserver Ses enfants. Réel acte de contre-magie ou simple catalyseur de la volonté, l'on en laissera juges les ouailles à portée de sa prière, qui bénéficient d'un avantage de +2 à leur Défense magique.

Feuille
Joueur

 

https://ainsi-tomba-thedas.forumactif.com/t1742-faolan-do-the-go
Harcèlement/maltraitance, un peu de macabre, de gore et d'insectes au niveau des anecdotesFaolan Callaigh
« Whoever was it who first discovered terrible swords ?
How feral and, yes, ferrous he really was ! »
- Tibullus, Elegies, Book I, X
Informations

Nom Hm. Vous me demandez mon prénom ? Starkhaven m'a plutôt habitué aux périphrases. « Le fils de », « le frère de », « non pas l'héritier, l'autre »... C'est vrai que mes aînés m'ont souvent fait de l'ombre, de la cour jusqu'au sein du foyer. Mais le nom Callaigh garde une portée importante pour les oreilles de n'importe quel Havenois qui se respecte, quand bien même l'individu s'efface derrière le patronyme. Donc, oui, Faolan Callaigh. Pour être clair, hm, je ne suis pas en train de me plaindre. Ma sœur n'est pas adorable, et notre famille très exigeante, mais aussi solide, puissante et privilégiée, et j'en ai profité même de loin.
Âge Ils disent que je suis trop jeune, et j'ai parfois l'impression que je le resterai jusqu'à ce que je sois trop vieux. À vingt-et-un ans, je ne viens plus de sortir du berceau.
Genre Je suis le deuxième fils de la famille. Je me suis déjà demandé ce que ça aurait changé, si Sibeal avait eu trois petites sœurs au lieu de deux... et en fait, non. Probable que les choses seraient restées ce qu'elles sont. Hm, ou bien elles auraient été pires.  
Peuple Progéniture reniée du Créateur ou enfant malheureux d'Andrasté, je porte la repentance sur mes épaules. Je suis humain.
Nation d'origine Avec mes adelphes, je suis né entre les hauts murs du manoir des Callaigh, à Cairnayr. L’incidence des allégeances m'a fait havenois, et la géographie, marchéen. Même si j'ai passé assez d'années en Orlaïs pour me sentir à l'étroit dans mon propre chez-moi.
Occupation Quand j'étais petit, mes parents ont vite compris que je ne servirais pas la maison en tant que simple notable. Le temps... hm, le temps que je passais entre la prière et l'épée a certainement dû les influencer. J'aurais pu rejoindre l'Ordre des Templiers de Starkhaven, mais Père a négocié une opportunité qui promettait plus de prestige : avec l'appui de mon oncle et l'aval du Prince Vaël, j'ai intégré les rangs des Chercheurs de la Vérité en tant qu'Initié, et j'ai passé le reste de mon existence à la forteresse de Montsimmard. Jusqu'à aujourd'hui. Hm. Je ne m'attendais pas à reprendre si tôt la calèche de retour.
Religion ou croyances Croyances ? Je n'ai pas de croyances. Je ne tâtonne pas. Je suis la voie d'Andrasté et de notre Créateur.
Langue(s) parlée(s) Après avoir vécu si longtemps dans un pays étranger, j'ai bien assimilé sa langue ; c'était nécessaire pour comprendre des sermons qu'il aurait été malavisé d'ignorer. Hm, d'accord, j'avais commencé d'apprendre l'orlésien avant de franchir les frontières de l'Empire. C'est une étape logique quand on a de la généalogie d’ailleurs, mais dans mon cas, ça s'est avéré bénéfique. Sinon, ma langue maternelle est le commun.
État civil Sans femme, sans enfants, le reste n'appartient qu'à moi.
Origine sociale Je proviens de la très ancienne et respectable lignée des Callaigh, même si chez les Orlésiens, l'ancienneté et la respectabilité d'une lointaine maison étrangère ne signifient pas grand-chose. Que ça leur ait plu ou non, je suis noble. C'est un fait. Indéniable comme le marbre de la Grande Cathédrale.
Niveau de vie Je n'ai jamais manqué de rien, ni à Cairnayr, ni à Montsimmard, ni à Starkhaven où le Prince doit nous recevoir avec les égards. Ce qui ne veut pas dire que je ne connais pas les difficultés. Hm hm. Le dénuement revêt beaucoup d'aspects différents.
Équipement J'ai l'armure réglementaire. Je la porte lorsque nécessaire, c'est-à-dire pendant les apparitions officielles, les missions sur le terrain et l'entraînement. J'ai mon épée... hm, on m'a déjà conseillé le bouclier, mais je préfère l'épée bâtarde. Je sais, j'aurais dû suivre les conseils.
J'ai mes tenues de ville pour les sorties civiles. Toutes datent de ma vie à la forteresse de Montsimmard, ce qui les rend sobres et militaires pour des Orlésiens, et dignes d'une réception fastueuse partout ailleurs. J'ai mon paquetage, ma besace avec mon carnet de réflexions... non, vous ne regarderez pas à l'intérieur. Et ma collection. Elle est très précieuse. J'ai passé beaucoup de temps à la constituer, en cherchant sur les marchés, parmi les passionnés, lors de mes promenades à l'extérieur. Hm, oui, elle n'est pas très utile dans le cadre de mes fonctions, mais ça me rassure un peu de la savoir sur moi. Comme ça me rassure d'avoir Son symbole autour du cou. Et mon masque orlésien, qui ne m'a pas beaucoup servi et ne me servira plus aujourd'hui, mais que je ne me voyais pas laisser en revenant à Starkhaven. Il est beau. Je l'aime bien.

