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Eanna Irvine | « I shine only with the light you gave me »
Personnage
Illustration :
Peuple : Humain
Âge : 25 ans
Pronom.s personnage : Elle.
Origine : Noble domaine minier des Irvine, à l'ouest de Starkhaven. Sa mère provenait de Wycome.
Occupation : Assiste aux tâches d'intendance du Couvent des Murmures. Elle gère des stocks et tient des comptes.
Localisation : Principalement au Couvent ou dans son domaine. Elle sort peu, bien que les récents événements la poussent plus volontiers face au monde. L'évolution nécessite une adaptation.
Pseudo : Lyr'se Aquilae
Pronom.s joueur.euse : Il de préférence. Iel.
Crédits : Head painting practice par LiXin Yin | Inconnu par Annie Stegg Gerard
Date d'inscription : 16/07/2024
Messages : 13
Autres personnages : Karl, Faolan
Attributs : CC : 9.
CT : 9.
End : 12.
For : 9.
Perc : 19.
Ag : 13.
Vol : 17.
Ch : 15.
Classe : Civile, niveau 2
Feuille
Joueur
Mar 16 Juil - 12:45
Eanna Irvine
Eanna Irvine
Héritière des Irvine « Belle de Starkhaven »
Personnage
Illustration :
Peuple : Humain
Âge : 25 ans
Pronom.s personnage : Elle.
Origine : Noble domaine minier des Irvine, à l'ouest de Starkhaven. Sa mère provenait de Wycome.
Occupation : Assiste aux tâches d'intendance du Couvent des Murmures. Elle gère des stocks et tient des comptes.
Localisation : Principalement au Couvent ou dans son domaine. Elle sort peu, bien que les récents événements la poussent plus volontiers face au monde. L'évolution nécessite une adaptation.
Pseudo : Lyr'se Aquilae
Pronom.s joueur.euse : Il de préférence. Iel.
Crédits : Head painting practice par LiXin Yin | Inconnu par Annie Stegg Gerard
Date d'inscription : 16/07/2024
Messages : 13
Autres personnages : Karl, Faolan
Attributs : CC : 9.
CT : 9.
End : 12.
For : 9.
Perc : 19.
Ag : 13.
Vol : 17.
Ch : 15.
Classe : Civile, niveau 2
Feuille
Joueur
Mar 16 Juil - 12:45
Mort en couches, dépression, automutilation, tentative de suicideChronologieLe temps fuit pour ne pas se retourner.
L'aube, langée dans la promesse du renouveau, rayonne au firmament Éclipsant de sa lumière le bassin de la Lune, et son berceau de sang...
22 Longnuage, 4:88 des Ténèbres
« Mon premier souffle se prit au prix du dernier de ma mère. Nous aurions pu y voir le symbole du malheur à venir, pourtant les gens ne se concentrèrent que sur le nourrisson qui, lui, s'était hissé à la vie. Ma tête ronde se coiffait à peine d'épis qu'on s'ébahissait déjà devant son or, devant mes yeux lumineux, mon air éveillé ; l'on prétendait que la tragédie qui m'avait enfantée, prise de remords, reposa sur mes traits la beauté qu'elle venait de voler. Ainsi, le bruit courut avant que mon nom ne l'atteigne : j'allais être la Belle de Starkhaven. »
La mère d'Eanna, réputée aussi magnifique que magnanime, succomba à son accouchement. La nouvelle-née fut confiée en hâte à la première nourrice disponible parmi la suite des Irvine, sous les contractions de mâchoire pénibles et contrariées du chef de la maison. Il ne fallait pas n'importe qui pour manipuler l'ultime chair de sa chair, aussi Ardal s'empressa-t-il de remercier la bonne sitôt que ses services ne furent plus nécessaires. Eanna, dès lors qu'elle put se passer de lait et de changes, vécut sous le chaperonnage d'une aïeule, sœur chantriste, qui régirait le déroulé de son existence pour de longues années à venir.
