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Jeu 1 Juil - 14:16
Glorieux Créateur, comment Tes enfants peuvent-ils être pardonnés ? Trébuchant dans l’ignorance, nous avons oublié que seule une Lumière brisera les Ténèbres.
Parle à Tes enfants, enseigne-nous Ta splendeur. Ce qui a été oublié n’est pas encore perdu.
Andrasté
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Jeu 1 Juil - 14:16
Ailis Treglown
Prédéfinie prise
Nom AIlis Treglown Âge 22 ans. Genre Féminin. Peuple Humain. Nation d'origine Starkhaven (Cairnayr). Occupation Mage, anciennement paysanne. Religion ou croyances Chantrie Andrastienne. État civil Ailis était fiancée, et maintenant ?
Girl Portrait par Merilliza
Mage
Cercle de Starkhaven
Peuple
4:90 Naissance d'Ailis Treglown à Cairnayr, fille de paysans et ainée d'une fratrie qui sera grande. 5:05 Ailis a 15 ans, elle est amoureuse du fils du forgeron, c'est réciproque. Quelle aubaine pour les parents, forgeron c'est déjà une bien meilleure situation. L'arrangement est passé et la dote payée en avance, même si Ailis restera chez ses parents jusqu'à ses 18 ans. 5:07Soudainement, Ailis dévoile des pouvoirs magiques, ou plutôt ils sont découverts au grand jour et les templiers, informés. On vient la chercher et on l'emmène au Cercle. Ailis est arrachée à sa famille, à ses frères et sœurs, ses parents pestent tant ils avaient besoin d'elle pour garder les enfants pendant qu'ils travaillent aux champs. La vie de paysan n'est pas facile. 5:12 Avec l'annonce de la tenue du Grand Tournois et de l'inauguration de la Cathédrale, Ailis espère obtenir des occasions de sortir, et si possible de croiser sa famille et son fiancé. Sont-ils toujours fiancés d'ailleurs ?
La terre était pauvre, les bouches à nourrir, nombreuses, et les journées longues et pluvieuses. Mais jamais l’enfant que j’étais ne perdit l’espoir qu’un jour, les choses s’amélioreraient, et j’aidais mes parents et guidais mes cadets. J’étais une simple paysanne, et je devais épouser le fils du forgeron, et les choses auraient dû aller aussi simplement. Nous nous sommes fiancés très jeunes, trop jeunes pour que je quitte le foyer parental et que nous nous marions. Du jour au lendemain j’ai été arrachée à ma famille et à mon amoureux, et je me suis retrouvée au Cercle de Starkhaven, sans pouvoir quitter son enceinte, ni recevoir de visites ; quant au courrier, vous pensez… le papier est cher, la calligraphie, ardue, et la censure implacable. J’étais si inquiète pour ma famille laissée seule… A quoi donc servent l’histoire, les sciences et la magie, si l’on ne peut améliorer notre quotidien ? Être ainsi coupée du reste du monde, privée de mes choix et inutile à aider mes vrais proches, me sidère et me révolte complètement.
Secret 1
Type de secret : avoué.
Anciennes paroles réconfortantesC'était dans sa paroisse que nous allions écouter la messe, et il avait toujours de bonnes paroles pour nous tous. Quand mes pouvoirs ont été découverts au grand jour, c'est lui qui est venu me rassurer et me calmer pour que les templiers m'emmènent sans me faire de mal. Il m'a promis de venir me donner des nouvelles de ma famille et de les aider. Il a tenu sa promesse pendant quelques temps et puis il n'est plus venu, du jour au lendemain...
Amie d'un autre mondeIsbeil est une fille douce, presqu'encore une enfant. Je retrouve en elle comme une petite sœur. Mais elle est parfois moralisatrice avec ses paroles extraites d'un pamphlet ou d'un autre. Et puis surtout, nous ne sommes pas du même monde. Elle a grandi dans un château, moi dans une petite chaumière. Que comprend-t-elle de la vie de paysanne et surtout de mon besoin de liberté ?
Questions gênantesLe chercheur me pose de nombreuses questions et si je lui réponds du mieux que je peux, voilà que les autres mages me regardent de travers. C'est une position réellement délicate dans laquelle il me met. Je n'ai pas envie de lui mentir, car des choses se passent dans ce cercle et, par le Créateur, elles ne sont pas bonnes ; et puis quand nous discutons simplement, il m'est sympathique mais les autres mages me prennent pour une collaboratrice désormais, déjà que je suis la victime des plus mauvaises blagues du cercle.
Titre du lien Rédaction en cours.
Glorieux Créateur, comment Tes enfants peuvent-ils être pardonnés ? Trébuchant dans l’ignorance, nous avons oublié que seule une Lumière brisera les Ténèbres.
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Jeu 1 Juil - 14:17
Arlisa
Prédéfinie libre
Nom Arlisa. Âge 33 ans. Genre Féminin. Peuple Elfe. Nation d'origine Starkhaven. Occupation Marchande de bibelots et breloques diverses dans le Clattercraft. Religion ou croyances Libre. État civil Mère célibataire.
Inconnu
Civil
Aucune
Peuple
4:80 des Ténèbres Arlisa naît au bascloître de Starkhaven avec une vie déjà toute tracée semble-t-il, sans grand espoir qu'elle puisse se transformer en quelque chose de mieux. Ses parents s'imaginent qu'elle mènera la même vie qu'eux, peu confortable mais tranquille : ils l'imaginent prendre leur suite au service de ce noble éleveur, puis mener une vie bien rangée dans le bascloître. Mais la jeune Elfe ne veut pas de cette vie de misère dans le bascloître et, débrouillarde et, nourrit l'espoir de se construire un meilleur avenir. 5:00 des Exaltés Arlisa se débrouille avec trois fois rien pour ouvrir un petit étal dans le bascloître et entend bien développer son commerce : l'endroit gagne pas mal de réputation, et attire Havenois et voyageurs. À cette occasion fait-elle la rencontre d'un elfe de passage dans la cité-État dont elle tombera amoureuse et duquel elle aura deux enfants, sans jamais passer le cap du mariage : cette situation sera terriblement mal vue et son compagnon s'en ira. 5:08 des Exaltés L'opportunité de monter son étal hors du bascloître s'est présentée à Arlisa qui n'hésite pas à la saisir : malgré le ressentiment des siens et la pression discriminatoire des Humains, l'Elfe tient bon, le caractère solide. La Guerre des Rats va pourtant changer complètement la donne : si elle ne perd pas son commerce, voilà que la méfiance s'installe et que les affaires seffondrent. Au plus bas de ses affaires, elle fait la connaissance de Dawti Miath, un contrebandier rivénien qui l'aide grandement autant à protéger son commerce qu'à s'occuper de sa famille. 5:13 des Exaltés Si Starkhaven n'a jamais été aussi animée que ces dernières années, l'annonce d'un Enclin n'est pas propice pour les affaires : si Arlisa arrive encore difficilement à payer son loyer hors du bascloître, et à joindre les deux bouts pour sa petite famille, elle constate bien que personne ne souhaite qu'elle reste dans ce quartier. Seulement, avec l'annonce du siège de l'Enclin, ce n'est plus de ce seul quartier qu'on veut la chasser, mais bien de la cité elle-même : elle est incapable de prendre les armes, tout comme de payer, alors que dira-t-elle lorsque l'Office passera ? C'était sans compter sur l'aide de son ami contrebandier qui « s'acquitte de sa faveur » en lui offrant le pactole rêvé pour qu'elle et ses enfants puissent profiter de la sécurité des murs... tous les ennuis ne s'arrêtent pourtant pas là.