Warbound par Knight Zhang, Artstation
Templier

Templier, niveau 1


Humain, Marches Libres, Ville, 21 ans

Chercheurs de la Vérité
J'y ai trouvé ma place. La décision ne m'a pas appartenu et j'ai quitté un foyer où je n'étais pas malheureux, mais je n'étais sûrement pas épanoui, hm hm, parce que les jours se suivaient et ne se ressemblaient que lorsque Sibeal l'avait décidé. À Montsimmard, ses caprices s'en sont réduits à des mauvais souvenirs, et j'ai enfin eu le droit d'exister par moi-même. Non pas que je me sois comporté de façon irréprochable à chaque fois. J'ai, hm, j'ai accumulé ma part d'ennuis. Cela dit, sans l'Ordre, je ne serais pas qui je suis aujourd'hui. J'ai gagné une seconde famille, sceptique au début, soucieuse ensuite de raffiner mes capacités et mettre ma volonté à profit, pendant que la première encourageait mes avancées à distance. On a commencé de croire en moi, et je crois en cette foi : je ne me verrais plus servir ailleurs.
Chantrie
Certains de mes camarades se rappellent avec beaucoup de détails du moment où la vocation de la Chantrie s'est imposée à eux. Moi, je ne sais plus. J'ai l'impression qu'elle a toujours été là. Quand je fouille ma mémoire avec soin, je distingue une voix lointaine qui me berçait de Cantiques... Hm. Il y a eu aussi des après-midis paisibles où je lisais les chants en compagnie de ma mère. Elle poursuivait mes leçons de lecture en me demandant de déchiffrer ses psaumes favoris, qui sont les miens maintenant, et je les ai récités jusqu'à les entendre résonner dans mes rêves. C'est peut-être à ce moment-là que j'ai su, que les mots d'Andrasté sont devenus mon trésor et mon refuge ?
Chronologie