4:93 - 4:99
« Les visages qui peuplaient mon paysage souriaient tous, soumis à cette vision improbable, presque miraculeuse, d'une réincarnation : je ressemblais tant à ma mère ! Cette admiration dont je faisais l'objet, mon esprit d'enfant finit par la considérer ordinaire. Cependant, je demeurais incapable de peser la comparaison, faute de glisser dans la balance l'avis de celle qu'elle ravalait, fragment par fragment, compliment sur compliment, à l'esquisse génitrice d'une création mieux définie. Ma mère n'était plus ma mère, mais le modèle et l'avenir, la voie qu'il faudrait choisir et l'essence de tout ce que j'allais devenir. Elle était un objectif, une porte d'entrée autant qu'un verrou ; jamais ne me vint à l'idée que ces bras et cette mine pâles que je voyais sur les portraits auraient dû m'enlacer, non me façonner. Je voulais être à la hauteur de ce que d'autres projetaient sur elle, et sur moi ; quand me suis-je arrêtée pour songer qu'à l'incarner, je me priverais de son souvenir ? »
Eanna émergea, grandit, évolua derrière l'impavide protection des murs du domaine Irvine. Elle ne connut du monde que ses couloirs feutrés, ses enfilades de pièces et ses chambres désertées, tant et plus de vide résonnant des éclats de voix qui tonnaient par à-coups, comme l'orage, lorsque tempêtaient sa sœur et leur père. À l'inverse d’Éléonore, la benjamine se révéla toute de douceur et de joie tranquille, d'une exemplarité impeccable pour la fille d'un militaire et d'une docilité apte à soulager ceux qui considéraient son aînée d'un œil sévère. Les germes de sa beauté se développaient sans décevoir, et l'image de sa mère revenait invariablement se superposer à la sienne dans le regard de ceux qui l'apercevaient. Moreen était célébrée pour sa vertu jusque dans la mort, si bien que celle qu'on décrétait sa fidèle héritière se fit un devoir de l'égaler plus encore : chaque sourire devait être plus agréable, chaque geste plus élégant, chaque amabilité plus affable. Ses apparitions publiques, rares, ne pouvaient être autres que remarquables et certainement rien en-dessous de ce dont Moreen Irvine était capable.
Cela s'appliquait également aux matières de l'esprit, en lesquelles Eanna s'avéra tout aussi douée : les quelques précepteurs triés sur le volet qu'Ardal accepta de la laisser fréquenter ne tarissaient pas d'éloges sur son intelligence vive, curieuse et perméable à une vaste quantité d'informations. Lumière dans le drame qu'avait constitué la perte de sa mère, Eanna semblait toute disposée à endosser le rôle de dame qu'Ardal lui préparait, avec une précision confinant à l'intransigeance - lorsque ses efforts déplaisaient au père, elle le devançait d'une bonne longueur d'insatisfaction, et couvrait la distance vers la reconnaissance paternelle d'une glorieuse poussée de zèle ! Bercée par ses fantasmes d'enfant, elle laissait les adultes l'abreuver de promesses dont elle usait pour bâtir l'idylle parfaite qu'elle se voyait filer, une décennie plus tard, au bras d'un beau seigneur de la Cour et à la gestion de leur foyer. Elle s'enveloppa de la « Belle » autant qu'on l'y drapa, arbora complaisamment sa parure rassurante, un tissu de certitudes chassant par l'enchantement qu'elle assurait ce sourd malaise qu'Eanna sentait lentement grignoter les bords de son âme, sans qu'elle ne s'expliqua le phénomène autrement que par un manque outrageux de volonté, et de gratitude.