Plus que les autres Elfes et autres pauvres gens, je me suis accrochée et j’ai eu de la chance : mon commerce est devenu l’étal de nombreux produits artisanaux du bascloître et il plut aux Humains de la ville. J’ai ainsi réussi à m’extraire du fond de la cité, hélant et m’enrichissant parmi ces marchands qui me toléraient. Mais voilà : la Guerre des Rats éclata, l’assassin avait réveillé de vieux démons et l’on me rappela que ma place n’aurait été due qu’à la chance. Du jour au lendemain, je peinais à nourrir mes enfants, et l’on se permit de s’en prendre plusieurs fois à mon étal : combien de fois mes mains ont-elles saigné car j’avais dû le reconstruire, seule ? Peut-être qu’aujourd’hui je peux compter sur le support de ce filou de Rivénien, grâce auquel les choses vont un peu mieux - mais pour combien de temps avant que ce ne soit définitivement la fin pour moi ? Avant que sur l'autel de l'Enclin, enjoint par les Elfes et les Humains, l'on sacrifie ce que j'ai eu tant de mal à construire ?
Secret 1
Type de secret : libre.
Drôle de protecteurJe ne sais pas trop si je dois remercier le Créateur d'avoir mis Dawti sur ma route : peut-être, dans le fond, car je ne pourrai pas mener un semblant de vie sans lui aujourd'hui ; mais qu'est-ce qu'il peut mettre ma patience à rude épreuve. Il a débarqué un matin où des shems s'en sont pris à mon commerce, prétextant comme à leur habitude que j"n'avais rien à y faire : il m'a aidé à les dégager et m'a demandé si j'avais pas de quoi manger en retour. Depuis, il passe souvent, et je le soupçonne de vérifier que les choses ne s'passent pas mal pour moi : parfois il a besoin de manger, parfois il a besoin de dormir, et je l'accepte. Sa compagnie n'est pas aussi désagréable qu'il ne veut le montrer même s'il pourrait quand même faire un effort pour se remettre dans le droit chemin... Son aide m'est si précieuse qu'au moment où je pensais qu'on allait me jeter de la cité, il arrive avec un pactole miraculeux et nous sort de cette galère. Quant à la question d'où il tient cet argent, je ne reçois qu'une réponse : une promesse n'est-elle pas toujours une tenue par Dawti ?
La moralisatriceAvec ses airs moralisateurs, Neria sait tout mieux que tout le monde : il faut faire ci, ne pas faire cela. C'est pas mal intentionné mais ça m'énerve profondément, et ses conseils ressemblent parfois à des menaces sous-jacentes, m'attribuant une part de responsabilité sur ce qu'il m'arrive. Elle se croit mieux que nous tous jusque parce qu'elle utilise des jolis mots ? Qu'elle redescende sur terre, elle n'est qu'une ancienne domestique, une Elfe méprisée par le reste des Humains, comme nous tous.
L'évasionJ'adore aller voir les Tanassavir. Déjà parce que ça me fait sortir de la puanteur de la ville. C'est comme une balade en forêt. Ensuite Varlas est un bon client, pas très enjoué mais fidèle et il paye bien. Bon, certes, il râle quand j'ai du retard, mais ça c'est de la faute de Dawti que j'lui dis. Après ce qu'il achète, ça m'regarde pas, que ce soit de la viveracine, de la bile de wyverne ou autres. Une fois je lui ai dit en rigolant que je quitterais bien la ville pour rejoindre leur clan, il a souri j'crois, mais il a rien dit. Tous des sectaires dans ce monde.
Protégée C’est qu’elle a bien poussé, la nièce de mon vieil ami, et maintenant c’est elle qui voit grandir mes enfants. Depuis quelque temps, maon plus jeune semble même l’avoir prise pour une sorte de modèle. Je me doute bien que c’est avec elle qu’iel traînait quand je lea voit revenir le sourire aux lèvres ou des friandises dans les mains... Achetées ? Probablement pas toujours. Chipées par les doigts les plus vieux ? Je préférerais ! Je sais que la gamine est débrouillarde, mais j'espère qu'iels ne font pas de bêtises...
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Jeu 1 Juil - 14:17
Copper
Prédéfini prisRôle important
Nom Copper Âge 41 ans. Genre Masculin. Peuple Humain. Nation d'origine Tribus alamarries. Occupation Second de la Compagnie de mercenaires des Dragons de Rubis. Religion ou croyances Libre. État civil Libre.
jia liu – ArtStation
Guerrier
Dragons de Rubis
Peuple
4:71 des Ténèbres Rien ne destinait le jeune Alamarri à vivre une vie de mercenaire au nord du continent. Copper (qui ne s'appelait pas ainsi à l'époque) est né pêcheur sur les bord de la Mer d'Écume et se plaisait à sa vie au grand air, à la barque et au charriage de filets. Les conflits et la politique, passée sa communauté de villages, ne l'intéressait pas : ils avaient les tierns pour ça. Sauf que la réalité le rattrapa un jour de son adolescence : l'invasion orlésienne ravagea leurs terres. Ils ne virent pas l'aller et, en entendant les échos de la victoires des Alamarris, espérèrent que les bérruiers n'étaient que des fantômes : mais ils vinrent au retour, d'autant plus violents et beaucoup moins civilisés que leur nation voudrait apparaître. Il perdit toute sa famille et se retrouva à errer seul avec les réfugiés. 4:91 des Ténèbres La vie de pêcheur a endurci ses bras, sa nature alamarrie a refroidi son caractère, et les Orlésiens lui ont offert un but. Copper, comme il se fait désormais appeler, apprend les armes et décide de devenir mercenaire. Il a d'abord pour espoir de combattre à l'ouest, mais il n'y a pas de guerre déclarée contre Val-Royeaux : finalement, pour vivre, il trouve son compte plus au nord dans les guerres intestines entres Cités-États marchéennes. C'est à ce moment-là qu'ils croise les Dragons de Rubis, compagnie havenoise menée par Amadis Vaël, et se retrouve dans leurs valeurs ; en retour, ils le reconnaissent aussi capable. Il trouve une nouvelle famille et passe, en quelques années, Second des Dragons de Rubis. 5:07 des Exaltés Lorsqu'Amadis annonce que le Prince a engagé les Dragons dans la Guerre contre les Rats, Copper ne sait pas quoi en penser : il voit tout de même ça comme un seigneur qui se retourne contre ses propres sujets, et craint les débordements. Mais il honore son contrat, tente tant bien que mal de faire la part des choses entre population et hors-la-loi, et sort quelque peu mitigé de cet évènement. Il tente de s'expliquer plusieurs fois avec sa cheffe, mais elle botte en touche : elle assure qu'ils ont servi Starkhaven et la population, et pas des intérêts privés, et ne veut pas en dire plus. 5:10 des Exaltés Amadis est partie quelques mois plus tôt en direction du nord, emmenant avec elle un tiers de la compagnie : c'est à Copper de s'occuper du reste, stationné aux alentours de Starkhaven. Quand la nouvelle de la Guerre des Trente Jours revient, et avec elle le bannissement d'Amadis et de ses mercenaires, c'est la douche froide : certains décident même de partir les rejoindre. Copper garde le contrôle et, maintenant que l'on annonce le Grand Tournoi, il cherche à faire changer les idées de ses hommes et de ses femmes en les y entraînant. S'ils pouvaient recruter un peu de monde au passage...