16 Vendangien, 4:91 des Ténèbres Je suis né un an après Sibeal, presque jour pour jour. Notre aîné, lui, nous devance d'une quasi-décennie. Il était grand, il était fort, et déjà bien armé pour son titre échu de l'héritier. Sibeal avait toute l'affection et l'attention de nos parents, comme si le monde préparait sa future popularité. Je suis arrivé à la troisième place. Le fils cadet. Même si... hm, même si je ne remettrais jamais en question l'amour de Père et Mère, et je refuse, je refuse que quiconque le fasse... l'ordre des choses avait établi que je serais un peu à part. Ce qui ne s'est pas amélioré ensuite, quand mes deux autres sœurs sont arrivées. Je suis passé du point à la césure dans une phrase qui débutait en majuscule et promettait mieux pour la fin.  
Jusqu'en 4:99 Mon grand frère a poursuivi son rôle d'héritier. Ma grande sœur s'est démarquée de plus en plus. Elle était redoutable d'intelligence, c'est vrai, mais surtout de tempérament. C'était normal que le monde révolutionne autour d'elle ; et quand il cessait d'être accommodant, elle hurlait jusqu'à ce qu'il s'en rappelle. Personne à l'extérieur de nos murs ne s'en rendait compte, et avec ses manières, elle savait comment tromper le jugement de notre oncle ou même de Père.
Hm hm, j'ai dû subir ses colères. À l'image de tous ceux qui l'approchaient sans avoir la prestance ou la position pour qu'elle les juge dignes de sa patience. Les premiers temps, je ne connaissais pas la vraie paix : c'était comme si je marchais constamment sur un fil, entre la normalité et le chaos, et qu'à tout instant ce lien ténu pouvait se rompre sans que je n'aie provoqué quoi que ce soit. La tension ne me quittait pas, l'appréhension s'asseyait sur mes épaules et je tremblais dès que j'entendais l'écho aigu de la voix qui hantait mes cauchemars. Pas seulement mes cauchemars. Elle aimait bien me réveiller en criant en pleine nuit.
Pleurer était la pire des choses à faire, parce qu'elle n'attendait qu'un signe de faiblesse pour se ruer par la plaie ouverte. C'était mieux de ne rien montrer. Laisser la tempête se déchaîner en attendant qu'elle passe. J'ai appris que moins je paraissais affecté, plus vite elle se lassait, et plus vite elle me laissait tranquille. Avec le temps, la répétition des humiliations, j'ai arrêté de réagir. Elle faisait toujours ce qu'elle voulait, de toute façon.
Elle me volait mes jouets. Les réduisait en miettes lorsque je sautais pour les récupérer. Elle me poussait par terre pour la simple raison que je me tenais sur son passage, et qu'elle n'avait pas envie de me demander de m'écarter. Elle jetait mon assiette au sol et m'accusait ensuite d'avoir voulu l'attaquer. Il, hm, il y a eu une période où elle ne supportait pas la moindre attention envers moi : elle vociférait et s'agitait dès qu'on s'adressait à moi, brisait les cadeaux qu'on m'offrait, et je n'avais pas le droit de me manifester. Quand j'ouvrais la bouche, quand je parlais, elle m'interrompait en parlant plus haut ou en me pinçant les bras. Je n'avais pas le droit, hm hm, je ne devais pas parler. Je me suis mis à hésiter, à ravaler mes mots par réflexe, et aujourd'hui je ne sais plus m'en défaire.
J'avais des bleus partout, mais quand je l'accusais, Père m'expliquait qu'il fallait que je sois patient avec elle. Qu'elle avait ses difficultés. Qu'elle avait sa souffrance, et qu'elle m'aimait au fond, comme elle nous aimait tous. C'était vrai aussi que nous partagions des moments d'insouciance. Elle est capable d'être agréable, et même amusante, si elle l'a décidé. Elle ne le décidait juste pas beaucoup en ce qui me concernait.
Mais c'est ma sœur. Je n'ai pas d'autre grande sœur.
Hm. Son approbation était importante. Elle m'appréciait quand nous allions chercher des vers de terre dans le jardin pour les glisser dans les cheveux de nos cadettes. Elle m'appréciait quand nous exigions des domestiques qu'ils frottent encore et encore le même buffet, parce que le vernis du bois ne brillait pas assez ou qu'ils avaient laissé une trace de doigt invisible sur le verre. Elle riait aux éclats quand elle m'a mis au défi d'arracher la tête de la poupée préférée de notre petite sœur, et que je l'ai fait. Les rires sont plus supportables que les cris, hm. Et tellement plus réjouissants quand on n'en fait pas l'objet.
Mais en-dehors de ces rares trêves, j'étais négligeable pour elle. Et les opinions du reste de la famille, si elles n'étaient pas... hm, aussi virulentes que les siennes, n'en demeuraient pas moins mitigées. Là où Sibeal était brillante, curieuse, rusée, et où elle possédait déjà une belle calligraphie et le goût de la lecture, je peinais durant mes leçons. Il paraît que j'ai marché tard, que j'ai tardé plus encore à parler. On me disait benêt. Je n'éprouvais aucune envie de lire, parce que ça me paraissait si fastidieux. Je n'en suis pas fier, mais chaque cours auprès de mes précepteurs devenait un calvaire, et pas seulement pour moi. Hm hm.
C'est allé mieux à partir du moment où ma mère a pris les choses en main. Elle a choisi de me consacrer un peu plus de temps, en dépit du peu d'espoir qu'on plaçait dans mes capacités. Le soir, elle me prenait à part dans son boudoir, piochait dans son armoire l'une de ses plus belles éditions du Cantique, sa préférée, reliée d'or et de cuir fin, avant de s'asseoir à mes côtés et de me demander de lui lire quelques versets. Les plus simples pour commencer, les plus courts ; et puis, l'exercice suivant son œuvre, les vers se sont rallongés. Les séances se sont prolongées. Je me suis amélioré.
Mère avait l'indulgence qui faisait défaut à mon enfance. Hm... au début, je n'étais pas heureux d'être de nouveau contraint à la lecture, quand je m'échinais dessus à longueur de journée. Cependant, c'étaient des instants qui m'étaient dédiés, entièrement dédiés, et j'en manquais assez pour saisir leur importance. Tant que je restais devant ces pages, le sourire de ma mère demeurait sur son visage, et Sibeal ne pouvait pas débarquer.
Je me suis mis à attendre ces leçons avec impatience.
Jusqu'en 5:03 Les mots d'Andrasté m'ont aidé. Après ses versets, Mère m'a invité à lire les récits sur Sa vie, sur Ses martyrs et Ses fidèles. Mes leçons d'histoire m'ont semblé moins ennuyeuses. Quand j'ai commencé l'escrime, où je me suis révélé passable comme ailleurs, je m'imaginais pareil aux guerriers saints des textes sacrés. Grâce à Elle, grâce à Ses exploits et Ses paroles, j'ai surmonté mes difficultés, et je me suis rapproché du chemin que je voulais emprunter.
Quand mes parents ont vu ma ferveur, ils ont cessé de réfléchir au mariage qui me serait profitable pour songer à ma carrière au sein de la Chantrie. Je ne demandais rien d'autre. Je me rêvais déjà templier, mais Père m'a annoncé qu'il pensait m'obtenir une place parmi le très vénérable Ordre des Chercheurs de la Vérité. Hm, à cet âge-là, je ne faisais pas la différence ; je savais seulement que les Chercheurs étaient sélectifs, prestigieux, et appelés à servir au plus près de la foi. Qu'on m'accorde une chance d'accéder à Montsimmard, à moi, le cadet qui n'impressionnait personne, a surpris beaucoup de monde. Je ne voulais pas la gâcher. J'ai redoublé d'efforts à l'épée et à la prière afin de prouver à tous que, quelles que soient mes lacunes, je méritais cette porte qui s'ouvrait pour moi.
