3 Primeneige 4:82 des Ténèbres La petite Catula, aux cheveux déjà bien bouclés, voit le jour à Qarinus, l’une des plus grandes villes de l’Impérium de Tévinter, dans les bras de Crispus, son père, et de Caia, sa mère. Décidément, la plus gueularde de ses trois frères aînés, Crispin, Ignatius et Eliseo. Famille dès lors tout à fait aimante, du moins, de ce qu’elle se rappelle de son enfance. C’est encore à l’Impérium qu’elle écoute ce mot, « Antiva ». Catula, yeux brillants, le répète et le chantonne. Ces syllabes poétiques, dont la phonétique lui plaisent tant - et que son père lui promet de faire visiter un jour, voir, vivre. Car apparemment, ils ont « la chance de pouvoir partir de Tévinter pour Hasmal. » À cet âge, elle ne comprend pas tout à fait ce que cela veut dire, pas encore. 4:93 Finalement libres, la famille de Catula vit tranquillement à Hercinia, dans les Marches Libres. C’est là que Catula y apprend le commun, et s’imprègne de cette nouvelle culture avec l’ouverture d’esprit d’un jeune enfant. Elle rêve encore de cette terre promise, Antiva - (mais au moins, ici, il y a de la mer quand même, s’dit-elle).   4:98 Une fois quelques années  écoulées hors de l’Impérium, le père de famille se confie finalement au reste de la famille. Leur chance n’est pas tellement ‘juste’ de la chance. Mais plutôt un arrangement avec la famille Nepos qui leur a donné leur liberté, hors des contrées tévintides. Ce mot, tellement susurré par son père, « liberté »… un mot qui finit par rimer avec “gros ennuis”, lorsque, lors de ses maigres dix-sept ans, Catula voit les membres de sa famille tomber l’un après l’autre, Crispus le premier. Prise d’une révolte imprononçable, fuir devient impensable. Se cacher? Encore moins. Goûtant aux premiers élans d’un sentiment qu’elle connaîtra bien, c’est en nom de la Vengeance qu’elle décide de traquer ces fourbes tueurs, ne serait-ce que pour périr en l'honneur des siens. Mais tout change lorsque l’assassin qu’elle traque, impressionné par son agilité et son hardiesse, lui propose une toute autre histoire : lui épargner sa vie et encore, lui apprendre « l’art d’offrir la mort. » Car, lui signifie-t-il, ce n’est pas la dague qui vise, mais bien la bourse derrière, qui ordonne et qui exige.
Auprès des Corbeaux d’Antiva, elle apprend, à contrecœur, tout ce dont elle a toujours rêvé un jour. D’abord, elle apprend à prononcer ‘Antiva’ correctement. Et ensuite, elle tombe amoureuse de cette culture, d’où tout son style de vie de jeune adulte sera par la suite issu et dont elle adoptera maintes expressions, habitudes, croyances. Sans jamais oublier que sa famille n’est plus, et que quelqu’un, quelque part, s’en est pris à son sang. Et qu’elle en viendra à bout.  4:99 C’est ainsi que, bercée par les vents de la Baie de Rialto, naît Canisa ; celle qui menace lorsque les cartes de tarot qu’on lui tire ne lui plaisent pas, celle qui mord lorsqu’on tente de lui siffler sa bière, ou qu’on lui touche là où il ne faut pas. Se faire une petite réputation lui vient facilement - trop facilement - et c’est dès cette première année à Antiva qu’elle entend pour la toute première fois ce qui deviendra son titre : « la Perra». 5:05 Des années passent après le meurtre qui a bousculé sa vie, et cette plaie et ravivée lorsqu’elle entend à nouveau ce nom… Nepos. À ce qu’il paraît, un certain Ambassadeur Nepos est nommé, dans la cité des Marches Libres, Starkhaven. On dit que cette cité pue, qu’on y a même pas de mer, et qu’on y voit rarement l’horizon. Qu’elle regorge encore plus d’elfes de Bascloître, que les tensions raciales y sont bien vives. Mais Canisa ne se pose pas trop de questions, et c’est avec cette information en tête qu’elle demande aux Corbeaux de quitter sa douce Antiva pour rejoindre la famille mineure Stazzo, et venir à bout de sa mission personnelle. 5:07 Début de la Guerre des Rats, et la Maison Stazzo des Corbeaux de SH est absolument écrasée. Perdant leur repère, leur maître de guilde et bon nombre de membres, Canisa parvient à survivre et même à sauver quelques compagnons, ainsi que  de récupérer la fameuse dague de cérémonie de la dernière maison encore en place dans cette ville. C’est vers le Carta et Brasir qu’elle doit se tourner pour négocier un nouveau refuge pour les Corbeaux; chose pas facile à gérer, surtout lorsqu’il les traite comme des moins-que-rien. Qu’importe, au moins, elle reste en vie. 5:12 Toutes ces années sont passées à se faire discrète. Plus récemment, elle réclame aux Corbeaux des renforts, et on la nomme Maître de Guilde, malgré elle. Comment le prendra Brasir?

