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Mélisandre O'Hara

Mélisandre O'Hara
Mélisandre O'Hara
Noble de Starkhaven
Noble de Starkhaven
Mélisandre O'Hara
Personnage
Peuple : Humain
Âge : 23 ans
Pronom.s personnage : elle
Origine : Noblesse havenoise
Localisation : Tous les bons quartiers de Starkhaven, parfois Clattercraft, occasionnellement ailleurs. Habite au Downnoc.
Pseudo : Trèfle
Pronom.s joueur.euse : elle
Crédits : Germaine II by Zhang Jing Na
Date d'inscription : 10/03/2023
Messages : 170
Attributs : CC : 10
CT : 9
End : 15
For : 8
Perc : 15
Ag : 13
Vol : 15
Ch : 15

Classe : Civil niveau 1
Feuille
Joueur

 

https://ainsi-tomba-thedas.forumactif.com/t1838-melisandre-o-har
Mélisandre O’Hara
Sometimes my lies impress the hell out of me.
Informations

Nom Mélisandre O’Hara (prononcé Mélissandre) – le nom de son mari est depuis longtemps le seul qu’elle défend, puisque c’est celui dont héritera sa fille. Celui de sa naissance, O’Bearáin, vit toutefois au travers de son frère. Âge 23 ans. Genre Femme. Peuple Humain. Nation d'origine Marches Libres – Starkhaven même. Il en est de même pour son mari. Occupation Pour elle ? N’est-il pas suffisant d’exister ? ... En réalité, elle épaule voire remplace son mari, (un de ceux) en charge du Clattercraft Religion ou croyance Andrastienne. État civil Mariée, avec enfant. Heureuse des deux faits. Langue(s) parlée(s) Commun, Orlésien, Antivan.Origine sociale Noblesse havenoise. Niveau de vie Toujours dans la noblesse havenoise, donc le niveau de vie qui suit. Ils ont même une charmante petite maison en bordure de Downnoc, pas très loin du reste de leurs familles.Équipement Plume, ceinture, aiguilles, antidotes de poison, somnifères, mouchoirs.

Germaine II by Zhang Jing Na
Civile
Aucune
Aristocratie
Chronologie

22 Voiréale 4:90 Après un long débat, le bébé est nommé Mélisandre O’Bearáin, en hommage aux origines orlésiennes de sa mère. Fille unique jusqu’à ses dix ans, elle est abreuvée de connaissances réelles comme sociales ; de quoi lui assurer un avenir sûr, quoi qu'il arrive par la suite.
4:95 (5 ans) Elle rencontre Gregoria et Gérard, deux enfants de bourgeois (qu’elle dit à ses parents sans vérifier s’ils ne sont pas simples artisans). Elle n’a pas beaucoup de temps pour jouer sans supervision, mais c’est suffisant pour rencontrer les enfants de la rue d’à côté, dont sa nouvelle meilleure amie et son frère, qui rêve déjà d’être templier (et a les plus beaux yeux du quartier). Ce seront les seuls, Mélisandre ne souhaitant pas s’attacher plus que nécessaire aux classes inférieures ; ce sont toutefois de beaux moments, qui l’accompagnent jusqu’à l’âge adulte.
5:00 (10 ans) La famille accueille une nouvelle naissance, et ce des jumeaux, malheureusement visiblement malades dès la première heure. Après des jours de prière, il ne reste que le garçon, Ennis. Mélisandre a beau l’adorer depuis le jour de sa naissance, elle ne voit en lui absolument rien de spécial ; seulement un petit frère d’excellente compagnie, drôle, intelligent, sortable mais pas de quoi écrire un livre avec toute la bonne volonté du monde. Ce qui est loin d’être une critique !
5:07 (17 ans) On lui présente Cian, son époux – il ne restera « fiancé » que les quelques mois nécessaires à l’organisation du mariage. C’est un bon mari, ou du moins un bon parti, trouvé par son père mais approuvé par la famille entière ; l’homme est agréable, pas trop vieux, et surtout efficace : au bout de quelques mois, Mélisandre est enceinte, et plus heureuse que jamais.
5:08 (18 ans) Naissance d'Aisling, l’enfant qui coûta une nuit de sommeil au quartier – qui eut cru qu’accoucher faisait si mal ? C’est néanmoins une joie sincère pour les domestiques et surtout les parents, ravis même si c’est une fille. Malheureusement, elle n’est suivie d’aucun frère – ni sœur, mais ça, qui est-ce que ça intéresse ? Et puis, ils ont bien le temps ! Ça n’empêche personne de lui imaginer un avenir radieux, aussi radieux que celui de Mélisandre.
5:09 (19 ans) Pour se remettre de la naissance, et parce qu’il faut laisser Cian - et ses sœurs - profiter du bébé et Mélisandre de sa liberté, la jeune mère part quelques semaines à Val Royeaux. Il y a là tellement plus de bals, tellement plus de rumeurs, tellement plus de fleurs ! Les amusements s’enchaînent, et elle n’a pas le temps de se sentir seule, entre les cousins éloignés et, surtout, les retrouvailles avec Sibeal. La noblesse garantit une entente malgré les années, et ce n’est pas comme si elle ne l’aimait pas ; elle avait oublié combien la Callaigh était impressionnante, et se réjouit des soirées qu’elles ont en commun. Hélas, l’amitié qu’elles renouaient est brisée quand le fiancé de Sibeal est pris la main sous le corsage d’une servante de Mélisandre. Prise de peur, peut-être pour la première fois de sa vie, elle renvoie immédiatement la délinquante avec force et fracas, mais le mal est fait. Elle revient aussitôt à Starkhaven, auprès de sa fille et de son mari, n’imaginant pas un instant que Sibeal en fera de même. Le découvrir est à la fois cauchemar et soulagement, mais elle ne voit très vite que les bons côtés à cette proximité… mensongère. Purement géographique.  
Par ailleurs, le voyage avait assez duré : sa famille, sa ville, sa fille, tout lui manquait ! Cette dernière continue d’emplir de fierté parents et grands-parents. Avec Cian, Mélisandre s'attelle à renforcer les bases de leur maison, de l'extérieur – une chance que leurs deux familles soient, à défaut d'influentes, respectées – comme de l'intérieur, par l'éducation de leur fille.
5:12 (22 ans) Elle assiste de loin au Tournoi (trop sale) (mais fascinant – c’est donc ainsi que se distrait le peuple !), à l’affaire du foulard (excellente – célibataire, elle aurait été jalouse) et à l’annonce de l’Enclin (trop sale une fois de plus, elle aurait préféré une lettre – sa fille n’était même pas sous ses yeux en l’apprenant, trop jeune pour une longue inauguration, et l’avoir entre ses bras lui manque). Excepté ce dernier événement, tout n’est qu’un bal glorifié de plus, et si elle passe un bon moment, elle n’en pense rien de spécial ; à part qu’elle attend avec grande hâte la naissance du couple Byrne. Fille ou garçon ? Héritier ou abandon de la lignée ?