Mais bien sûr - hm hm, comme à chaque fois - les événements n'ont pas pu s'enchaîner sans accroc. Les discussions pour mon intégration ont perduré, ont piétiné, se sont enlisées. De nombreux Chercheurs avaient quitté la forteresse à cause de la Marche Exaltée, les effectifs restants ne pouvaient s'occuper que d'un nombre limité d'Initiés. Et bien sûr... bien sûr, il y avait toujours des candidats plus prometteurs.
J'ai prié, tous les soirs dans mon lit, pour qu'enfin l'autorisation nous parvienne. Je me suis entraîné, tous les jours sur le terrain, pour que mes parents constatent que ma détermination restait pleine. J'ai patienté pendant des années, jusqu'à ce que nous recevions l'approbation officielle.
Ç'a été comme une victoire. Parce que j'avais la preuve que j'attendais, hm ? J'avais un potentiel. On me le reconnaissait, on était prêt à engager son temps et son énergie pour l'exploiter. Lorsqu'elle a su, la fierté de ma mère a rayonné plus fort que le soleil.
Nous n'avions pas arrêté nos lectures du soir, mais c'était moi qui lui proposais de réciter pendant qu'elle se reposait. Hm hm. Les paroles la soulageaient quand les fatigues la prenaient. Et elle était fatiguée, souvent, de plus en plus alors qu'elle devait tous nous élever. Mais bien sûr... comme à chaque fois, tout ne pouvait pas se dérouler comme prévu. Quelque temps avant mon départ, la plus âgée de mes cadettes a dévoilé des pouvoirs magiques.
J'ai eu... hm, j'ai eu du mal à réaliser. Les templiers l'ont emportée pour le Cercle, mais nos adieux n'ont pas dit tout ce que j'aurais souhaité qu'ils disent. C'était ma sœur cadette, c'était une mage, et j'avais passé des années à la malmener dans l'espoir d'attirer l'affection de Sibeal. Certains m'ont dit qu'elle l'avait mérité, ou que sa souillure la rendait indigne de mes regrets. Certains m'ont dit de ne pas m'en faire, que la séparation engourdirait la rancœur et que le temps ferait son œuvre. Moi, moi je n'oublie pas qu'avant de la voir s'éloigner, je n'ai pas su lui dire de faire attention à elle.
De 5:03 à 5:10 Orlaïs est un pays très différent des Marches Libres. L'adaptation, à mon arrivée à Montsimmard, a été... hm, difficile. Même les quatrième ou cinquième cadets qui avaient été acceptés avec moi chez les Initiés présentaient un nom plus illustre que le mien. Ma noblesse sonnait creux pour ces descendants de princes et de rois. Mais nous restions unis dans notre foi.
Ce que je faisais à Montsimmard, je ne peux pas vous en parler dans le détail. Je peux vous dire que j'ai été très bien accueilli. Malgré le scepticisme, on m'a laissé débuter avec les mêmes armes que les autres. Je peux vous dire aussi que si certains me dénigraient parce que ma naissance n'était pas assez haute, ou mes exploits pas assez grands, aucun ne m'a tourmenté. J'étais loin de Sibeal et ses crises, jusqu’à ce qu’elle soit envoyée dans son couvent. Mais à Montsimmard, elle ne pouvait pas m'atteindre.
Je peux vous dire que je me suis fait des amis, et qu'avec eux, j'ai découvert l'essence de la vie à l'orlésienne. Ce sont faste et masques à perte de vue. L'opulence de leurs manières est vertigineuse, elle précipite dans son abîme tous ceux qui y plongent le pied. Mais je gardais en tête ma mission, hm hm, oui, je faisais de mon mieux pour ne pas me laisser distraire.
...
Hm. D'accord. Je me suis laissé distraire.
Un de mes amis avait réussi à nous faire inviter à une réception organisée par d'importantes familles de Montsimmard. J'y suis allé comme à toutes les autres, avec le masque que je venais d'acquérir, mon titre de Chercheur et ma curiosité pour le Noble Jeu, pour ses signes que j'essayais de repérer sans devoir m'y mêler. Je pensais que ça resterait comme ça toute la soirée. Et puis... et puis, je l'ai rencontrée, elle.
Elle était l'une des filles d'un comte de la ville. Pas le plus notable, pas le moins puissant. Elle m'a approché la première. Je me souviens de son masque de paon, les plumes frémissantes, et de son rire perlé. Elle était intriguée par mon accent, mon allure déplacée - et le loup que j'avais sur le nez était des plus amusants, hm, parce qu'il détonnait dans les couleurs de la soirée. L'audace l'a étonnée. Elle ne pouvait pas me laisser aller sans me demander d'où je venais.
Et nous avons discuté. Hm… nous avons beaucoup discuté. Dansé, aussi. Elle aimait mon accent.
Nous nous sommes recroisés, quand nos obligations nous le permettaient. De plus en plus souvent, jusqu’à faire tomber nos masques. Elle avait des rayons de soleil comme cheveux et deux morceaux de ciel dans les yeux. Je me disais qu’Andrasté devait lui avoir ressemblé.
Et puis… comme à chaque fois, ça ne s’est pas déroulé comme prévu. J’ai reçu un jour une lettre à la forteresse, anonyme, mais je l'ai reconnue : elle était de sa main. Elle me disait qu’elle allait être mariée. Qu’elle ne pouvait pas l’empêcher. Que, pour ma sécurité, pour sa réputation, nous ferions mieux de ne plus nous retrouver.
Hm. Nous ne nous sommes plus retrouvés.  
5:10 C’était sans doute une mauvaise idée, alors, d’avoir voulu participer à ce duel. Est-ce que je cherchais à me prouver quelque chose ? À ne plus y penser ? À, hm, à récupérer une affection que j’avais perdue ailleurs ? L’événement n’était même pas censé me concerner, pour commencer. Mais la guerrière de Sibeal a eu un accident, et Sibeal n'avait plus de personne de confiance vers qui se tourner. Pas d'assez proche pour vouloir risquer son honneur en son nom, en tous cas.
J'y ai réfléchi longtemps. L'affaire était pénible, noueuse, scandaleuse. Sibeal s'en était pris à quelqu'un, même si cet homme lui avait fait offense : c'était mal. C'était bien digne d'elle, aussi. Une part de moi, une voix vengeresse dans ma tête m'a soufflé d'ignorer ses appels, pour qu'elle découvre à son tour ce que ça signifiait, de ne pas pouvoir. L'impuissance. Après avoir eu vent de mon hésitation, mes instructeurs m'ont vivement recommandé de ne pas prendre part à cette querelle. Hm. Ce n'est pas ton rôle, Faolan.
Mais, vous savez ? C'est ma sœur. Ma grande sœur qui avait besoin de moi.
C'était sans doute une mauvaise idée, et je n'étais toujours pas sûr quand je me suis avancé devant le combattant adverse. C'était une mauvaise idée parce que la foule était plus nombreuse que je croyais. C'était une mauvaise idée parce que des Chercheurs se tenaient là aussi, et parce que l'Oeil sur mon plastron attirait tous les regards. C'était une mauvaise idée, parce qu'au moment d'attraper mon épée, ma main tremblait sous le poids des souffles retenus.
Et quand j'ai dégainé...
Dong !