Pour une elfe  qu’on qualifie de chienne et qu’on veut forcément cataloguer de « pouilleuse », elle a la classe, quoi! Ornée de piercings un peu d’partout, les petites dagues qui lui pèrcent les oreilles lui valent plusieurs commentaires. En tout cas, personne ne pourra lui reprocher d’être comme ces andouilles mal ficelées de havenois. Les Talons n’ont que faire de Starkhaven, et ils lèguent à Canisa un post qu’elle n’est pas sûre de mériter. Mériter? Si, si, elle le mérite, vu que c’est elle qui tente de reprendre en main la guilde. Mais est-ce le choix le plus sensé? Maintenant Grande-Maîtresse de la guilde des Corbeaux de la ville,  elle a du mal à comprendre si l’idée lui plaît ou pas. Surtout quand elle doit négocier avec cet abruti de nain de Brasir, plus têtu qu’un druffle des neiges. Quoiqu’il en soit, cela la rapproche de son but, et ce fait lui refroidit absolument tous ses autres doutes. Canisa peut être considérée comme superstitieuse - elle arbore encore une curiosité mordante pour l’astrologie, les étoiles et leurs alignements, et ce qu’elles promettent - un sujet qui la croise pour la première fois lors de son enfance à Tévinter. Son plus grand rêve d’elfette? Visiter les grands astrariums des magisters. Un songe impossible, mais dont elle rêvasse encore aujourd’hui, surtout lorsqu’elle a la chance de camper sous les étoiles. Si à Antiva elle apprend l’art du meurtre, ici à Starkhaven elle apprend surtout à comment rester discrète. Ce qui n’est pas tout le temps réussi, mais mine de rien, il y a du progrès. La Guerre des Rats anéantit son esprit flammable, et c’est surtout sa patience qui est testée. Sa couleur favorite est le vert. Oui, une de ses boucle d’oreille en forme de dague est ornée d’une vraie émeraude. Non, vous ne pouvez pas la toucher.   Adepte du chicha, cela fait partie de sa routine habituelle, surtout avant de se coucher.  Elle a une vilaine habitude de collectioner (voler) des cendriers en tout genre. Canisa se méfie des chats, c’est quoi leur secret d’être aussi chanceux, tout l’temps, à retomber sur leur quatre petites pattes? Elle est malheureusement allergique à leur poil et ça n’lui plaît pas.

Pronom du personnage Elle. Thèmes Je n'ai aucune restriction de thèmes.Mort du personnage ? Je ne le souhaite pas particulièrement, regardez-moi ces yeux tout doux d’biche,- vous serez capable de la tuer, vous!?  Objet des rumeurs Oh que oui! Je serais même DÉÇUE de ne pas en être!

Pseudo Pandemonium. Avez-vous plus de 16 ans ? Bien plus! Comment avez-vous trouvé le forum ? Mes autres fiches disent PRD (merci, moi du passé!). Fuseau horaire  +1 GMT Mot de la fin Bork bork.

3 Primeneige 4:82:  Naissance de Catula.
4:93 Marches-Libres.

Pour une elfe  qu’on qualifie de chienne et qu’on veut forcément cataloguer de « pouilleuse », elle a la classe, quoi! Ornée de piercings un peu d’partout, les petites dagues qui lui pèrcent les oreilles lui valent plusieurs commentaires. En tout cas, personne ne pourra lui reprocher d’être comme ces andouilles mal ficelées de havenois. Les Talons n’ont que faire de Starkhaven, et ils lèguent à Canisa un post qu’elle n’est pas sûre de mériter. Mériter? Si, si, elle le mérite, vu que c’est elle qui tente de reprendre en main la guilde. Mais est-ce le choix le plus sensé? Maintenant Grande-Maîtresse de la guilde des Corbeaux de la ville,  elle a du mal à comprendre si l’idée lui plaît ou pas. Surtout quand elle doit négocier avec cet abruti de nain de Brasir, plus têtu qu’un druffle des neiges. Quoiqu’il en soit, cela la rapproche de son but, et ce fait lui refroidit absolument tous ses autres doutes. Canisa peut être considérée comme superstitieuse - elle arbore encore une curiosité mordante pour l’astrologie, les étoiles et leurs alignements, et ce qu’elles promettent - un sujet qui la croise pour la première fois lors de son enfance à Tévinter. Son plus grand rêve d’elfette? Visiter les grands astrariums des magisters. Un songe impossible, mais dont elle rêvasse encore aujourd’hui, surtout lorsqu’elle a la chance de camper sous les étoiles. Si à Antiva elle apprend l’art du meurtre, ici à Starkhaven elle apprend surtout à comment rester discrète. Ce qui n’est pas tout le temps réussi, mais mine de rien, il y a du progrès. La Guerre des Rats anéantit son esprit flammable, et c’est surtout sa patience qui est testée. Sa couleur favorite est le vert. Oui, une de ses boucle d’oreille en forme de dague est ornée d’une vraie émeraude. Non, vous ne pouvez pas la toucher.   Adepte du chicha, cela fait partie de sa routine habituelle, surtout avant de se coucher.  Elle a une vilaine habitude de collectioner (voler) des cendriers en tout genre. Canisa se méfie des chats, c’est quoi leur secret d’être aussi chanceux, tout l’temps, à retomber sur leur quatre petites pattes? Elle est malheureusement allergique à leur poil et ça n’lui plaît pas.