Enfant, je rangeais tranquillement ma barque et ramenais à mon village les fruits de mon labeur lorsque je vis arriver les armées orlésiennes : leurs têtes casquées, leurs chevaux armurés, leurs longues piques sanguinaires, je cessai d’être un pêcheur le jour où je fuyais mon village en flammes et dus m’engager comme mercenaire pour vivre. Ma colère froide devint assez réputée dans les compagnies, et mes exploits me précédaient tandis que mes contrats m’entraînaient plus au nord. J’en arrivai ainsi dans les pattes de cette grande noble marchéenne, Amadis Vaël, qui me proposa de la seconder à la tête des Dragons de Rubis. Ces derniers suivraient aveuglément sa confiance autant que mon jugement ; après tout, le seul foyer qui m’attend encore est celui qui réchauffe nos tentes et nos cœurs saouls.
Secret 1
Type de secret : caché.
ÉlèveEncore une idée d'Amadis Vaël, ça : va te présenter avec cette lettre au Palais des Princes, et prends une épée en bois avec toi. Et voilà que je me retrouve à devoir entraîner le Prince héritier - rien que ça - pour assurer de la loyauté des Dragons de Rubis. Le gamin n'est pas mauvais, voir même plutôt bon, si l'on excepte sa propension à vouloir être trop chevaleresque : jeunesse, noblesse, tendresse de caractère ? Dans tous les cas, je tiens bien à remplir ma mission : ni plus, ni moins. Je laisse la politique et les relations à Amadis, même si Tiarnan rivalise d'insistance pour essayer de me faire parler.
VermineJe me souviens de ce type sur lequel je suis tombé pendant la guerre des rats. On lui en a flanqué une bonne avant qu'il ne nous échappe. Il a eu de la chance. Et ça m'est bien égal. J'ai fait ce qu'on m'a demandé de faire à l'époque, ni plus, ni moins. Si je le recroisais, je passerais juste mon chemin parce que je ne suis pas garde et que la commande est terminée.
Songe d'une nuitDoux imprévu, nuit torride. J'ai songé plusieurs fois à retourner la voir, si je passais dans le quartier. Je ne suis pas repassé dans le quartier, un jour est passé, puis un autre, etc. sans que je n'ai jamais le temps de m'ennuyer. Et finalement, je n'y suis jamais retourné, peut-être parce que j'ai la sensation de devoir m'excuser si j'y vais.
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Jeu 1 Juil - 14:18
Eibhlin Byrne
Prédéfinie libreRôle important
Nom Eibhlin Byrne, née Vaël Âge 27 ans. Genre Féminin. Peuple Humain. Nation d'origine Starkhaven Occupation Dame de Corintamh et héritière (non officielle) de Kendric Vaël. Religion ou croyances Chantrie andrastienne. État civil Mariée à Eiric Byrne.
Gesta par Kate Voynova
Civil
Aucune
Peuple
TW : Grossesses difficiles, maternité.4:86 des Ténèbres Les tragédies s'enchaînent entre les murs du Palais des Princes, épais et pourtant si perméables aux rumeurs : un héritier désavoué à cause de ses talents magiques, une puînée exilée dans un éclat de colère, des grossesses difficiles s'enchaînant… C'est dans cette quête d'héritier qu'Eibhlin voit le jour, après une grossesse difficile et un accouchement très compliqué : Eugénie s'en sort, mais pas son corps qui sera meurtri pour de bon et ne donnera plus la vie. En comparaison, l'enfant s'avère en bonne santé, malgré ses yeux vairons, costaude et pleine d'une détermination dont elle se nourrira toujours Le bébé, malheureusement une fille, est en bonne santé et surtout costaude, une battante. Et de cette détermination, il lui en faudra, car les premières années de sa vie seront marquées par l'absence d'amour parental ; et quand, à ses sept ans, un demi-frère né des aventures extraconjugales de son père intègre la famille et devient l'héritier, elle ne peut que lui en vouloir. Surtout par sa candeur qu'elle interprète comme de la mollesse, et par cette facilité à tout avoir quand elle doit cravacher, elle développe à l'égard de Tiarnan beaucoup de rancœur. 5:01 des Exaltés Comme sa sœur aînée avant elle, qu'elle a vue partir le cœur déchiré, Eibhlin connaît la solitude : une solitude que sa nourrice et les domestiques elfes savent combler. La jeune femme s'entend vite avec eux, s'intéressent à leur condition, à leur histoire, à leur vie, échange avec eux, les traite comme ses égaux tout en préservant les apparences : très vite, les petites mains du Palais deviendront ses oreilles et lui permettront d'apprendre les jeux politiques, de comprendre ce qui se trame derrière les sourires hypocrites. Son défaut principal ? La jeune femme manque d'un sens de l'humour frappant, même si elle essaye, et prend trop de choses au premier degré. 5:06 des Exaltés Bien née, déterminée, la cadette Vaël attire les regard et les propositions des nombreuses familles havenoises : mais elle, grâce notamment à sa mère qui a su lui transmettre ses savoirs en politiques et cultures étrangères, rêve d'ailleurs. Orlaïs, Tévinter, Antiva… peu lui importe, elle rêve d'ailleurs. Un matin, elle plie bagage et tente de fuir à l'ouest : mais elle sera immédiatement rattrapée à Corintamh par son père furieux de cette fugue. Trois ans après ce malheureux incident, Eiric Byrne, conseiller du Prince, demande sa main et, malgré les incertitudes et autour des humeurs et du caractère du Prince, ce dernier accepte et Eibhlin consent. Ce mariage qui est très bien vu par le peuple est l'occasion de festivités dans toute la ville et à Corintamh, lui octroyant une popularité grandissante qu'elle apprend à entretenir et à faire grandir. Corintamh devient, sous leur direction commune, un havre de paix. Début 5:13 des Exaltés Les tentatives se succèdent et se clôturent par des échecs : le couple a grand mal à avoir un enfant, l'histoire semble se répéter. Jusqu'à ce qu'enfin, le ventre s'arrondisse : malgré les peurs de la jeune mère, la grossesse ne pose aucune difficulté en elle-même, les évènements qui entourent et secouent Starkhaven auraient pu ébranler la dame de Corintamh. Le 30 Gardien, alors que l'Enclin ravage Antiva, elle