De 5:10 à 5:13 J'ai repris connaissance plus tard. Hm. Bien plus tard. Le coup a cogné dans mon casque avec la force d'une massue, même si c'était une lame de berruier. Le choc a été rude, mais pas autant que le retour à la réalité. J'aurais mille fois préféré me faire assommer à nouveau, plutôt que de subir l'avalanche de reproches qui m'attendait...
Sibeal n'était pas ravie. C'est, c'est le moins qu'on puisse dire, hm. Mais ce n'était pas la seule, et finalement, ce n'était pas la pire non plus. Mes supérieurs à la forteresse des Chercheurs n'ont pas apprécié que je contrevienne à leurs conseils. On ne m'avait pas explicitement interdit de m'impliquer, mais mon entêtement aurait été plus tolérable, peut-être même respectable, si j'avais remporté le combat. Au lieu de cela, j'ai démontré l'étendue de mon incompétence. J'ai couvert l'Ordre de ridicule. J'ai été la risée du public venu assister à l'événement, des accusateurs de ma sœur, j'ai fait honte au nom de ma famille et à ceux qui croyaient en moi. Je pensais que j'avais ce qu'il fallait... Rien ne se passe comme prévu. Et je devrais avoir l'habitude, hm, mais on dirait que j'oublie à chaque fois.
Ce n'est rien. Je m'en suis remis. J'ai baissé la tête et j'ai accepté les réprimandes. C'était mérité.
Après tout ça... après tout ça, hm hm, je pensais que les Chercheurs m'expulseraient de leurs rangs pour de bon. C'était la conséquence logique. Durant mes leçons, j'avais compensé mes lacunes par mon assiduité, mais l'incident a révélé qu'elle aussi touchait ses limites. Sans loyauté, sans talent, la poursuite de mon apprentissage était une perte d'énergie et de temps, pour tout le monde.
Je me suis résigné à devoir rentrer avec Sibeal... Mais, vous savez. Les choses ne se passent jamais comme prévu. Le Créateur m'a arrêté dans ma lente descente.
Enfin, hm, une de Ses servantes l'a fait. Messerah Vaël. Elle a décidé de reprendre ma formation, malgré les avertissements de mes instructeurs. J'ai l'habitude de décevoir, j'ai l'habitude de ne pas être à la hauteur ; je me relève et recommence, mais je ne pensais pas qu'on s'acharnerait avec moi. Je, je ne veux plus désobéir, quoi qu'il arrive, plus encore maintenant que j'ai basculé sous ma dernière poussée de confiance. Alors, quand une Exaltée a vu en moi un vestige d'intérêt, et décidé de s'assurer que mon gâchis n'en demeure pas un, je ne me suis pas permis de remettre en cause son jugement. J'obtempère à ses ordres. Et je la suis même jusqu'aux remparts de Starkhaven.
Je me demande... hm, je me demande quel destin nous attend dans la cité de notre naissance, ô Créateur ?