4:99 - 5:03
TW : Dépression, automutilation, tentative de suicide
« Je ne puis vous raconter ce qui me traversa l'esprit... je ne m'en souviens plus si clairement. Tout ce qui provenait de cette période s'est délité, comme plongé dans une solution caustique, et il ne m'en reste que des fragments diffus, fragiles, sans doute émoussés par quelque système de mon cerveau soucieux de me préserver. Ce que je puis dire, au risque que cela vous parût inconcevable, voire digne de folie - de fait, je n'oserais affirmer que mon acte fut conduit par la raison - c'est que... le sentiment qui me domina au moment pour ma main d'agir n'était ni la peine, ni la colère, ni la détresse ni même la douleur... seulement l'absence. Le vide, immobile, anesthésiant. »
Et pourtant, malgré tout son travail et à sa terrible incompréhension, le mal persista, incurable. Pire : il devint vorace, si intense que lorsque ses obligations la rendaient à l'étreinte, guère plus cajoleuse, des salons de son domaine, ses yeux gonflaient d'une pluie qui n'attendait qu'un instant de solitude pour s'abattre. Allons, que lui arrivait-il donc ? Où s'égarait-elle ? Nul doute qu'elle suivait la voie idéale, la route dégagée que son père sécurisait pour elle, à grand renfort de reproches stimulants, de saine rectitude et, brièvement, d'encouragements épars. Les quelques filles de la noblesse gratifiées du privilège de la côtoyer pépiaient avec ravissement, autour d'elle, sur le bonheur de son mariage profilé avec le fils princier ; son entourage comme ses précepteurs, jusqu'à l'impitoyable chaperonne chantriste, ne savaient plus par où la féliciter, son âge progressant ne faisait que confirmer toutes ses promesses de grâce et de sagesse. Les plus hardis troubadours de la Cour l'érigeaient en muse, déclamaient poèmes et chansons en son nom ! Alors, quoi donc ? Pourquoi cette tristesse insondable, indéchiffrable, revenait la hanter chaque nuit, tel un démon avide d'aspirer son âme ?
L'explication, peut-être, résidait-elle dans l'austérité de son mode de vie : cloîtrée en son manoir du lever au coucher, vouée à s'en libérer uniquement le jour où Tiarnan irait chercher sa main, Eanna s'étiola dans un milieu dont elle avait épuisé toutes les ressources. Soigneusement contrôlées, ses demandes de sorties se soumettaient au refus invariable de son père, ses distractions ne pouvaient s'extraire du cadre de la bienséance, et sa suite, réduite à peau de chagrin, n'était autorisée qu'à recracher les discours préconçus qu'on lui rabâchait depuis l'enfance. Ne restaient que ses livres, écornés d'avoir été trop relus, ses doigts abîmés par l'incessant louvoiement de l'aiguille, et les parcours de sa demeure si bien gravés dans son esprit qu'elle pouvait les arpenter yeux fermés. À l'instar d'une jument abandonnée dans une pâture rendue stérile par sa constante rumination, Eanna s'affamait. Bien que sa conscience refusât de l'écouter, charmée qu'elle était par les fééries de fillette dont elle entretenait le mirage, elle aspirait à plus, et son esprit carencé, comme son corps oppressé, finirent par se ronger eux-mêmes. Après tout, la pointe de l'aiguille n'était jamais loin, et le rouge altérait aussi bien la stase de son monde que la douleur chassait la monotonie, n'est-ce pas ? Qui lui en aurait voulu ?
Elle-même, en premier lieu, et peut-être bien sa sœur aussi.
Ce qui menaçait d'arriver pendant toutes ces années de répression, répondant aux lois de la nature, explosa bel et bien : le Prince Kendric Vaël se rétracta sur sa décision d'unir Tiarnan à la Belle de Starkhaven. Aussitôt s'effondrèrent les illusions d'Eanna, cette couverture de pieuses justifications qui rendait tout son calvaire supportable, et son père assena le coup de grâce d'une colère légendaire qui souffla à la pauvre éplorée les braises de la vérité : ce merveilleux mariage de conte de fées, loin d'avoir été organisé pour susciter la joie d'une petite fille éblouie, avait été manigancé avant même qu'elle n'intégrât l'existence. Déchirée dans ses croyances, dans sa confiance envers un Ardal et une Éléonore qui s'acharnaient à s'opposer, elle ne parvint plus à tolérer ses tourments alors qu'ils se déportaient sur la réalité. Une souffrance purulente lui jaillissait au visage sans discontinuer ; incapable d'endiguer son flux, Eanna opta pour la solution la plus efficace, et hélas la plus radicale, afin de mettre un terme au déferlement : s'y soustraire, immédiatement.