donne naissance à une petite fille en bonne forme du nom de Leitis : tandis qu'elle la porte pour la première fois dans ses bras, pétrie d'incertitudes, la cadette Vaël sait qu'elle doit prendre une décision. Prendre le temps de l'élever et se retirer de la scène politique, ou la confier à une nourrice pour nourrir ses prétentions princières et manquer à jamais ces premiers moments partagés. Refusant de reproduire les erreurs de ses parents, Eibhlin fait le choix de la maternité, et se retire en son domaine : elle sait que plus que tout, elle peut compter sur le soutien de son époux pour entretenir ce qu'ils ont construit ensemble.Fin 5:13 des Exaltés Lorsque son plus jeune frère Tiarnan disparaît pour de bon de Starkhaven, tout Starkhaven constate la fragilité de la lignée : le Prince n'a plus d'héritier. Pour Eibhlin, déjà scandalisée par cette lâcheté, cette situation ne fait que questionner son choix : si elle n'a jamais totalement quitté le côté de son père malade et vacillant, elle sait qu'il a besoin de plus. De plus que le soutien de cette mère en laquelle elle n'arrive pas à avoir confiance. Le coup d’État avorté des Irvine qu'elle connaît depuis toujours, et la prise de fonction toujours plus essentielle de son époux, qui lui assure son soutien et sa reconnaissance pour son choix, ne soulagent en rien ses tiraillements : car la Dame de Corintamh est une femme de service, auprès de son peuple comme auprès de sa famille ; et la Dame de Corintamh est une femme de pouvoir, un pouvoir qu'elle sait mériter… et qui lui est garanti par son père dont elle est un phare dans la tempête : il lui suffirait pour cela de faire un pas dans la lumière. Et peut-être que l'organisation de l'évacuation de ses sujets de Corintamh vers Starkhaven, ainsi que le soutien aux Elfes dalatiens, serait une bonne opportunité pour cela...
Que ce soit en mon domaine, dans les cuisines ou dans les rues de la cité, ce sont les sourires et les paroles chaleureuses qui m'accueillent. Je suis une dame du peuple, je suis la Vaël qui a toujours su parler aux petites gens et aux Elfes : celle qui a su, avec mon époux, ériger nos terres en un havre de paix. Cette reconnaissance, je ne l'ai pas gagnée par un implacable charisme avec mes déconcertants yeux vairons, ni par mon absence flagrante d'humour, ni de parents qui n'ont cessé de me reprocher ma naissance sous les plus alarmants auspices : j'ai su le forger par mon caractère fier et valeureux, par ma détermination sans bornes. Même avec un nourrisson en bas âge dans les bras, mon oreille ne quitte jamais ces pauvres et ces nécessiteux qui appellent mon aide à laquelle je désire apporter une réponse, et mes yeux, le trône de marbre si lourd. Et finalement, alors que c'est une place qu'il m’a refusée toute ma vie, mon père, ce Prince, est prêt à me désigner comme son héritière : dois-je vraiment choisir entre mon devoir de dame, mon devoir de mère et mon devoir de fille ?
Secret 1
Type de secret : Caché.
Secret 2
Type de secret : Avoué. Complices : Kendric Vaël, Eiric Byrne. Contenu : Cette envie s'est installée insidieusement en moi, avec les années. D'abord par réactance puisque, à force de voir cette opportunité niée, je n'avais qu'une envie : prouver que j'en étais capable. Ensuite, une fois les envies puériles et adolescentes passées, par pragmatisme : je voyais combien Tiarnan n'était pas capable de prendre cette place, trop doux, trop seul, ne réussissant à passer outre la perte de sa mère. Par fatigue, aussi, de voir ma famille se battre et se déchirer pour un trône qu'aucun n'arriverait à diriger, de fait ou de droit, alors que j'étais capable, j'étais soutenue, j'étais loyale. Et enfin, par désir de servir ma cité, mon peuple, ces gens que j'aidais au quotidien et pour lesquels il me manquait invariablement un levier : le pouvoir, que je craignais autant que je l'attendais. Je veux devenir l'héritier de mon père, la prochaine Princesse de Starkhaven. Le Prince fut le plus ardu à convaincre : j'étais femme, je ne portais plus son nom, et il ne l'avait simplement jamais envisagé. Mais la disparition de son dernier fils le plus chéri avait suffi à le convaincre que j'étais son dernier sang pour y arriver. Eiric, lui, avait toujours cru en moi, et son soutien me fut rapidement acquis : malgré le fait que notre premier fils ne prendrait pas le nom Byrne mais... Vaël. Que Leitis soit née fille ne me laisse que plus de temps à préparer mon accession au trône, et l'annonce officielle par mon père. Starkhaven promet d'être plus difficile à convaincre qu'il n'y paraît.
CollaboratriceAncienne domestique, je connais Néria depuis de longues années. Je la considérerais presque comme une grande sœur, mais je sais qu'elle n'aimerait pas m'entendre dire ça et je ne me le permettrais pas. Nous nous sommes toujours bien entendues et aujourd'hui nous défendons les mêmes intérêts, celui du peuple et des opprimés. Seulement ne nous ne voyons pas toujours les choses de la même façon, ajouté à cela que nous ne sommes pas du même monde, et voilà comment une amitié ne naît jamais réellement.
Mère dure Ma mère m'a toujours traitée différemment de ses autres enfants : dans son éducation, j'ai senti une dureté née de la revanche. Je suis celle qui l'a rendue stérile, celle qui a failli provoquer sa chute, coupable mais pas fautive. Je cherche désespérément dans son regard une once de fierté, d'approbation que je n'aurais sans doute jamais : j'ai bu ses paroles et appris toutes ses leçons dans une indifférence froide Je ne serais jamais un garçon. Alors, je serais une meilleure femme, une meilleure épouse, une meilleure mère : une meilleure dame en Starkhaven. J'espère un jour, j'ose croire parfois, pouvoir obtenir son soutien, pour qu'elle réalise que je suis la plus capable de tous ses enfants – croit-elle que je manque tous ses regards silencieux qu'elle ne pense réserver qu'au Créateur ?