Anecdotes

J'ai gardé les cheveux longs. Quand j'étais enfant, une de nos nourrices s'essayait à les tresser, et le résultat m'a rendu assez curieux pour lui demander de m'apprendre. C'était pratique afin d'éviter qu'ils n'obstruent ma vision durant mes leçons d'épée, et puis ça me plaisait. Je les natte systématiquement, maintenant. Hm, ça fait partie de mon rituel du lever.
Je ne suis pas le plus grand de la fratrie (1m70). Je n'étais pas le plus grand de mes camarades, à Montsimmard. Mais je dois courber la nuque pour regarder messer Farwell lorsqu'il m'appelle. J'ai l'impression qu'avoir une hauteur d'épaules supérieure au nombre de mes années est, à ses yeux, une marque d'insolence permanente.
Un jour, j'ai trouvé un hérisson mort dans nos jardins. Il était étendu sous un buisson, et dans un état si parfait qu'il aurait pu seulement dormir. Pour une raison ou une autre, aucun prédateur n'est venu le récupérer, alors j'ai, hm, j'y suis revenu souvent, en me demandant s'il avait disparu, cette fois. Il était toujours là, à se décomposer peu à peu. Ç'a duré des mois. Tous les jours je trouvais un moment pour y retourner, et j'observais les changements par rapport au jour d'avant. C'était fascinant. À la fin, il n'en est resté qu'un squelette et une peau pleine d'épines, jusqu'à ce qu'une épaisse touffe d'herbes les inhume pour de bon.
J'aime beaucoup les os. Hm hm, la plupart de ceux à qui je l'annonce se mettent à me lancer des regards dégoûtés. Ils en découvrent au fond de leur assiette à chaque repas, je ne comprends pas ce qu'ils y trouvent de répugnant. Quand nous sortions dans les jardins, pendant les chasses ou même lors des promenades en ville, je scrutais le sol, à l'affût de petits os que je pourrais ramasser. J'allais rejoindre la cheffe cuisinière du manoir pendant qu'elle s'occupait de dépecer les proies, parce que je savais qu'elle me laisserait emporter ce qui ne se consommait pas. Hm, Sibeal était là aussi, parfois. La cuisinière nous a montré comment équarrir les petites carcasses, ôter les plumes et les os sans les abîmer, les nettoyer proprement. Sibeal avait l'air, elle avait l'air plus fasciné par la manière de tordre et défigurer la chair, hm hm, que par ce qui ne pouvait pas saigner. J'ai retenu quelques façons de ces leçons. Mais je ne m'en sers que pour laver les restes que je récupère.
On m'a déjà dit que j'étais déroutant. Lent d'esprit. Je rends les gens perplexes. Hm, ils ne savent pas très bien comment jauger mes sentiments. Ils me trouvent inexpressif, ou stoïque, ou insensible. Quand je plaisante ils me réservent des airs sérieux, quand je suis sérieux ils s'esclaffent comme si je venais de lancer une plaisanterie. Je ne sais pas ce qu'ils croient. Je vis comme eux.
J'adore les insectes. Il en existe tellement d'espèces, tellement variées, tellement colorées, tellement bizarres. Certaines volent et certaines rampent. Certaines inspirent l'émerveillement et d'autres l’écœurement. Leur monde est si différent du nôtre, et en même temps si similaire : comme une reproduction à échelle réduite de nos villes grouillantes, avec toutes leurs minuscules vies effrénées. Les petites créatures ont-elles conscience de la fragilité de leur existence, sous le couvert de buissons qui leur paraissent des forêts, dans l'ombre de rochers qui cachent leur horizon comme des montagnes ? Hm... cette sensation d'omniscience qu'on peut avoir en contemplant l'étendue d'un paysage que des fourmis traversent sans voir, est-ce ce que le Créateur ressent, lorsque Son regard se porte sur nous ?
J'adore les insectes, et j'en ai dans ma collection. J'ai des doryphores, des araignées, des papillons sous verre. On m'en a offerts quand j'étais petit, mais j'ai dû laisser la plus grande partie à Cairnayr au moment de préparer mon voyage en Orlaïs. Hm, mais j'ai recommencé de collecter après m'être installé. Les papillons orlésiens sont moins extravagants qu'on l'imagine.
Sibeal a été déçue de ne pas réussir à me faire peur en glissant des araignées dans mes affaires. Ça ne me dérangeait pas de les prendre dans mes mains et j'en avais adopté quelques-unes, rescapées des plumeaux de nos domestiques. L'été venu, je leur ramenais les moustiques qui venaient agacer notre sommeil. Je les plaçais dans leurs filets et j'attendais de découvrir comment elles allaient s'y prendre pour les manger.
Sibeal a compris, hm. Elle leur a mis la main dessus, et leur a arraché les pattes devant moi.
Elle trouve toujours le moyen d'obtenir ce qu'elle veut.
Mais c'est ma sœur. Hm hm.