Éléonore retrouva son corps de poupée froissée étendu sur le sol de sa chambre, l'avant-bras baignant dans son propre sang ; ce ne fut que grâce à sa rapide intervention et à celle du médecin des Irvine, par chance toujours à proximité pour parer aux fragilités de l'adolescente, que cette dernière réchappa du gouffre. Plongée dans l'inconscience pendant d'effroyables heures qui laisseraient des cicatrices visibles sur son poignet et invisibles sur son esprit, elle fit l'expérience d'un néant glacé, dont elle ne toucha mot à qui que ce fût, pas même sa sœur ; mais ce néant s'infiltra en son cœur, fissurant à jamais sa vision de la foi. Pourquoi n'y avait-il rien eu aux portes de la mort ?
5:03 - 5:04
« Du moment où je franchis le portail, je sentis quelque chose d'incroyable s'opérer en moi. Je ne le qualifierais pas de magique ; ce serait noircir un sentiment aérien, libérateur, dont je n'étais pas tout à fait certaine de l'adéquation, mais qui sut, le premier, écarter les sombres ressassements qui empoisonnaient mes idées. C'était un sentiment étranger, cela oui, surnaturel, pourtant le temps m'apprit qu'il apportait la brise du changement. Un changement que j'appelais de tous mes vœux ; aussi, quand le claquement des sabots succéda à celui des grilles rabattues derrière nous, la réalité s'imposa enfin à mon esprit : je ne savais pas quel aspect mon prochain lever de soleil allait revêtir. Et j'eus un sourire. »
Le traumatisme n'épargna personne chez les Irvine. Sur un ultime acte de révolte, Éléonore s'en fut. Ardal, tisonné par sa fureur mais meurtri dans la débâcle de sa progéniture, se décida à montrer plus d'indulgence envers Eanna, laquelle se remettait lentement, trop lentement. Bien sûr, son geste de délivrance s'était soldé par un échec. Quoi qu'elle essayât, elle se réveillait toujours entre les murs immuables de son purgatoire.
Vidée de ses forces, tant mentales que physiques, par toutes les épreuves qui l'avaient accablée, la jeune fille resta alitée pendant de nombreux jours. Son médecin, à qui l'on fit jurer le secret, attesta d'un "sérieux épisode de fatigue" et l'astreignit à résidence - comme si elle avait jamais été libre de s'en éloigner. Son malheur, et dessous son désespoir, furent emmurés vivants derrière la pierre rêche de leur demeure, contraints de taire leur existence à nouveau. Pas un mot de l'histoire ne s'envola vers la Cour.
Par remords ou par empathie, à moins qu'il ne voulût accélérer le rétablissement de sa fille, Ardal s'ouvrit davantage à ses demandes et à ses doléances. Les premiers jours, il lui fit parvenir des ouvrages neufs, la laissa tenir des correspondances avec sa famille inquiète, fournit le matériel nécessaire à la rédaction de ses poèmes ; il s'autorisa même une entorse à ses propres règles pour l'accompagner, durant une heure trop brève, respirer l'air frais des étendues de leur domaine. En conséquence de ses lettres, sa famille maternelle réclama de lui rendre visite, chose rare - car celle-ci en profitait dès qu'elle le pouvait pour convaincre le gendre de leur laisser Eanna, que ses grands-parents avaient trop peu vue. Sans surprise, cette dernière visite ne fit pas exception, mais contre toute attente, Ardal ne put s'appuyer sur le manque d'enthousiasme récurrent de sa fille pour entériner son refus : en effet, dans un accès d'indépendance qui, bien qu'isolé, préfigurait la venue de chamboulements à ne plus négliger, l'adolescente insista pour effectuer le voyage. Pouvait-elle espérer découvrir un jour le foyer qui vit grandir la belle Moreen Irvine ? Peu réjoui par cette perspective, le père se contint pourtant face à la faiblesse de sa fille, dont il assumait malgré lui les séquelles. Tandis qu'elle tentait de le persuader qu'un air vivifiant et la fréquentation d'un domaine plus vivant favoriseraient sa guérison, il lui accorda cette permission miraculeuse.
Elle gagna la liberté pour six mois.
Andrasté
Andrasté
Prophétesse du Créateur
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Pronom.s personnage : Elle
Occupation : Je rappelle au Créateur le malheur des hommes qu'il a pourtant promis d'aimer...