Intérêt non avoué J'éprouve une certaine fierté que nous puissions encore accueillir ce clan dalatien dans nos forêts, fruit d'une diplomatie acharnée d'Eiric et moi-même pour faire accepter le refuge de ces Elfes. Je découvre timidement leur culture, n'osant guère m'imposer tant ils sont méfiants envers les humains, et Eiric lui-même ne se sent pas à l'aise avec eux. Varlas est celui que je connais le mieux puisqu'il est un peu l'ambassadeur des siens, bien plus ouvert à la discussion que quelques membres de son clan : après toutes ces années de tractations, j'espère qu'il me voit enfin comme une alliée fiable. Des tractations qui s'attardent parfois en de longues conversations : en sa présence je me sens différente, simplement moi-même, plus détendue, plus dans le présent et j'apprends beaucoup de choses, je lui apprends de nouvelles. Oh, bien sûr, personne ne nous a jamais vus seuls, et je ne permettrai aucune rumeur à notre sujet : ces Dalatiens ont simplement besoin de nous. À tel point que je fais tout pour assurer qu'ils puissent, s'ils le désirent, trouver refuge dans la Cité des Princes avec le siège à venir - dans ma Cité.
Poupée de cire Nos âges ne sont pas bien différents et pourtant, Eanna m’est toujours apparue comme une petite fille : comme une poupée parfaite qu’on amenait où on le souhaitait, remplissant bien son rôle. Quoiqu’au moins elle était sincèrement gentille. Je l’ai vue être emportée dans le tumulte de la politique que, moi, je dominais ; je l’ai vue tomber avec sa famille en ayant pitié pour elle qui n’avait pas tant mérité. Pourtant, Eanna est encore là, contrairement aux siens. La Belle de Starkhaven, qu’on l’a toujours appelée – s’oserait-elle pourtant à penser vengeance, un jour ?
Grande sœur éloignée... Je me souviens encore de ces moments privilégiés que nous partagions avant qu'elle ne parte : elle aimait à me démêler mes longs cheveux ou à me prendre sur ses épaules pour cavaler dans tout le Palais des Princes... Mais la grande sœur que j'ai retrouvé vingt ans après n'avait plus rien à voir. Plus dure, plus secrète, je vois bien tous les silences qu'elle avale derrière ses désirs de renouer avec notre famille ; et si je suis heureuse de la retrouver, je ne peux ignorer qu'elle est Chercheuse de la Vérité, et que sa venue ne peut être un hasard. Et je ne suis moi-même plus une petite princesse non plus, n'est-ce pas ? Que caches-tu, Fiona ?
Belle-sœur éloignée « Si tu l’aimes, je l’aime déjà également, et je suis contente qu’elle ait rejoint notre famille. » Tels sont les mots qu’Isbeil a adressé à son frère peu de temps après notre mariage. Elle nous écrit régulièrement, plus encore depuis la naissance de notre fille, et c’est pourquoi je suis venue la lui présenter au Cercle lorsque plusieurs semaines de silence nous ont inquiétés. Une maladie, paraît-il, même s’il y avait ce jour-là dans son regard une fragilité qui m’a laissé présager davantage... Les correspondances ont repris et, si mon mari a obtenu une raison plus détaillée, il ne l’a pas partagée.
Glorieux Créateur, comment Tes enfants peuvent-ils être pardonnés ? Trébuchant dans l’ignorance, nous avons oublié que seule une Lumière brisera les Ténèbres.
Parle à Tes enfants, enseigne-nous Ta splendeur. Ce qui a été oublié n’est pas encore perdu.
Andrasté
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Jeu 1 Juil - 14:18
Islan
Prédéfini en cours de réécriture (contacter l'équipe administrative en cas d'intérêt)
Nom Islan. Âge 25 ans. Genre Masculin. Peuple Elfe. Nation d'origine Starkhaven. OccupationGarde de la cité. Religion ou croyances Chantrie Andrastienne, peu convaincu. État civil Célibataire.
Elfe par Firinaira (Tolkien)
Guerrier
Aucune
Peuple
4:87 des Ténèbres Islan voit le jour dans le bascloître de Starkhaven, peu après sa sœur Danylle. Leur enfance y est à la fois dure mais heureuse, les deux jumeaux étant si proches qu'ils s'entraident : le garçon se sent le devoir de la protéger de ses poings, mais se rend bien compte qu'elle désamorce la plupart des conflits avant que la violence n'arrive. 5:02 des Exaltés Une maladie a frappé le bascloître et après avoir lutté, leurs parents y succombent : ils se retrouvent orphelins, adolescents assez vieux pour se débrouiller seuls et pourtant livrés à la vie. Danylle prend un emploi de domesticité quand Islan essaye de trouver des petits boulots sur le port. C'est un vieux garde humain qui remarque sa volonté de protéger l'opprimé qui lui propose de l'aide à y entrer : et cet emploi lui convient, dans un premier temps. 5:07 des Exaltés Pourtant, quand la Guerre des Rats éclate, Islan déchante très vite : il constate que la purge se concentre surtout sur les plus pauvres des Elfes, mais aussi certains Nains, et que ses collègues qui n'y participent pas ouvertement ferment les yeux sur les violences sur innocents, tant qu'ils ne soient ni assez riches, ni assez grandes, ni aux oreilles assez courtes. C'est ce jour-là qu'il commence à être amer et à critiquer ouvertement ce qu'il se passe, d'autant qu'il se retrouve seul contre tous.
On me regarde avec défiance, comme si je risquais à chaque instant d’exploser pour leur rappeler l’absurdité de la situation : je ne compte pas mes heures, je ne me plains pas d’être affecté dans les quartiers que personne ne veut - et je devrais, de plus, fermer ma gueule ? Pris de haut par la population, moqués par nos collègues, payés une misère et relégués aux tâches ingrates : les autres Elfes de la garde restent silencieux, satisfaits d’avoir un travail socialement bien vu, se contentant d’avoir quelques pièces à ramener à leurs marmots et leurs anciens. Leur mépris est un poids insupportable, alors que nous travaillons au moins aussi bien que les quelques bonnes femmes qu’ils acceptent à leurs côtés. Grâce à nous, Starkhaven devient en apparence une ville progressiste ; alors que dans le fond, rien n’a changé, et je ne compte pas rester l’outil silencieux de leur fausse innocence.
Aucun secret
Sœur jumelle Le jour où nos parents sont décédés, Danylle a cessé d'être ma sœur et a commencé à se comporter comme ma mère. Elle sait tout mieux que tout le monde, fait tout mieux que tout le monde, et se permet de donner des leçons. Tout ça pour récurer les latrines du Prince et s'en réjouir en prime. J'ai beau lui montrer comment ça se passe pour les autres, pour les nôtres, hors de son Palais des Princes, elle me rabroue et en vient même à me dire qu'à me plaindre et blasphémer, je vais m'attirer de graves ennuis. Alors, elle n'a plus de temps pour moi, et je la vois qui s'éloigne, qui rentre peu souvent à la maison... Je crois que le temps béni de l'enfance est parti : un jour nous avons arrêté de tout faire ensemble et maintenant, je perds ma sœur, que j'aime pourtant sincèrement.