Questions

Le monde de Thédas est vaste et, pourtant, voilà que vous vous trouvez actuellement à Starkhaven. Comment êtes-vous arrivé ici et pourquoi y restez-vous ?
Quand la Divine a sommé messer le Chercheur-sénior Farwell de mener une investigation à Starkhaven, il a emmené messerah Vaël avec lui. Quand messerah Vaël a été sommée de suivre messer Farwell pour son investigation, elle m'a emmené avec elle. Hm, et donc je me retrouve devant vous. Hm ? Si c'est tout ? Non, évidemment : de lourds enjeux politiques s'équilibrent rien qu'avec la composition de notre délégation. On ne m'a pas confié leur poids complet, mais je ne vais pas les ignorer. Le nom de messerah Vaël a pesé sur la balance, tout comme le mien, dans une certaine mesure : nos origines servent notre but, et je suis sous sa tutelle. Si elle avance, je suis en conséquence.

Les décombres d'Antiva gisent entre la Souillure et la cendre ; les rues ne désemplissent pas de tous ces éclats de voix. Que les malheurs se pressent contre les murailles de Starkhaven ou qu'elle s’empêtre dans ses propres querelles, la pierre ne cesse de trembler. Où étiez-vous quand l'archidémon a survolé la moitié du continent et comment faites-vous face aux conséquences - pensez-vous que la Cité des Princes tiendra si l'Enclin se présentait ?
C'était un spectacle... un spectacle affligeant. Je ne pensais pas être témoin d'un Enclin de mon vivant... L'attaque de la Corneille, l'apparition de l'archidémon - sont-ce les preuves que nous cherchions, la punition du Créateur envers une Starkhaven qui a oublié sa foi ? J'ai essayé... hm, de garder mon sang-froid. Mais après que l'ombre du dragon soit passée, quand j'ai pu retrouver mes quartiers, j'ai appelé Sa lumière. Nous ne sommes pas condamnés... pas encore, n'est-ce pas ? Tant que nous agissons, nous avons notre chance. Il faut cerner le mal qui assiège cette ville, et raviver sa flamme avant que ne s'abatte l'engeance.

À Starkhaven, l'union fait souvent la force, mais l'on trouve parfois préférable de faire cavalier seul ou cavalière seule. Quelle est votre place parmi les différentes organisations et factions de la cité et pourquoi avez-vous fait ce choix ?
Je suis un Chercheur de la Vérité. Seulement Initié, diraient certains, mais l'adjectif n'y change rien : je fais partie des plus dévoués servants de la Chantrie. De l'élite de sa justice. Mon Œil voit tout au même titre que mes aînés, hm, ou peu s'en faudra, jusqu'à ce que j'aie passé ma Veillée. Je n'appartiens pas aux engrenages de cette ville, je veux les désosser. Ma vocation m'a choisi et je ne ploie pas devant plus haut serment... Hm, mais tu n'es encore qu'apprenti, Faolan. Arrêtez d'insister là-dessus, d'accord ?

Même accompagné de vos proches, de vos collègues, de votre animal de route, vous vous retrouvez seul ou seule à vous demander de quoi demain va bien pouvoir être fait. Quel est votre objectif le plus concret et direct à suivre ?
Hm… Dans un premier temps, suivre les ordres. Si je dois être le dernier des Chercheurs debout à Starkhaven, il en va de mon devoir de poursuivre l'enquête qui étayera l'innocence ou la culpabilité de la cité, et ouvrira la voie à sa rédemption. Autrement... Si l'Enclin ravageait Thédas jusqu'au Trône du Soleil... J'essaierais de rejoindre ma famille. Ma lame est dévote, mais Andrasté ne voudrait-Elle pas que je protège les miens, comme Elle-même l'a fait, face à l'effondrement du monde ?