Localisation : Aux côtés du Créateur.
Pseudo : Compte administrateur
Pronom.s joueur.euse : Elle
Crédits : Adamant (avatar).
Date d'inscription : 22/09/2020
Messages : 3541
Feuille
Joueur
Jeu 25 Juil - 21:51
Validation
Maintenant, les ennuis commencent !
Crédits : Mao, Faction Aristocratie
Mais quelle douceur ! Mais quelle fiche ! Je suis totalement sous le charme de cette princesse brisée que toute la cité va devoir apprendre à protéger en ces (même si la cité ne le sait pas encore ) : pleure: Toute cette mélancolie me va naturellement droit au cœur, et je suis ravie de livrer à Starkhaven cette Belle qu'elle mérite (ou non ). C'est une très belle réinterprétation, amuse-toi bien avec elle
La herse se lève, les portes s'ouvrent : Starkhaven s'offre à toi dans toute sa splendeur et dans tous ses mystères ! Que vas-tu faire dans la Cité des Princes ?
Aristocratie
Ta demande acceptée par les autorités de la ville, te voilà maintenant inscrit(e) dans ses registres et tu peux arpenter Starkhaven comme tu l'entends ! Toutes les zones de jeu te sont désormais ouvertes, et tes nouveaux partenaires n'attendent que toi.
Mais avant de te lancer dans l'aventure, nous te demandons quelques petites dernières démarches qui permettront de bien suivre tes pérégrinations. Tout d'abord, pense à recenser ton personnage en remplissant le formulaire des bottins, pour qu'il puisse ainsi apparaître dans les statistiques. Tu constateras d'ailleurs que tu as obtenu tes 100 premières pièces d'or que tu peux dépenser comme bon te semble dans la boutique !
Pour permettre à ton personnage de s'intégrer sur le forum, parmi toute cette joyeuse petite bande, nous t'invitons tout d'abord à disposer de cette fiche de présentations comme tu le souhaites : elle devient désormais ta fiche de personnage, endroit idéal pour consigner tes liens, tes idées de liens ta chronologie, ton journal intime... ce que tu veux pour suivre ton évolution et la rendre accessible aux autres ! Pour des recherches plus précises, tu peux te tourner vers la demande de liens dans Relations ; et pour te lancer pleinement dans l'aventure, tu peux chercher des RPs dans Aventures. Tu peux également te tourner vers le décor pour trouver des situations MJ à intégrer, selon ton désir, dans ton jeu.
Tu peux discuter avec les membres de la Faction Aristocratieici et te tenir au courant de l'avancée de son influence dans la Cité-État de Starkhaven ! Jette un œil à ses projets pour trouver des petits défis à relever Et tu trouverais également dans le tableau du cantor toutes les informations sur les organisations, ainsi que des forums dédiés si tu fais parties d'une ou plusieurs.
Pour le côté plus festif mais totalement accessoire : une zone flood n'attend que tes envies de détente et d'animations.
Enfin, plusieurs formalités importantes qui te suivront pendant toute ton aventure parmi nous. À compter du 20 de chaque mois, et jusqu'au dernier jour de celui-ci, un recensement mensuel sera organisé pour savoir si tu souhaites rester parmi nous ; si tu a posté ton absence, tu n'as aucune inquiétude à avoir, tu seras pris en compte. Enfin, lorsque tu ouvriras un sujet, pense bien à le recenser dans la chronologie du forum ; fais-le également à sa clôture.
Après toutes ces explications, tu te sens toujours un peu perdu.e ? Pas de panique ! Tu peux à tout moment demander de l'aide dans la zone de parrainage.
Après toutes ces petites informations, Ainsi tomba Thédas te souhaite un très beau moment de jeu. N'hésite pas à contacter Andrasté si tu as la moindre question !
Glorieux Créateur, comment Tes enfants peuvent-ils être pardonnés ? Trébuchant dans l’ignorance, nous avons oublié que seule une Lumière brisera les Ténèbres.
Parle à Tes enfants, enseigne-nous Ta splendeur. Ce qui a été oublié n’est pas encore perdu.
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Eanna Irvine | « I shine only with the light you gave me »