Connaissance inspiranteJ'ai croisé le garde des ombres plusieurs fois dans les rues de Sullenhall : quelque chose m'a happé chez lui, dans son regard austère et pourtant foncièrement bon et sage. Je crois que ça l'a amusé et il m'a payé un coup à boire dans une taverne que je n'aurais jamais pu me payer. Je l'ai noyé sous des questions auxquelles il a toujours répondu, même pour me dire qu'il ne pouvait pas en parler : je crois qu'il m'a parlé des griffons mais que j'étais trop saoul pour me rappeler de sa réponse. J'aimerais bien avoir la réponse à cette question : malheureusement, je n'ai pas été réaffecté dans ce quartier depuis et je ne l'ai pas recroisé.
MaîtresseElle est belle et triste Mathalin, et je crois que c'est ce qui nous a rapproché dès le départ : la mélancolie et le désespoir, le besoin de se perdre dans les bras de quelqu'un qui ne nous demandera pas de sourire alors qu'on n'en a pas envie. Elle ne m'a jamais jugé, ni même fait la moral alors que la fatalité la frappe bien plus que moi, selon d'autres. Parfois je me demande quand même ce qu'elle me trouve, elle pourrait avoir n'importe qui. Surtout quand je me mets à jouer au con et que je la traite mal... Mais c'est que j'aimerais que ça reste comme ça, juste une histoire de plaisir en toute simplicité, alors que j'ai franchi cette limite depuis longtemps.
Glorieux Créateur, comment Tes enfants peuvent-ils être pardonnés ? Trébuchant dans l’ignorance, nous avons oublié que seule une Lumière brisera les Ténèbres.
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Jeu 1 Juil - 14:18
Khaiki Keltarr
Prédéfinie prise
Nom Khaiki Keltarr. Âge 35-36 ans. Genre Féminin. Peuple Nain. Nation d'origine Orzammar. Occupation Garde des ombres. Religion ou croyances La Pierre. État civil Veuve.
Barbarian girl (Simon Gocal, ArtStation) avec modifications
Guerrier
Garde des ombres
Peuple
TW : Suicide, Mort.4:77 des Ténèbres Khaiki a vu le jour dans le grand thaig d'Orzammar. Son père était un noble mais sa mère, une simple servante : et c'est de sa caste à elle qu'elle a malheureusement hérité, comme le veut la tradition. C'est d'autant pire que son père n'était pas homme bon et honnête et, alors qu'elle était une jeune adulte essayant tant bien que mal de servir le Roi Bemot, un scandale a éclaté et déshonoré toute sa famille : sa mère s'en donna la mort de honte. Pour éviter toute représailles et se racheter auprès des Ancêtres, Khaiki part dans la Légion des Morts, alors qu'elle n'a jamais tenu d'arme de sa vie. 4:97 des Ténèbres La Légion découvre la servante qu'est Khaiki et est quelque peu sceptique de son utilité : sa volonté, par contre, n'est pas discutée. C'est une compagne d'armes de la Légion des Morts qui la prend sous son aile, et Khaiki apprend extrêmement vite : peut-être trop. Elles en deviennent amantes, puis profondément amoureuses l'une de l'autre. C'est cette relation qui les fait tenir toutes les deux dans leur combat sans fin contre les engeances. 5:07 des Exaltés Fortes de leur expérience dans les Tréfonds mais épuisées par une vie toujours plus lourde, Khaiki et sa compagne décident de saisir une opportunité d'entrer dans la Garde des ombres : la Surface les effraie plus que tout mais elles sentent qu'elles peuvent être utiles en haut. Elles sentent leur devoir. À la Cérémonie de l'Union, Khaiki boit la première et s'évanouit immédiatement, croyant ne jamais revenir ; mais à son réveil, elle apprend avec désolation que c'est son amante qui a succombé. Elle ne s'en remettra jamais mais décide de monter à la Surface, laisser son fantôme dans les Tréfonds, et profiter de la moindre occasion pour éduquer les innocents à la menace constante et aux dangers qui rôdent dans les Tréfonds. Et le vide toujours grandissant de la Pierre résonne avec son absence. 5:13 des Exaltés Ce sacrifice demeure-t-il acceptable ? Quand Khaiki voit l'innocence de la Surface, une innocence que les Nains ont perdue, elle se demande si on peut réellement leur imposer la Conscription : ce sont des enfants, des frères, des mères, sur lesquels les Gardes auraient droit de vie ou de mort. Elle n'y arrive pas, alors qu'elle ne surmonte pas son propre deuil : même quand l'Enclin se déclare, elle n'arrive pas à approuver la ligne dure de la Commandeure-garde qui veut multiplier les recrues. Tout le monde ne peut pas passer ? Alors elle se fait plus absente à la Commanderie, reste plus proche des gens du peuple, et ne se résout pas à ramener du sang neuf, non : elle préfère la voie de l'éducation.
Alors que j'arbore l’habit bleu, les tatouages de la Légion des morts et la fierté du royaume d’Orzammar, certains sont surpris de voir ma patience et mon humilité : c’est normal, je côtoie la mort depuis dix ans maintenant. Personne ne sait pourquoi j’ai rejoint la Légion ; personne ne sait que j’y ai croisé l’amour de ma vie et qu’ensemble, après des années à combattre les engeances, nous avons compris que la Garde des ombres nous donnerait de meilleures armes dans notre lutte. Seulement, je suis la seule à avoir survécu à l'Union, et je porte depuis les marques de notre engagement commun : mais comment faire, quand la Garde nous demande de jeter des vies innocentes au hasard, parce que nous sommes les seuls qui survivons à la Souillure ? Comment faire, quand je sais que ce rituel est si dur, qu'il fauche des vies valeureuses qui n'ont pas eu le temps de s'accomplir ? Je n'y arrive simplement pas. Est-ce faillir ?
Secret 1
Type de secret : Libre.
Protection sourdeIl n'est pas le seul, l'Archivisite du clan Tanassavir, à avoir peur des répercussions de l'Enclin sur les siens : il sait que tôt ou tard, la Garde des Ombres viendra appliquer son Droit de Conscription et qu'ils n'auront ni le droit, ni le poids, de le refuser. Mais il a été le premier, et celui qui me touche le plus. Avant même que l'archidémon ne survole le continent, l'Elfe est venu me voir pour demander grâce, expliquant les difficultés que les siens ont croisées, pour que je détourne les yeux de ses comparses : et maintenant que le chaos est lancé, je ne sais pas comment agir. Alors que sa digne détresse a remporté mon cœur et dévoilé l'injustice que nous plaquait l'Enclin.
AmieComme la plupart des rencontres, celle-ci s'est faite par hasard. Zhelni et moi on s'entend bien, je crois qu'on se comprend comme personne ne nous comprend dans cette ville. Elle connaît Orzammar. Qui connaît Orzammar chez les surfaciens ? Presque personne. Et on a toutes les deux choisi de la quitter, même si c'était pour des raisons différentes.