Personnage

Pronom du personnage Il. Thèmes Tous, tant qu'il y a concertation préalable.Mort du personnage ? Vous oseriez aider Sibeal à finir le travail ? Vous oseriez ? Bibi (oui)

Joueur

Pseudo Lyr'se Aquilae. Avez-vous plus de 16 ans ? Comme Fao, je ne sors plus du berceau Faolan | Do the gods this ardour into our minds infuse... 1f425Faolan | Do the gods this ardour into our minds infuse... 1f52a Comment avez-vous trouvé le forum ? Toujours par la chaîne des partenariats. Fuseau horaire Paris. Mot de la fin J'avoue, j'ai peut-être un faible pour les gars aux cheveux longs et les ordres mystérieux un peu classes.

Andrasté
Andrasté
Prophétesse du Créateur
Prophétesse du Créateur
Andrasté
Personnage
Illustration : Faolan | Do the gods this ardour into our minds infuse... 00271e5d6ef73524ca7af225b44553f426543b3d

Pronom.s personnage : Elle
Occupation : Je rappelle au Créateur le malheur des hommes qu'il a pourtant promis d'aimer...
Localisation : Aux côtés du Créateur.
Pseudo : Compte administrateur
Pronom.s joueur.euse : Elle
Crédits : Adamant (avatar).
Date d'inscription : 22/09/2020
Messages : 3043
Feuille
Joueur

 

   

Validation

Maintenant, les ennuis commencent !

Crédits : Mâo, Faction Chantrie.

Que quelqu'un fasse quelque chose pour ce petit Chercheur (un peu creepy sur les bords...), un câlin, de l'amour, ou le secouer pour qu'il se réveille un peu Bibi C'est un plaisir que d'accueillir ce Chercheur-initié et bien hâte de voir ses aventures se dérouler dans la ville de son enfance, et gérer entre devoir et famille... à moins que les deux se concilient ? Hey


La herse se lève, les portes s'ouvrent : Starkhaven s'offre à toi dans toute sa splendeur et dans tous ses mystères !
Que vas-tu faire dans la Cité des Princes ?


Chantrie

Bienvenue, Faolan Callaigh


Ta demande acceptée par les autorités de la ville, te voilà maintenant inscrit(e) dans ses registres et tu peux arpenter Starkhaven comme tu l'entends ! Toutes les zones de jeu te sont désormais ouvertes, et tes nouveaux partenaires n'attendent que toi.

Mais avant de te lancer dans l'aventure, nous te demandons quelques petites dernières démarches qui permettront de bien suivre tes pérégrinations. Tout d'abord, pense à recenser ton personnage en remplissant le formulaire des bottins, pour qu'il puisse ainsi apparaître dans les statistiques. Tu constateras d'ailleurs que tu as obtenu tes 100 premières pièces d'or que tu peux dépenser comme bon te semble dans la boutique !
Pour permettre à ton personnage de s'intégrer sur le forum, parmi toute cette joyeuse petite bande, nous t'invitons tout d'abord à disposer de cette fiche de présentations comme tu le souhaites : elle devient désormais ta fiche de personnage, endroit idéal pour consigner tes liens, tes idées de liens ta chronologie, ton journal intime... ce que tu veux pour suivre ton évolution et la rendre accessible aux autres ! Pour des recherches plus précises, tu peux te tourner vers la demande de liens dans Relations ; et pour te lancer pleinement dans l'aventure, tu peux chercher des RPs dans Aventures. Tu peux également te tourner vers le décor pour trouver des situations MJ à intégrer, selon ton désir, dans ton jeu.

Tu peux discuter avec les membres de la Faction Chantrie ici et te tenir au courant de l'avancée de son influence dans la Cité-État de Starkhaven ! Jette un œil à ses projets pour trouver des petits défis à relever  Et tu trouverais également dans le tableau du cantor toutes les informations sur les organisations, ainsi que des forums dédiés si tu fais parties d'une ou plusieurs.

Pour le côté plus festif mais totalement accessoire : une zone flood n'attend que tes envies de détente et d'animations.

Enfin, plusieurs formalités importantes qui te suivront pendant toute ton aventure parmi nous.
À compter du 20 de chaque mois, et jusqu'au dernier jour de celui-ci, un recensement mensuel sera organisé pour savoir si tu souhaites rester parmi nous ; si tu a posté ton absence, tu n'as aucune inquiétude à avoir, tu seras pris en compte.
Enfin, lorsque tu ouvriras un sujet, pense bien à le recenser dans la chronologie du forum ; fais-le également à sa clôture.

Après toutes ces explications, tu te sens toujours un peu perdu.e ? Pas de panique ! Tu peux à tout moment demander de l'aide dans la zone de parrainage.

Après toutes ces petites informations, Ainsi tomba Thédas te souhaite un très beau moment de jeu. N'hésite pas à contacter Andrasté si tu as la moindre question !



Glorieux Créateur, comment Tes enfants peuvent-ils être pardonnés ? Trébuchant dans l’ignorance, nous avons oublié que seule une Lumière brisera les Ténèbres.
Parle à Tes enfants, enseigne-nous Ta splendeur. Ce qui a été oublié n’est pas encore perdu.

Faolan | Do the gods this ardour into our minds infuse...