Quand c’est une fille, alors que Tiarnan Vaël vient de disparaître, ses yeux plus que tous les autres se tournent vers le Prince. Aurait-on enfin quelque chose de plus, quelque chose de mieux ? Une main plus habile, au doigté plus fin que ces bourrins de Vaël, qui se mettent à dos les familles les plus influentes sans non plus satisfaire le peuple ? Ce n’est pas une question de genre, se convainc-elle, mais de méthode, et celle des Princes est archaïque. Parti, Tiarnan Vaël perd toutes ses qualités, et Kendric Vaël avec lui ; où va-t-on, si une dynastie meurt en si peu de temps ? Le Conseil mérite une réorganisation, et une lumière qui fera pâlir les frasques de la famille régente. Le roi est mort, vive le cadavre.

Attributs


 

 

Capacité de combat : 10
  Capacité de tir :  9
 
  Endurance :  15
  Force : 8   Perception : 15   Agilité : 13
  Volonté : 15   Chance : 15


 

 

Santé : 30
 
  Dégâts physiques : 8
  Dégâts à distance : 15
  Défense physique : 2
  Défense magique : 2
  Armure : 0
  Points de destin : 15


 

   



Andrasté
Andrasté
Prophétesse du Créateur
Prophétesse du Créateur
Andrasté
Personnage
Illustration : Mélisandre O'Hara 00271e5d6ef73524ca7af225b44553f426543b3d

Pronom.s personnage : Elle
Occupation : Je rappelle au Créateur le malheur des hommes qu'il a pourtant promis d'aimer...
Localisation : Aux côtés du Créateur.
Pseudo : Compte administrateur
Pronom.s joueur.euse : Elle
Crédits : Adamant (avatar).
Date d'inscription : 22/09/2020
Messages : 3541
Feuille
Joueur

 

InvitationChapitre 3 : Ils s'élèveront quand s'annoncera la chute
@Mélisandre O'Hara

Des murmures de velours

« Ce n'est pas un hasard si Kendric a organisé l'exécution publique le jour de son anniversaire, n'est-ce pas ? »

Sur les tables si finement dressées, il n'y a pas que les cloches qui se soulèvent. Au milieu des orchestres de chambre, il n'y a pas que les violons qui sifflent. On essuie ses mains sur les nappes et l'on murmure doucement au creux des oreilles. Dans le coin des rues et dans les vestibules, des billets s'échangent et des regards adressent leurs doutes et leurs certitudes. Dans l'ombre ou à la lumière, les tractations n'ont jamais cessé : vous sentez que le vent qui agitera la corde, ce jour-là, a changé : de fraîcheur ou de direction ? Les grincements de la corde vous répondront.

« Peut-être est-il enfin temps... »

D'exprimer son soutien ou, au contraire, de marquer définitivement le changement ?

Un message placardé partout
Aidez la Garde des Ombres sur la route de Wycome. Protégez les réfugiés d'Antiva et des Marches Libres.
Un jour, notre tour viendra.

Dans l'excitation générale qui suit l'annonce de l'exécution publique, quelques yeux plus affamés - en quête d'aventures ou d'argent - remarquent pourtant qu'il se passe autre chose. Et se rendent compte que le choix est leur : rester et assister à la pendaison de la Corneille, ou prendre les armes et partir ?

Sur chaque Tableau du Cantor, le même billet est placardé : ce n'est pas la même écriture, mais les mots sont recopiés à l'identique. Qui que soit l'auteur ou l'autrice, aucune récompense n'est promise : mais face à votre hésitations, ils sont plusieurs ressortissants des nations étrangères, qu'elles soient marchéennes ou plus lointaines, à vous promettre quelques richesses pour protéger leurs pairs, leur permettre de venir elles et eux aussi en Starkhaven. Certains s'osent même à promettre ces legs des autres, abandonnés et oubliés sur la Route de Wycome.

Cela vaudrait-il vraiment le sacrifice de vos vies ?



Glorieux Créateur, comment Tes enfants peuvent-ils être pardonnés ? Trébuchant dans l’ignorance, nous avons oublié que seule une Lumière brisera les Ténèbres.
Parle à Tes enfants, enseigne-nous Ta splendeur. Ce qui a été oublié n’est pas encore perdu.

Mélisandre O'Hara