Regard dans la nuque C'était pas forcément facile de prime abord avec Ansgar : si nous venions tous deux d'Orzammar, nous n'en ramenions pas les mêmes souvenirs ; lui y était bien né, lui n'y a pas tout perdu. Nous avons su sortir de nos préjugés tous les deux et j'ai pu le considérer comme un ami : mais je sais qu'il n'a jamais approuvé ma tempérance face à l'Union. Il me l'a plusieurs fois rappelé. Et je crains qu'il ne soit le premier à me remonter sérieusement les bretelles maintenant que l'Enclin a débuté...
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Jeu 1 Juil - 14:19
Neria
Prédéfinie libreRôle important
Nom Neria. Âge 37 ans. Genre Féminin. Peuple Elfe. Nation d'origine Starkhaven (bascloître). Occupation Hahren du Bascloître. Religion ou croyances Chantrie Andrastienne. État civil Libre.
Lavellan par Nipuni
Civil
Couvent des murmures
Peuple
4:76 des Ténèbres Naissance de Neria au bascloître de Starkhaven. C'est une gamine enjouée qui a du bagout et de la suite dans les idées, elle ne considère jamais les échecs : au contraire, elle préfère se focaliser sur comment les transformer en solutions, ce qui la rend rapidement utile et appréciée des siens. Quand elle est assez grande pour servir de ses deux mains, Neria commence à travailler comme femme de chambre à la Chantrie avec sa mère, qu'elle seconde et décharge du plus de travail possible. 4:96 des Ténèbres Neria se rend au Palais des Princes et propose d'y travailler : son intelligence et sa langue assez juste et acérée lui font rapidement gravir les échelons. Quand une place se libère, elle passe des ambassades au service de la fille du Prince, Eibhlin, qui a alors dix ans. Grâce à toutes ces années de service, elle a plus qu'un pas en politique : elle commence à se former un réseau parmi les servantes et autres valets, commence à se faire un nom parmi les nobles, à comprendre les Humains et quelles peuvent être leurs chances avec eux. Elle essaye le plus possible de faire ruisseler ce qu'elle gagne vers le bascloître. 5:07 des Exaltés La Guerre des Rats éclate, et Neria a peur pour le bascloître. À raison : si elle n'était pas intervenue à chaque approche des gardes, les siens auraient subi les foudres des autorités sans se laisser faire. C'est elle qui dénonce le Corbeau qui aurait assassiné le conseiller Dunaid, elle qui répète qu'il ne se cachait sûrement pas dans les maisons ni les caves, elle qui paye les dégradations et baisse ces mains armées de pierres... Finalement, lorsque tout ça se termine, le bascloître entier lui demande de devenir hahren, et elle accepte. Elle se rapproche alors de Soeur Silence, la doyenne du Couvent des murmures, et lui demande un peu d'aide pour les siens : de là émane leur coopération, car Neria devient les lèvres de la vieille chantriste, et elle offre refuge et soins aux plus démunis et miséreux des siens. Et même après tout ça, surtout après tout ça, elle sent les murmures dans son dos : certains la trouvent trop proche des humains, lui reprochant de manger dans toutes les mains possibles et de défendre des intérêts trop larges. 5:13 des Exaltés La satisfaction est difficile à jauger parmi les Elfes du bascloître. Il y a celles et ceux qui remercient chaleureusement Neria pour sa protection, encore prouvée alors qu'elle permet aux siens d'être bien soignés au Couvent ; mais en retour, les corvées se multiplient chez Sœur Silence, la chantrie installée dans le bascloître est régulièrement contestée, et l'on dit que les shemlens sont trop présents... Mais l'Elfe, elle, continuera sans fin de ménager la chèvre et le chou : il n'y a à ses yeux que dans le compromis que les siens trouveront leur place. Cela ne l'empêche pas de défendre leurs droits bec et ongles.
J’ai longtemps servi comme domestique à la Chantrie, puis au Palais avant de prendre la place de Hahren du Bascloître. J’ai toujours été sûre de moi, confiante, à l’aise oralement. Au Palais on m’envoyait parlementer avec les nobles, ou même entre eux, bien que la négociation restait âpre, dure, difficile à conclure. J’aurais pu y terminer : mais vint la terrible Guerre des rats, durant laquelle j’ai bataillé difficilement pour sauver le bascloître d’un massacre. Nombreux sont alors venus me demander de prendre la place de l’ancien hahren, et j’ai accepté, me sentant enfin utile. Je suis allée demander le soutien de Sœur Silence et, finalement, je suis devenue son soutien : cette muette me laisse parler et a fait de moi la porte-parole de ceux qui en ont besoin. Tous, quel que soit leur peuple ; mais ce rapprochement avec les Humains ne plaît pas à tous les Elfes. Ceux qui me dénigrent m’accusent d’arrogance : j’attends toujours qu’ils me prouvent qu’ils sont capables de mieux. En attendant, je continue d'avancer pour les miens, pour l'entente, malgré les sacrifices que cela demande.
Secret 1
Type de secret : Caché.
Sœur dans une autre vieSans doute n'était-ce pas le meilleur moyen d'entretenir notre bonne relation que d'y mêler des enjeux politiques. Mais ainsi va la vie, et puisque pour le moment nos intérêts concordent, faisons en sorte que cela n'entache pas notre amitié fragile. J'ai connu Eibhlin alors qu'elle n'était qu'une enfant, une enfant esseulée dans un immense palais et j'ai compris alors que la misère n'est pas qu'une question de naissance. Je n'ai pas su faire autrement que de m'investir auprès d'elle, comme je la pouvais, avec mes moyens limités. Je l'ai vue grandir et devenir cette belle jeune femme qui défend notre cause. Je crois, j'espère, qu'elle ne nous oubliera pas.
Je te l'avais ditJ'ai prévenu Arlisa de ses fréquentations et de ses activités, que ce soit avec les dalatiens ou avec cet étrange rivénien qui crèche chez elle. Elle ne m'écoute pas et cela m'ennuie fortement car elle n'est pas seule concernée dans l'histoire. Aurait-elle oublié comment un elfe devient rapidement tout le bascloître ? Je l'ai prévenue qu'elle ne pourrait pas compter sur mon soutien s'il se passait quoi que ce soit.
Lointaine enfance, amères existencesPuisqu'en plus d'être hahren, je suis un peu l'interface publique entre le Couvent des Murmures et le reste du monde, surtout du monde politique : je rencontre et fais visiter le couvent à nos donateurs et entretiens autant que possible les relations avec chacun d'eux. Karl est l'un d'entre eux et je dois dire qu'il m'intrigue. Il semble esquiver avec humour la moindre de mes questions. Je ne sais rien de lui, ni où il vit, ni pourquoi il donne et ce qu'il fait pour obtenir cet argent. Pas que cela me regarde, mais il titille ma curiosité avec ses mystères. Et puis cela fait partie de mon rôle d'être méfiante et de protéger l'intégrité du couvent.
Amitié improbable Je pensais qu'il me suffisait de livrer l'Elfe responsable et que je n'aurais plus vraiment affaire à la veuve Dunaid : mais sa réputation sur son avarice n'était pas réellement fondée, et j'ai été touchée par la reconnaissance sincère qu'elle a eue pour notre participation à la justice. Cayetana a plusieurs fois cherché à me revoir, a demandé des nouvelles, et je me suis surprise à apprécier sa présence comme elle la mienne. A parler plus librement à cette roturière de naissance qu'à la plupart des membres de l'aristocratie. Un jour peut-être, j'arriverai à la convaincre d'investir plus allant l'argent du Prince pour le bascloître et le Couvent - je ne désespère pas.
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Dim 11 Juil - 20:08
Saoirse Dunne
Prédéfinie libreRôle important
Nom Saoirse Dunne Âge 38 ans. Genre Féminin. Peuple Humain. Nation d'origine Marches Libres (Starkhaven) Occupation Capitaine de la Garde de Starkhaven. Religion ou croyances Chantrie andrastienne. État civil Libre (non mariée).
Knight Lady (Brooks Kim, ArtStation)
Guerrier
Garde de Starkhaven
Peuple
4:75 des Ténèbres La famille Dunne n'est pas d'une noblesse éclatante : sans ascendance particulière, ni haut-fait, elle ne possède pour toutes terre qu'un hôtel en ville, en plus de leur manoir. La jeune Saoirse était donc naturellement destinée à un mariage censé placer astucieusement la famille dans le jeu politique havenois. Mais toute ambitieuse que leur petite fille ait l'air – si ce n'est la plus ambitieuse de son adelphie ! –, elle ne veut pas de ça et trouve sa voie dans les armes dans un monde de violences et de coup bas. À ses yeux juvéniles, déjà, tout se mérite. 4:91 des Ténèbres Après de longues tractations, allant jusqu'à mentir sur son âge et sur son genre, pensant par là qu'elle arriverait plus facilement à ses fins, Saoirse entre à la Garde de Starkhaven et signe ainsi la rupture avec sa famille. Aussi noble soit-elle, l'absence de soutien rend son parcours bien dur, et se démène corps et âme pour ne pas finir sa carrière au simple rang de sergent : elle rêve de la tête de la garde et rien ne l'arrêtera pour se hisser toujours plus haut. Et cette femme qui aura tant sacrifié de sueur, de larmes et de sang pour monter plus haut aura toujours beaucoup de mal à octroyer plus de chance à autrui, ne supportant pas chez certaines et certains ni les faveurs, ni les fragilités. Et elle qui aura tant sué et tant sacrifié pour y arriver ne supportera pas la facilité ou la faiblesse chez autrui 5:07 des Exaltés Lorsque la Guerre des Rats éclate, les ordres du Conseil de Starkhaven arrivent avec clarté à sa Garde : on ne veut plus aucune trace de la pègre dans la cité. Saoirse est alors sergente d'un quartier du Cropfields et s'illustre par son zèle, son efficacité et saes hauts-faits : elle parvient même à sauver un conseiller, l'homme chargé du renseignement pour le Prince, d'une embuscade vouée à mal tourner. Pour son efficacité et pour ses faits d'armes, sous l'impulsion de l'homme lui devant la vie, elle sera nommée lieutenante du Downnoc en charge notamment de la protection de tous types de dignitaires. Voici un mérite plutôt qu'une faveur, à ses yeux acérés. 5:13 des Exaltés Cette charge aurait pu convenir à Saoirse : on lui répète sans cesse combien c'est un honneur et une importante responsabilité... mais la lieutenante est une femme d'actions et les soirées mondaines l'ennuient. Viendra un jour où, à force de ronger son frein, celui-ci se brisera entree ses dents. La chance lui sourit lorsque l'ancien capitaine de la Garde tombe en disgrâce du Prince de Starkhaven et, pour le remplacer, ce sera Saoirse qui sera nommée à sa place : c'est donc une prise de fonction récente dans un contexte troublé... qui ravit certes la guerrière, avant que celle-ci ne se rende compte qu'elle a enfin atteint ce haut dont elle rêvait tant. Que va-t-elle accomplir, désormais ?
La valeur d'une femme ne se lit qu'au travers de son mérite : ce que les uns obtiennent avec faveur, ce que les autres perdent par fragilité, ne méritent que mon mépris. Je n'entends pas leurs plaintes et je fais taire leurs gémissements insupportables. Ma famille, certes noble, n'est qu'un nom parmi les plus anecdotiques de la cité : je n'ai réussi à devenir capitaine de la Garde de Starkhaven qu'au sacrifice de ma sueur, de mes larmes et de mon sang. Un bien maigre prix à payer pour protéger la cité et ses habitants des temps obscurs qui se Dévoilent. Maintenant pourtant que je suis au plus haut, je ne sais où regarder pour avancer : dois-je donc baisser les yeux de mon soleil pour redouter cet Enclin qui nous privera de toutes nos chances ?
Secret 1
Type de secret : Caché.
À la faveur d'un sauvetage Ce que le conseiller faisait seul dans ces rues mal famées du Cropfields, en pleine Guerre des Rats, je me le demande encore aujourd'hui : mais d'autres ont saisir cette opportunité pour régler leurs comptes. Pas de chance pour eux, j'étais présente pour sauver Callaigh, et il a su me récompenser en appuyant ma promotion en tant que lieutenante – et après, capitaine de la Garde. À mon grand désarroi, je dois mon ascension à ce conseiller, je le sais : l'avouer me coûterait un honneur si précieux que je garde ces paroles pour moi, et je ne cesse de trouver un moyen de me défaire de ce lien. Y serais-je seulement arrivée, sans lui ?
À la faveur d'une mission Durant mes années au Downnoc à servir l'aristocratie et les grands de la cité, il m'est plusieurs arrivé de prendre la place des templiers pour escorter la mère supérieure Cinneide... Toutes ces missions se sont bien déroulées et nous avons pu discourir ensemble du monde : si sa douceur est sans conteste une force qui a su m'apaiser, je n'ai pu m'empêcher de la percevoir comme... forcée. Cette femme est-elle sincère et mon doute, une preuve de mon incapacité à trouver le moindre réconfort ?
À la faveur d'un entraînement J'ai croisé cette Garde des Ombres au détour d'une rue de Sullenhall, tandis que j'effectuais l'une de mes patrouilles et qu'elle, s'entraînait... avec quelques difficultés qui ne me surprenaient pas venant d'une Elfe. Mais eu égard à son rôle et à son rang, ainsi qu'à l'Enclin arrivant, je me suis laissée prendre à lui enseigner quelques techniques... Et l'on se retrouve, parfois, à la merci du hasard, à continuer ces entraînements.
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